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Trois questions à Pape Thiaw sélectionneur des lions

« Rien n’est encore joué »

Bonjour coach, c’est la deuxième fois que vous publiez la liste des Lions sans conférence de presse. Ce qui ne semble pas être du goût des médias ?

Je suis désolé. En même temps, je suis étonné d’entendre des critiques relatives à la publication de la liste via les plateformes de la Fédération sénégalaise de football. La première fois, tous les journalistes savaient quand même que j’avais été choisi par la CAF comme TSG. C’est à dire un Groupe d’Étude Technique de la Confédération Africaine de Football(CAF). C’est une équipe d’experts (entraîneurs, instructeurs, analystes) chargée d’analyser les aspects techniques et tactiques des compétitions africaines de football, comme le CHAN ou la CAN, pour en améliorer le niveau global et partager ces connaissances.

Pour la deuxième fois, vous étiez tous au courant que j’étais parti en Europe pour rencontrer certains joueurs. Dans les deux cas, le temps n’avait pas permis d’être en face de vous pour m’expliquer. Ou du moins physiquement.

Mais le moment venu, nous allons discuter et répondre à toutes vos interrogations. Il n’y a pas de fouetter un chat dessus. Nous sommes des partenaires. J’ai beaucoup de respect et de considération pour la presse.

Pourquoi avoir choisi de regrouper l’équipe à Juba, au Sud-Soudan, plutôt qu’à Dakar ?

La aussi, c’est juste une stratégie devant nous permettre de mettre tous les atouts de notre côté.  Le Sud Soudan se trouve à l’Est de l’Afrique. Les joueurs peuvent rejoindre Juba. Nous aurons le temps de nous acclimater par rapport à tous les aspects liés au climat et à l’environnement.

Comme je l’avais déjà dit, je prends tous les matches comme des finales. Sans exception. Absolument rien ne sera laissé au hasard dans notre conquête du ticket devant nous permettre de nous qualifier à la prochaine du monde de coupe de football. C’est pourquoi, j’ai toujours refusé de jouer un match avant l’heure. Step by Step. Aujourd’hui, nous sommes le Sud Soudan que nous respectons au même titre que toutes les autres équipes de notre groupe.

Y-a-il une méthode Pape Thiaw ? 

Ce sont les médias et les consultants qui entretiennent ce genre de débat. Mon staff et moi, sommes animés par l’envie de gagner le maximum de matches possibles. Le Sénégal a un standing en Afrique et au niveau mondial à défendre. Nous avons un Etat qui ne lésine pas sur les moyens pour appuyer sa sélection. Nous avons une Fédération qui ne menace aucun effort pour nous mettre dans des conditions de performance et de séjour. Nos joueurs sont conscients de leur mission. Ils défendent parfaitement bien les couleurs nationales. Nous sommes une équipe respectée et respectable. J’en suis très fier. Mais, je le répète, rien n’est encore joué. Alors, restons concentrer sur l’objectif ultime: la qualification.

Commerce – Concurrence déloyale, surfacturation au Pad… : Les commerçants déballent leurs maux

C’est à une véritable foire aux problèmes que l’Association des commerçants et industriels du Sénégal (Acis) a convié ses membres hier à la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad). A cette occasion, les commerçants et industriels ont déballé leurs difficultés devant des représentants du Parlement et de l’administration des Douanes sénégalaises rapporte le quotidien . 

Le secteur du commerce et de l’industrie, qui constitue le cœur battant de l’économie sénégalaise, va mal. C’est du moins le cri du cœur que les membres de l’Association des commerçants et industriels du Sénégal (Acis) ont lancé hier. Rencontrant des députés et des membres de l’administration des Douanes sénégalaises, l’Acis a dépeint un tableau sombre du secteur.
«Notre secteur traverse des difficultés structurelles qui fragilisent nos entreprises, limitent notre compétitivité et menacent notre souveraineté économique», a déclaré le président de l’Acis. Entre autres contraintes, Khadim Sylla liste «la concurrence étrangère déloyale» qui, selon lui, «met en péril leurs Petites et moyennes entreprises (Pme) et érode leurs marges». Pour lui, cette problématique appelle des mesures fortes de protection et de régulation. A son avis, le laxisme autour de l’installation des entreprises étrangères prive les acteurs locaux d’opportunités de transfert de compétences et de partenariats équitables. Il souligne aussi «le refus systématique de visas par certaines ambassades, empêchant les opérateurs économiques de développer des partenariats à l’international».
Au Port autonome de Dakar (Pad), l’Acis dénonce un certain nombre de pratiques qui freinent la compétitivité des Pme. «La surfacturation au Pad alourdit les coûts logistiques et menace la compétitivité de nos entreprises», déplore le patron de l’Acis. Sans pour autant occulter «les chèques sans provisions et les frais bancaires élevés fragilisant la confiance dans les transactions commerciales». Il estime par ailleurs que «la modernisation des marchés s’impose pour offrir des infrastructures conformes aux standards internationaux. L’organisation du e-commerce doit être encadrée pour assurer la sécurité et la transparence des transactions. La loi sur les sachets plastiques, appliquée sans alternatives viables, a entraîné la fermeture d’unités locales et la perte d’emplois».
L’Acis ne s’est pas limitée à constater les problèmes. Dans ses recommandations, l’association appelle «les députés à voter des lois fortes pour protéger les entreprises sénégalaises et encadrer la concurrence étrangère». L’Acis plaide aussi pour que «le gouvernement mette en place des réformes structurantes inclusives et participatives pour moderniser les marchés, réduire les coûts logistiques et faciliter l’accès aux financements». «Nous croyons fermement que l’avenir économique du Sénégal dépend de la collaboration étroite entre l’Etat, l’Assemblée nationale et le secteur privé national. Ensemble, nous pouvons bâtir une économie compétitive, souveraine et créatrice d’emplois durables», assure M. Sylla.
Lui emboitant le pas, le président de la Cciad a invité l’Etat à agir avec «agilité et constance». Car, argue Abdoulaye Sow, «le secteur privé n’est pas un spectateur de la politique économique, mais un partenaire es­sentiel. Que ce partenariat soit renforcé, clarifié, pérennisé».
Ces doléances ne sont tombées dans l’oreille d’un sourd. Le coordonnateur de la Direc­tion générale des Douanes a pris bonne note. «C’est heureux que cette rencontre se tienne au moment où nous sommes en train de travailler sur la réforme du Code des Douanes. Vos recommandations pourraient certainement alimenter les réflexions relatives à la réforme du Code des Douanes. Ce sera élaboré avec vous et pour vous, pour l’économie», promet Malick Mbaye.
De leur côté, les députés s’engagent à jouer leur rôle de représentation, de législation et de contrôle de l’action gouvernementale, en veillant à ce que les réformes et les politiques publiques prennent en compte les préoccupations des commerçants et industriels du Sénégal.

42e Assemblée de l’Oaci à Montréal : Deux distinctions décernées au Sénégal

Le Système de supervision de la sécurité et de la sûreté de l’aviation civile sénégalaise a été doublement distingué à la 42e Assemblée de l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci) à Montréal rapporte le quotidien 

La 42e Assemblée de l’Or­ganisation de l’aviation civile internationale (Oaci), ouverte le mardi 23 septembre, a pris fin le vendredi 3 octobre 2025, avec une deuxième distinction pour le système de l’aviation civile du Sénégal. Le seul pays, selon l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), «qui a obtenu deux certificats lors de cette rencontre de l’Orga­nisation internationale de l’aviation civile. Après la réception, à la cérémonie d’ouverture, par le ministre des Transports terrestres et aériens, du Certificat du président du Conseil de l’Oaci pour reconnaissance des prouesses du Sénégal en matière de sécurité, Yankhoba Diémé a reçu un autre certificat des mains du président du Conseil pour les résultats positifs de notre pays en matière de sûreté».
L’Anacim rappelle que «le Certificat du président du Conseil récompense les pays qui ont réalisé des augmentations significatives de leur score de mise en œuvre effective des normes et pratiques recommandées de l’Oaci. Ce certificat salue les avancées du Sénégal lors de l’audit de supervision de la sécurité, avec un score qui est passé de 67% en 2019 à 85% en 2024. Alors que le deuxième certificat concerne l’audit de sûreté dans le cadre de la Méthode de surveillance continue du Programme universel d’audits de sûreté (Usap-Cma), qui a vu le score de notre système de surveillance de la sûreté passer de 64% en 2018 à 84% en 2023».
Le ministre Yankhoba Diémé, qui était à la tête de la délégation sénégalaise, note le document, «a félicité l’ensemble des acteurs, en l’occurrence l’Anacim, la Haas, les gestionnaires d’aéroports, les fournisseurs de services de la navigation aérienne, l’industrie et toutes les parties prenantes. Il n’a pas manqué de rappeler l’héritage des anciens qui ont participé à façonner un système d’aviation civile dynamique et résiliente.
La 42e Assemblée de l’Oaci était l’occasion pour permettre aux 193 Etats membres de l’Oaci, ainsi qu’un grand nombre d’organisations internationales invitées, de façonner l’aviation civile internationale pour les trois prochaines années, mais aussi d’adopter un Plan stratégique 2026-2050».

