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Mort de Mancabou : deux policiers entendus par le juge du 2e cabinet

L’enquête sur la mort de Mancabou, survenue dans les locaux de la Sûreté urbaine (SU), suit son cours. Selon le journal Libération dans son édition de ce jeudi 21 août, le juge du deuxième cabinet a procédé mardi dernier à l’audition de deux policiers qui étaient en service au moment des faits.

Le quotidien précise que plusieurs autres auditions sont programmées entre mercredi et vendredi dans le cadre de cette affaire qui continue de susciter de vives interrogations.

Par ailleurs, Libération rapporte que Aziz Ndiaye et Ablaye Ndiaye, arrêtés en même temps que la victime à l’époque, ont également comparu devant le magistrat instructeur.

Cette série d’auditions marque une nouvelle étape dans le processus judiciaire visant à établir les circonstances exactes de la mort de Mancabou.

La Souveraineté ne peut se négocier sur les rives du Bosphore, (Par Cheikhou O. Sy et Theodore C. Monteil Ancien Députés)

Alors que le gouvernement sénégalais multiplie les gestes de soumission diplomatique sous couvert de pragmatisme économique, cette tribune dénonce une dérive inquiétante : celle d’un souverainisme de façade, contredit par des partenariats asymétriques et des choix technocratiques qui fragilisent notre autonomie. Car non, la souveraineté ne se négocie ni à Ankara, ni ailleurs. Elle se construit ici, avec nos forces, nos savoirs, et notre vision.

Le Premier ministre Ousmane Sonko, en déplacement à Ankara, a sollicité avec insistance, l’aide du président Recep Tayyip Erdoğan pour « surmonter les défis budgétaires du Sénégal ». Dans un discours hésitant, il a reconnu sans détour : « Nous n’avons pas honte de vous parler de la situation financière que nous traversons ». Cette franchise, si elle peut être saluée, soulève une question fondamentale : comment peut-on revendiquer une souveraineté économique tout en quémandant un appui extérieur pour stabiliser ses finances publiques ?

Quelques semaines auparavant, le même gouvernement annonçait que 90 % du Plan de redressement économique et social serait financé par des ressources internes. Où est donc la cohérence ?

Le ministre de l’Agriculture, Mabouba Diagne, a annoncé un partenariat avec la structure publique turque TİGEM pour aménager 500 hectares de maïs. Ce projet, présenté comme une ferme-école moderne, vise à réduire les importations annuelles de 450 000 tonnes de maïs. Mais derrière les chiffres se cache une réalité troublante : le Sénégal dispose de centaines d’ingénieurs agronomes, de techniciens agricoles, de coopératives rurales capables de relever ce défi. Pourquoi alors confier cette mission à une entité étrangère ?

Ce choix envoie un signal désastreux : nos compétences locales ne seraient pas dignes de confiance. Il perpétue une logique de dépendance technologique et symbolique, contraire à toute ambition de souveraineté alimentaire.

La visite en Turquie a débouché sur une pluie de promesses d’investissements dans l’énergie, le textile, le ciment et même l’armement. Des projets structurants, certes, mais dont les modalités restent floues : quelles garanties de contenu local ? Quels mécanismes de transfert de compétences ? Quelle transparence dans les contrats ?
Le projet de raffinerie SAR 2.0, par exemple, pourrait générer une économie annuelle de 239 milliards FCFA. Mais à quel prix ? Si les clauses ne sont pas rigoureusement encadrées, le Sénégal risque de se retrouver avec des infrastructures « Made in Turkey » opérées par des capitaux turcs, au détriment de son tissu industriel national.

Le gouvernement affirme vouloir « prendre son destin en main ». Mais les faits racontent une autre histoire : celle d’un État qui, face à la complexité des défis, choisit la facilité diplomatique plutôt que l’audace réformatrice. La souveraineté ne se décrète pas, elle se construit. Elle exige du courage, de la cohérence, une ambition audacieuse, et surtout, de la confiance en ses propres forces.

Nous ne pouvons pas bâtir la vision « Sénégal 2050 » sur des fondations étrangères. Nous ne pouvons pas prétendre à l’autonomie tout en externalisant nos leviers stratégiques. Il est temps de rompre avec cette schizophrénie politique et de poser les bases d’une souveraineté assumée, enracinée dans nos compétences, nos valeurs, nos ressources, et notre vision collective.

La souveraineté ne se quémande pas à Ankara. Elle se forge à Kaolack, à Podor, à Kolda, à Thiès, dans les champs, les ateliers, les laboratoires et les écoles du Sénégal.

Théodore Chérif Monteil

Cheikh Oumar Sy

Anciens députés

Alioune Tine plaide pour la libération de Doudou Koulibaly : « Il n’a rien à faire en prison »

Le fondateur de l’Afrikajom Center, Alioune Tine, est monté au créneau jeudi pour défendre le journaliste Doudou Koulibaly. Dans une déclaration publiée sur X (anciennement Twitter), il a estimé que son incarcération est injustifiée et contraire à l’esprit démocratique du Sénégal.

Selon Alioune Tine, Doudou Koulibaly s’inscrit dans une tradition propre au paysage médiatique sénégalais, celle d’une presse radicale et politique, héritée d’une « démocratie radicale » qui s’est développée ces dernières années.

« Notre démocratie radicale a engendré un style de presse radicale et politique qu’incarne bien Public d’Aissatou Diop Fall, Les Grandes Gueules et bien d’autres dans la presse numérique favorable au pouvoir », a-t-il écrit.

Décès de l’ancienne députée Fanta Sall

L’ancienne députée de la 14e législature, Fanta Sall, est décédée ce mercredi 20 août 2025 des suites d’une maladie.

Élue sous la bannière de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), elle avait représenté le département de Koungheul à l’Assemblée nationale.

Afrobasket 2025 – Le Sénégal en demi-finales après sa victoire sur le Nigeria

Le Sénégal s’est qualifié pour les demi-finales de l’Afrobasket 2025 en battant le Nigeria (91-75) en quarts de finale.

Les Lions ont construit leur succès grâce à une défense solide et un jeu collectif maîtrisé. Le deuxième quart-temps a été décisif, marqué par une grande réussite à trois points et une nette domination dans la raquette.

Le Nigeria, pourtant considéré comme l’un des favoris du tournoi, n’a pas réussi à contrer l’intensité imposée par les Sénégalais. Ces derniers ont conservé leur avance jusqu’au terme de la rencontre, offrant à leurs supporters une victoire convaincante.

Avec ce succès, le Sénégal poursuit son rêve continental et se hisse dans le dernier carré, affirmant ses ambitions pour le titre.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention