La vérité sur la dot de Aissa Moments
L’influenceuse Aïssa Moments a récemment fait l’objet de critiques concernant la valeur de sa dot, estimée à 32 millions de FCFA, soit environ 50 000 euros, ainsi que des cadeaux somptueux tels qu’une Porsche, un terrain à Dakar et un appartement à Paris. Suite à ces réactions, elle a tenu à clarifier les choses lors d’un live.
Selon Aïssa Moments, le montant réel de sa dot serait en réalité proche du million d’euros, bien supérieur aux 50 000 euros annoncés. Elle a expliqué que cette somme avait déjà été revue à la baisse, passant de 70 000 euros à 50 000 euros. L’influenceuse a ainsi voulu mettre fin aux spéculations et aux critiques qui la qualifiaient de « trop matérialiste ».
Aïssa Moments a tenu à préciser que sa dot était avant tout un symbole d’amour et de respect de la part de son époux, Christopher. Elle a également remercié son mari pour les cadeaux somptueux qu’il lui a offerts, soulignant que ces gestes étaient motivés par son amour et son appréciation pour elle.
Le mariage d’Aïssa Moments et Christopher avait déjà fait l’objet d’une grande attention sur les réseaux sociaux, avec des milliers de commentaires et de partages. L’influenceuse avait partagé des clichés de la cérémonie, entourée de ses proches, suscitant à la fois des félicitations et des critiques.
Une veuve jugée pour trafic de chanvre indien : 3 ans de prison ferme requis
Pour nourrir ses enfants, une veuve de 42 ans, identifiée sous les initiales A. N. Lô, aurait accepté de convoyer du chanvre indien du Mali vers le Sénégal contre la somme de 100 000 FCFA. Elle est aujourd’hui poursuivie pour association de malfaiteurs, offre ou cession de drogue et détention en vue de l’usage, des faits pour lesquels le procureur a requis trois ans de prison ferme devant le tribunal correctionnel de Dakar.
Les faits remontent à 2024, lorsque la prévenue a été interpellée dans un bus en provenance du Mali. La fouille de ses affaires avait permis aux agents de découvrir trois kilogrammes de chanvre indien soigneusement dissimulés dans son sac, selon le journal Les Échos.
Devant la barre, A. N. Lô a nié toute implication directe, affirmant avoir simplement transporté un colis pour un certain Moussa, resté au Mali. « C’est Moussa qui m’a remis le paquet. Il m’avait demandé de le remettre à son frère. J’ignorais qu’il s’agissait de drogue », a-t-elle soutenu.
Mais le tribunal a rappelé ses aveux tenus durant l’enquête préliminaire, où elle reconnaissait avoir accepté la mission moyennant rémunération. En difficulté financière depuis le décès de son mari, la veuve avait expliqué avoir cédé à la tentation de ce gain rapide pour subvenir aux besoins de ses enfants.
À l’audience du 29 octobre 2025, elle a tenté de revenir sur ses déclarations, affirmant avoir transporté le colis « gratuitement ». Le verdict sera rendu ultérieurement, mais la prévenue risque jusqu’à trois ans de prison ferme si la peine requise par le ministère public est suivie par le tribunal.
Marathon de New York: Hellen Obiri établit un nouveau record, Benson Kipruto l’emporte au sprint
Il s’agit d’un des marathons les plus prestigieux au monde. Plus de 55 000 coureurs se sont élancés dans les rues de la « Big Apple », dont des légendes de la discipline comme le Kényan Eliud Kipchoge et la Néerlandaise Sifan Hassan.
Parmi tout ce beau monde, ce sont les Kényans qui ont largement dominé la course, aussi bien du côté masculin que du côté féminin. Déjà gagnante à New York en 2023, Hellen Obiri a distancé sa compatriote Sharon Lokedi sur les derniers mètres pour venir établir un nouveau record sur le circuit. La coureuse bat le chrono de sa compatriote Margaret Okayo, resté intouché depuis 2003, et devient la première femme à passer sous la barre des 2 h 20 à New York (2 h 19 min 50 s).
Dernière danse pour la légende Eliud Kipchoge
À bientôt 41 ans, le Kényan l’avait annoncé : New York serait son dernier marathon avant de se lancer dans de nouveaux défis. « Je vais courir en Antarctique », avait déclaré Kipchoge dans une interview donnée à Olympics.com. Le double champion olympique (2016 et 2021) participait pour la première fois à l’épreuve new-yorkaise. Il s’est fait distancer par ses concurrents, et a fini à la 17e place avec un temps de 2 h 14 min et 26 secondes.
La vraie animation a eu lieu dans le groupe de tête, dans les tout derniers mètres de la course. Longtemps leader, le Kényan Benson Kipruto s’est fait peur sur le sprint final.Talonné par son compatriote Alexander Mituso, ce dernier a jeté ses derniers efforts dans les ultimes foulées pour tenter un dépassement, qui a failli lui accorder la victoire, puisqu’il n’a fini qu’à 16 petits centièmes derrière Kipruto. Avec un temps de 2 h 8 min et 9 secondes, le Kényan, qui avait fini troisième lors des Jeux de Paris en 2024, a remporté son premier marathon de New York.
Mondial U17 – Le message de Koulibaly aux Lionceaux : « Il n y’a rien d’autre de comparable à une Coupe du monde (…) Croyez en vous, restez solidaires et surtout représentez le pays les frères »
Avant l’entrée en lice de l’équipe nationale U17 dans la Coupe du monde de la catégorie qui se déroule au Qatar, Kalidou Koulibaly a rendu visite aux Lionceaux et leur a adressé un message d’encouragement.
Profitant de sa présence au Qatar pour disputer la Champions League asiatique avec son club, le capitaine des Lions est venu encourager ses petits frères avant le début du mondial. Kalidou Koulibaly a ainsi exhorté les Lionceaux à se donner à fond et à représenter dignement les couleurs nationales.“Tout le monde vous suit. Vous savez la coupe du monde c’est la porte ouverte pour vous et pour le futur de votre pays. Il n y’a rien d’autre de comparable à une Coupe du monde (…) Je ne vais pas vous demander de la gagner mais je sais que vous êtes capable de faire de grandes choses car vous êtes un groupe avec beaucoup de qualité. Croyez en vous, restez solidaires et surtout représentez le pays les frères…”
AVEC WIWSPORT
UMOA : le Conseil d’Administration du DC/BR approuve le passage du cycle de règlement/livraison de J+3 à J+2
Le processus de modernisation du marché financier régional de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) franchit une nouvelle étape. Le Conseil d’Administration du Dépositaire Central/Banque de Règlement (DC/BR), réuni le mardi 21 octobre 2025 à Abidjan sous la présidence de M. Faman Touré, a approuvé les dispositions réglementaires entérinant le passage du cycle de règlement-livraison des titres de J+3 à J+2. La mise en œuvre effective de cette réforme est prévue pour décembre prochain.
Cette décision, autorisée par l’Autorité des Marchés Financiers de l’UMOA (AMF-UMOA), marque une évolution majeure vers une infrastructure post-marché plus moderne et performante.
Un pas stratégique vers un marché plus liquide et attractif
La réduction du délai de dénouement des transactions vise à :
- renforcer la liquidité du marché, en permettant une rotation plus rapide des titres,
- réduire les risques de contrepartie, grâce à un cycle de règlement plus court,
- améliorer l’efficacité opérationnelle, en s’alignant sur les meilleures pratiques internationales,
- accroître l’attractivité du marché de l’UMOA, particulièrement auprès des investisseurs institutionnels et internationaux.
Le Conseil a également adopté les modalités relatives au règlement tardif, étape indispensable au renforcement du cadre post-marché et à la sécurisation des opérations.
Cette réforme positionne la BRVM dans une dynamique comparable à celle des grandes places financières internationales qui opèrent déjà en J+2, consolidant ainsi la compétitivité du marché régional à l’heure où les flux d’investissement sont de plus en plus sensibles à la rapidité et à la sécurité des règlements.
À propos du DC/BR
Le Dépositaire Central/Banque de Règlement (DC/BR) est une institution financière spécialisée de l’UMOA, basée à Abidjan en Côte d’Ivoire. Il assure la conservation centralisée des valeurs mobilières pour ses adhérents et garantit le bon déroulement des opérations de règlement-livraison post-bourse. En sa qualité d’infrastructure de marché à mission communautaire, le DC/BR joue un rôle clé dans la stabilité, la sécurité et l’efficacité du marché financier régional.
Télécoms : Le groupe Sonatel réalise un résultat net de 311 milliards de FCFA au troisième trimestre 2025.
Par rapport au troisième trimestre 2024 où il se situait à 289 milliards FCF, le résultat net de la période sous revue connait une croissance de 8%. Le résultat de la période sous revue constitue sans nul doute un véritable cadeau d’anniversaire pour la Sonatel qui fête depuis le 30 octobre 2025, ses 40 ans d’existence.
Sur quatre dernières années, le résultat net du groupe Sonatel a connu une courbe ascendante, passant de 200,3 milliards au 30 septembre 2022, 241 milliards au 30 septembre 2023, 289 milliards au 30 septembre 2024 et enfin 311 milliards FCFA au 30 septembre 2025.
Le chiffre d’affaires a enregistré une croissance de 8,6% à 1 433 milliards FCFA contre 1 319 milliards FCFA au 30 septembre 2024.
Concernant l’Ebitdaal, il est en hausse de 11,5% à 687 milliards FCFA contre 616 milliards de FCFA au 30 septembre 2024. Selon la direction du groupe Sonatel, « la croissance de l’Ebitdaal (+11,5%) supérieure à celle du chiffre d’affaires (+8,6%) grâce à la bonne performance des revenus (data, orange money et fixe broadband) et aux efforts de maitrise des charges. »
Les investissements réalisés par le groupe Sonatel se situent à 203,1 milliards FCFA contre 198,1 milliards FCFA au troisième trimestre 2024, soit une hausse de 2,6%. Selon la direction de Sonatel, ces investissements ont été, axés sur le mobile, la transmission, le Backhaulling et le broadband fixe.
Concernant les résultats opérationnels, la direction du groupe Sonatel signale que les clients mobiles se chiffrent à 39,4 millions (-4,4%), la data mobile à 21,9 millions de clients (+6,4%), les actifs 4G à 20,7 millions (+21%), les clients actifs Orange Money à 12,4 millions (+3%), les clients fixe Broadband à 1,1 million (+25%) et les clients Fibre à 565 600 (+36,2%).
En perspectives, les responsables de Sonatel soulignent que dans un environnement en constante mutation, le Groupe entend maintenir une dynamique soutenue autour de cinq axes stratégiques. Le premier est l’accélération du déploiement des réseaux Très Haut Débit Fixe et Mobile afin de renforcer la qualité de service et de répondre à la croissance continue des usages numériques. Le deuxième axe est le renforcement de la performance commerciale et de l’innovation, à travers le développement d’offres et de services digitaux à forte valeur ajoutée (Fintech, contenus, cloud, cybersécurité), ainsi que l’optimisation de la structure des coûts et de la compétitivité opérationnelle. Le troisième axe est la poursuite des initiatives en matière de RSE en mettant l’accent sur la réduction de l’empreinte carbone, l’inclusion numérique et le soutien à l’entrepreneuriat local. Le quatrième axe est l’accélération de la transformation digitale interne, grâce à l’automatisation des processus, à l’intégration de l’intelligence artificielle et au renforcement des compétences des collaborateurs, en vue d’accroître l’agilité organisationnelle et d’améliorer l’expérience employé. Le dernier axe est la consolidation des synergies régionales avec les filiales du Groupe, pour une optimisation des ressources, une mutualisation des innovations et un renforcement de la performance à l’échelle sous-régionale.
« À travers ces orientations, Sonatel réaffirme son ambition de créer durablement de la valeur pour l’ensemble de ses parties prenantes et de contribuer activement à la transformation numérique inclusive de l’Afrique de l’Ouest » ont encore noté les responsables du groupe.
Sanctions américaines: le président colombien Gustavo Petro en difficulté pour percevoir son salaire
Gustavo Petro n’a plus accès à son argent, car une grande partie du système bancaire colombien utilise des relais internationaux gérés par les États-Unis pour valider les transactions bancaires. Et pour le moment, les comptes bancaires et les cartes de crédit du président colombien sont bloqués, indique notre correspondante à Medellín, Najet Benrabaa.
C’est une conséquence directe de l’entrée de Gustavo Petro sur la liste noire, dite « Clinton ». La Maison Blanche accuse le président colombien de ne pas lutter suffisamment contre le trafic de drogue.
Les sanctions du Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du Trésor américain touchent également l’épouse du président, l’un de ses fils et le ministre de l’Intérieur. Elles gèlent tous leurs avoirs aux États-Unis et leur interdisent toute transaction avec des entreprises liées au pays. « Ils ont vu leurs cartes de crédit et leurs comptes bancaires gelés, a déclaré Me Daniel Kovalik, l’avocat de Gustavo Petro. Même être payé en tant que fonctionnaire est maintenant difficile. »
Il y a quelques jours, l’avion présidentiel s’est même vu refuser un ravitaillement lors d’une escale en Espagne à cause de ces sanctions. Selon l’avocat du président colombien, ces sanctions sont un message du président américain Donald Trump à tous les dirigeants qui s’opposent à la politique étrangère américaine.
Me Daniel Kovalik prévoit de contester les sanctions devant les tribunaux américains et auprès du département du Trésor, mais « cela va être un processus très long », a-t-il dit redouter. Selon lui, « un tribunal colombien, peut-être un organisme international, pourrait s’en occuper », mais « soyons réalistes, les États-Unis ne répondent à personne ». L’avocat a également insisté sur l’innocence de son client : « La vérité triomphera. Je connais Petro depuis 20 ans, et ce que je sais, c’est qu’il a combattu les cartels de drogue pendant toute sa carrière politique. »
Podor : les femmes de Mboyo formées à la transformation des fruits et légumes
Les femmes du village de Mboyo, dans le département de Podor, ont bénéficié d’une formation sur la transformation des fruits et légumes. Une initiative du Fonds de financement de la formation professionnelle et technique (3FPT) visant à renforcer leur autonomie économique rapporte le soleil.
Pendant cinq jours, une vingtaine de participantes issues de plusieurs groupements féminins ont été initiées aux techniques de valorisation des produits agricoles locaux. Selon Pape Moussa Dia, chef d’antenne du 3FPT pour les régions de Saint-Louis, Louga et Matam, cette action s’inscrit dans une dynamique d’appui à l’autonomisation des femmes rurales. « Le 3FPT est là pour accompagner les femmes dans la formation. L’engagement observé ici à Mboyo nous conforte dans notre mission. Ces femmes méritent d’être soutenues », a-t-il indiqué.
Les bénéficiaires, conscientes de l’impact de cette formation, ont exprimé leur satisfaction. « Nous perdions chaque année une bonne partie de nos récoltes. Grâce à ces nouvelles connaissances, nous pourrons désormais limiter les pertes », a témoigné Aïssata Ly, participante venue du hameau de Korkadié.
De son côté, Cheikh Ly, président du GIE Ly-Guéye-Dia, a encouragé les bénéficiaires à devenir des relais au service de toute la communauté. « C’est une première pour notre village. Nous espérons que ces femmes transmettront leur savoir à d’autres, pour contribuer au développement local », a suggéré M. Ly, connu dans la zone pour être un homme au service de sa communauté.
L’adjointe au maire de Guédé Village a salué la démarche, tout en remerciant les initiateurs. « C’est une belle opportunité pour ces femmes majoritairement agricultrices. Désormais, elles peuvent transformer leurs produits sur place. Au nom de la commune de Guédé Village, nous remercions le 3FPT qui a porté son choix sur notre localité », a déclaré Défatou Ly (nom corrigé si c’est bien l’orthographe).
Grâce à cette formation, les femmes de Mboyo disposent désormais de compétences qui leur permettront de mieux valoriser leurs récoltes, de réduire les pertes post-récolte et d’accroître leurs revenus.
Industrie pétrolière et gazière : 50 techniciens supplémentaires bientôt formés
L’institut nationale du pétrole et du gaz (INPG) et l’Ecole supérieur polytechnique (ESP) de Dakar ont lancé un programme de formation de 50 techniciens dans les spécialités de la maintenance pétrolière et gazière, dont 25 en maintenance électrique, ont déclaré les responsables des deux établissements.
Vingt-cinq autres techniciens vont être formés en maintenance mécanique des installations pétrolières et gazières, ont-ils précisé, lors de la cérémonie de lacement de ce programme, vendredi, à Dakar.
”L’objectif visé est de doter les jeunes d’une spécialisation professionnalisante de haut niveau pour répondre aux besoins en main-d’œuvre qualifiée dans l’industrie pétrolière et gazière en vue de renforcer le contenu local”, ont-ils précisé.
”C’est avec beaucoup de fierté que je participe au lancement du programme de licence professionnelle en maintenance mécanique électrique des installations gazières et pétrolières sous le signe de l’excellence, de la compétence et du patriotisme économique”, a dit le ministre de l’Energie, du Pétrole et des Mines Birame Soulèye Diop.
Venu présider la cérémonie de lancement de ce programme de licences professionnelles, Birame Soulèye Diop a fait noter que cette activité s’inscrit dans une ”vision stratégique claire portée par les pouvoirs publics qui font du développement du capital humain un pilier de leur action pour une économie souveraine, inclusive et durable”.
Il a plaidé pour une ”mobilisation des intelligences, du savoir-faire et de l’ingéniosité collective pour préparer une génération de techniciens sénégalais, capables de concevoir, d’entretenir et d’optimiser les installations énergétiques les plus complexes”.
”Le développement du contenu local et du capital humain sénégalais mérite toute notre attention et ces licences en maintenance mécanique et électrique ne sont pas seulement des formations mais des passerelles vers l’emploi, vers la dignité et vers l’excellence”, a poursuivi Birame Souleye Diop.
Il ajouté que ces formations ”répondent à un besoin réel du marché, exprimé par nos partenaires techniques et industriels qui ont besoin d’un personnel hautement qualifié pour la durabilité des projets pétroliers et gaziers”.
Dr Fall Mbaye, directeur de l’INPG a soutenu que la mise en place de ces licences a représente ”un défi majeur car il s’agit d’un programme inédit au Sénégal et en Afrique”.
Il a annoncé la mise en place d’un jury de sélection, ainsi qu’une plateforme numérique d’inscription pour identifier les candidats les plus qualifiés et aptes à suivre ce parcours ”exigeant”.
La durée de la formation est d’une année avec six mois de cours entre les campus de l’ESP et les campus de l’INPG. L’étudiant subira un stage de six mois dans des entreprises, des compagnies pétrolières, des entreprises du secteur de l’énergie, selon les incitateurs.
La formation va débuter en janvier 2026 et l’ouverture de la plateforme pour l’appel à candidatures est prévue le 17 novembre 2025.
Les profils ciblés sont les détenteurs du Brevet de technicien supérieur (BTS) et les titulaires de licences 3 dans certains domaines d’études.
”D’autres licences seront apportées dans le pipeline, telles que la licence en production pétrolière et gazière, et la licence en hygiène, sécurité et environnement au niveau des installations pétrolières et gazières. Et plus tard, nous envisageons d’ouvrir des masters dans ces domaines-là”, a de son côté précisé le directeur de l’Ecole supérieure polytechnique de Dakar Falilou Mbacké Sambé.
Avec APS