Cosop : le Sénégal et le Fida travaillent sur la nouvelle feuille de route

Après la première phase du programme stratégique d’opportunités pour le Sénégal (Cosop) 2019-2024, le Sénégal et le Fonds international pour le développement agricole (Fida) engagent la réflexion sur le continu de la deuxième phase du projet stratégique 2026-2032. Cette nouvelle feuille de route sera alignée sur la Vision 2050 pour répondre à l’appel des autorités sénégalaises en matière de souveraineté alimentaire précise le soleil .

Le programme stratégique d’opportunités pour le Sénégal (Cosop) 2019-2024 a été passé en revue, ce jeudi, à l’occasion de la rencontre entre les parties prenantes. L’objectif de cette rencontre est de s’inspirer des résultats des six dernières années pour dégager une nouvelle feuille de route pour 2026-2032.

Fruit d’un partenariat stratégique entre le Fonds international de développement agricole (Fida) et le gouvernement du Sénégal, ce programme essentiellement orienté vers l’agriculture et l’élevage participe à la résilience des communautés locales, la création d’emplois et l’amélioration des systèmes de production agricole.

Plus de 555 milliards de francs CFA dans le secteur agrosylvopastoral

Avec une vingtaine de projets déjà mis en œuvre, ce bel exemple de coopération a permis d’injecter une enveloppe globale estimée à environ 900 millions de dollars américains, soit plus de 555 milliards de francs CFA dans le secteur agrosylvopastoral ces six dernières années.

Dans sa nouvelle phase, le programme stratégique d’opportunités pour le Sénégal sera arrimé aux orientations politiques déclinées dans l’agenda national de transformation.

« On va définir le cadre stratégique de l’intervention des activités du Fida dans le pays pour les prochaines années. Donc, il s’agit de voir quelles sont les priorités, quels sont les objectifs stratégiques et comment on peut créer de la valeur. Mais aussi, on veut appuyer le gouvernement dans sa vision de 2050 », a fait savoir Mateo Marchisio, représentant pays du Fida.

Avant de poursuivre : « Pour le futur, on est à l’écoute. Nous sommes une institution financière, on répond à la demande du pays. Donc, si le gouvernement veut financer le développement, sa transformation rurale, on peut mettre à disposition les financements nécessaires ».

Présidant la rencontre, le secrétaire d’État aux Coopératives et à l’encadrement paysan, le Dr Alpha Ba, a salué les efforts fournis par ce partenaire technique et financier.

Il a aussi rappelé les importantes réalisations du Cosop 2019-2024, en matière d’emploi, d’aménagement de l’espace pour la vaccination du cheptel mais également pour la construction de pistes rurales qui participent au désenclavement de certaines zones à fortes potentialités agricoles.

D’où l’importance, pour lui, « d’intégrer les organisations paysannes, la société civile et d’autres partenaires au développement, dans cette dynamique de renforcement des capacités de production agricole et pastorale en vue de l’atteinte de la souveraineté alimentaire ».

Dakar-Plateau : ces rues rebaptisées Serigne Mountakha, Seydou Nourou Tall, Abdoulaye Wade…

Le conseil municipal de Dakar-Plateau a décidé, lors de sa séance du 13 septembre 2025, de rebaptiser plusieurs rues et avenues afin d’honorer des figures marquantes de l’histoire sénégalaise.

Parmi les principaux changements : la rue Jules Ferry devient rue Serigne Mountakha Mbacké, l’avenue Jean Jaurès devient avenue Thierno Seydou Nourou Tall, et le boulevard de la Libération porte désormais le nom de boulevard Abdoulaye Wade.

Selon le maire Alioune Ndoye, cette initiative vise à valoriser les héros nationaux et à renforcer le sentiment d’identité et de mémoire collective à travers les espaces publics de la commune.

Transport aérien : Air Sénégal renforce sa flotte pour soutenir son réseau

La compagnie nationale Air Sénégal a annoncé vendredi la réception d’un troisième Airbus A320 à partir du 10 octobre prochain et le retour en service d’un ATR 72-600 à la mi-octobre 2025. Selon un communiqué publié à cet effet, d’ici la fin de l’année, la livraison d’un troisième L410-NG permettra d’élargir et de densifier la couverture du réseau intérieur , rapporte le soleil .

Dans le cadre de sa stratégie de consolidation et d’expansion, Air Sénégal poursuit le déploiement de son plan visant à renforcer la régularité de ses opérations et à accompagner la croissance de son réseau régional et domestique.

A cet effet, plusieurs étapes clés interviendront telles que le renforcement de la flotte et le retour en service d’un ATR 72-600.

« Le 10 octobre prochain, la compagnie réceptionnera un troisième Airbus A320, qui viendra soutenir les liaisons régionales et répondre à la demande croissante de mobilité en Afrique. (…) A la mi-octobre, le deuxième ATR 72-600 reprendra ses opérations afin de consolider la desserte des lignes intérieures », renseigne le communiqué d’Air Sénégal.

Dans le cadre de l’arrivée de ce second ATR, poursuit le document, les équipages seront également renforcés. En effet, trois pilotes d’Air Sénégal, les commandants Yehya Hachem, Pape Mouhamadou Faye et Bouba Jammeh, ont récemment réussi avec succès leur qualification au grade de commandant de bord sur ce type d’appareil.

À travers sa note, la compagnie nationale a aussi annoncé l’extension du réseau domestique. D’après le texte, d’ici la fin de l’année, la livraison d’un troisième L410-NG permettra d’élargir et de densifier la couverture du réseau intérieur.

« Ces renforcements marquent une étape déterminante dans la mise en œuvre de la feuille de route d’Air Sénégal, qui place la fiabilité, la proximité et l’expansion progressive et réfléchie de son réseau au cœur de sa mission de transporteur national », lit-on dans le communiqué.

 

Mariage de Pathé Sène : le célèbre acteur une belle dame

Le célèbre acteur Pathé Sène s’est marié ce week-end avec la femme de sa vie.
L’homme, connu pour avoir joué dans de nombreuses séries sénégalaises, quitte le monde des célibataires pour épouser une belle et grande dame

États-Unis : Le bitcoin bat un nouveau record et dépasse les 125 000 dollars

Le bitcoin a atteint un nouveau plus haut dimanche, dépassant le seuil des 125.000 dollars, alors que la paralysie budgétaire se poursuit aux Etats-Unis.

La star des cryptomonnaies a atteint 125.689 dollars, battant son précédent record du mois d’août autour de 124.500 dollars.

Le bitcoin a connu une forte tendance à la hausse, sur fond de méfiance des investisseurs face à la paralysie budgétaire en cours aux États-Unis (“shutdown”).

Les gains des actions américaines ont également soutenu la hausse du bitcoin, alors que les investisseurs se sont tournés vers des actifs plus sûrs, pendant que les législateurs américains négociaient le financement du gouvernement fédéral, selon Bloomberg News.

Le président américain Donald Trump et sa famille ont également fait la promotion des cryptomonnaies et sont impliqués dans diverses initiatives dans ce domaine, ce qui a fait monter le cours du bitcoin.

“Avec de nombreux actifs, notamment les actions, l’or et même les objets de collection comme les cartes Pokémon, qui atteignent des sommets historiques, il n’est pas surprenant que le bitcoin profite du narratif de la dépréciation du dollar”, a déclaré Joshua Lim, co-responsable des marchés chez FalconX, une société de courtage spécialisée dans les cryptomonnaies, cité par Bloomberg News.

Serigne Mboup humilie subtilement Fadilou Keïta : « Il ne m’aurait pas insulté s’il avait demandé à sa mère »

La tension politique entre Serigne Mboup, maire de Kaolack, et Fadilou Keïta, cadre du parti PASTEF et directeur général de la CDC, ne cesse de croître à moins de deux ans des élections locales de 2027. Après des accusations publiques de Fadilou Keïta à son encontre, Serigne Mboup a choisi de répondre avec subtilité et finesse, dans des propos qui allient sagesse, ironie et sous-entendus cinglants précise sénénews.

Dans sa réponse, lors d’une interview avec Ousmane Noël Dieng, Serigne Mboup souligne : « S’il avait demandé à sa mère, qui je suis, il ne m’aurait pas insulté. Sa mère est une bonne personne, elle ne l’a sûrement pas éduqué comme cela. Ce qui est sûr, c’est que cela a dû lui faire mal de le voir m’insulter. S’il avait demandé à sa mère les liens entre moi et sa famille, son père, il ne m’aurait pas insulté. Mais arrive parfois qu’un enfant indiscipliné peut insulter son père. »

Ces paroles, d’apparence conciliantes, cachent un message fort : une remise en perspective de l’insulte et une subtile humiliation. Quelques jours plus tôt, Fadilou Keïta avait exprimé son mécontentement sur ses réseaux sociaux, qualifiant les propos de Serigne Mboup de « balivernes teintées de mauvaise foi ». Le directeur général de la CDC annonçait qu’il porterait une réplique digne de ce nom en temps voulu, dénonçant le comportement qu’il juge indigne de l’édile de Kaolack.

Fadilou Keïta a également souligné le motif électoral des accusations : « Tout l’argumentaire de ses récentes sorties est bâti autour des locales 2027 et de son impératif de diviser les patriotes en citant le président de notre parti qui serait victime de je ne sais quoi. » Il a conclu sur un ton ironique : « Il a bien raison de stresser pour les locales à venir pour ceux qui connaissent sa situation. »

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention