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Scandale présumé de l’ « Aser-Gate » : La Banque santander tranche en faveur d’Aee Power Sénégal

Le scandale présumé de l’« ASER-GATE » connaît un nouveau rebondissement avec l’intervention de la banque Santander. Dans une correspondance adressée aux autorités sénégalaises, l’institution bancaire confirme la suspension temporaire du financement du projet d’électrification rurale, tout en préconisant une médiation entre les parties prenantes. Par ailleurs, elle prend position en faveur d’AEE Power Sénégal, attestant son rôle d’initiateur du projet.

Un courrier adressé à la direction générale de l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (Aser) par l’Agence espagnole de crédit à l’exportation (Cesce) a démenti avoir suspendu le financement du projet d’AEE Power Espagne, contrairement aux éléments contenus dans la décision de l’Autorité de régulation des marchés publics (Arcop). Pourtant, dans une lettre du 26 décembre 2024 adressée au ministre secrétaire général du gouvernement, Al Aminou Lo, le directeur exécutif de la banque Santander, Antonio Sala, a confirmé que, « conjointement avec l’Agence de Crédit à l’Exportation Espagnole (CESCE), [la suspension temporaire] du financement [a été décidée] jusqu’à ce que le conflit entre les parties soit résolu de manière satisfaisante, conformément à la législation sénégalaise des marchés publics ».
Dans ce contexte, la banque espagnole insiste sur la nécessité d’une rencontre diligentée par le Gouvernement entre l’Aser, l’Arcop, AEE Power Sénégal et AEE Power EPC afin de négocier et parvenir à un accord. D’après l’institution financière, cette discussion permettra de débloquer le litige en cours et la situation actuelle. La banque Santander, principal bailleur du projet d’électrification de plus de 1 500 villages dans les régions de Kaffrine, Saint-Louis, Kédougou, Louga et Tambacounda, propose ainsi une médiation du gouvernement pour faciliter ces discussions et aboutir à une solution pérenne.
La banque Santander ne s’arrête pas là. Dans la même missive, elle prend position en faveur d’AEE Power Sénégal, précisant : « il convient de noter, comme précisé lors de l’audience que vous avez bien voulu nous accorder, que la participation de notre banque à ce projet est le résultat des efforts déployés par le représentant légal de AEE POWER SENEGAL S.A., qui est un partenaire privilégié de notre banque à travers des projets au Sénégal et dans la sous-région, qui se déroulent de manière satisfaisante et dans les délais impartis. » Ce passage de la lettre vient confirmer le rôle d’initiateur du projet joué par l’entreprise de Saidou Kane.
Et pourtant, malgré ces précisions, les autorités sénégalaises semblent ignorer les allégations de la banque espagnole, qui a décidé, pour le moment, de bloquer les décaissements en attendant qu’un accord à l’amiable soit trouvé.

ÉPISODES JUDICIAIRES

Le 21 novembre 2024, la Cour suprême, saisie par l’Aser pour annuler la suspension des travaux imposée par l’Arcop, a débouté l’ASER et ordonné le maintien de l’arrêt du projet d’électrification rurale.
Face à cette décision, les services de Jean-Michel Sène ont introduit une demande de rétractation. À la surprise générale, à quelques tours d’horloge du procès, un changement inattendu de la composition de la Cour suprême en charge du dossier est intervenu. Ce remaniement a alimenté les spéculations. Nombreux étaient ceux qui ne furent pas étonnés lorsque, sous cette nouvelle composition, la Cour suprême a rejeté la demande de suspension du projet de l’Arcop, donnant ainsi le feu vert à l’Aser qui refuse jusqu’à présent de fournir à l’Arcop la documentation demandée.
Le juge des Référés a justifié ce revirement du 21 février 2025 par « l’intérêt public », bien que, lors de l’audience, l’Avocat général, s’alignant sur la position d’AEE Power Sénégal, ait estimé qu’aucune circonstance nouvelle ne justifiait une rétractation et que l’urgence invoquée par l’Aser n’était pas fondée.

Thierno Alassane Sall “PASTEF cherche à verrouiller l’amnistie, tout en façonnant une justice sur mesure pour ses militants”

Thierno Alassane Sall se prononce sur la proposition de loi d’amnistie.Il estime que la proposition de loi interprétative du parti PASTEF vient, en réalité, conforter la loi d’amnistie de 2024. Sous couvert de clarification, elle ouvre la voie à des dérives inquiétantes, créant ainsi une justice à deux vitesses et un climat d’impunité politique.

Un texte qui maintient l’impunité
“La lecture attentive de cette proposition révèle une réalité troublante : la loi d’amnistie de 2024 demeure entièrement en vigueur. Autrement dit, si ce texte est adopté, les crimes et délits commis entre 2021 et 2023, dès lors qu’ils peuvent être justifiés par une motivation politique, ne seront pas jugés.

Prenons un exemple concret : les auteurs de l’incendie criminel du bus de Yarakh pourraient bénéficier de l’amnistie en invoquant leur appartenance à un parti politique et en affirmant qu’ils cherchaient à « libérer leurs camarades ». Une telle logique revient à légitimer la violence sous couvert d’engagement politique.

Une interprétation qui obscurcit le droit
Le principe juridique “Interpretatio cessat in claris” (l’interprétation cesse lorsque la loi est claire) est ici ignoré. L’article 1er de la proposition stipule que seuls les faits ayant une « motivation exclusivement politique » seraient amnistiés. Mais comment établir cette motivation avec certitude ?

Qui déterminera si un acte criminel relève d’un engagement politique sincère ou d’une instrumentalisation de la violence ?
Comment distinguer les véritables militants des individus ayant infiltré les manifestations pour commettre des exactions ?
Pourquoi protéger certains citoyens et pas d’autres, sur la seule base de leur affiliation politique ?
Loin de clarifier la loi, cette interprétation la rend encore plus obscure et crée un dangereux précédent.

Une justice à deux vitesses
Le texte proposé par PASTEF crée une rupture d’égalité flagrante devant la loi. Il protège les militants politiques, tout en excluant les forces de l’ordre du bénéfice de l’amnistie.

Un militant impliqué dans une action violente pourra invoquer la motivation politique et être amnistié.
Un gendarme ou un policier, lui, sera systématiquement jugé pour toute infraction commise dans le cadre du maintien de l’ordre, sans possibilité de recours à la même excuse.
Cette approche binaire divise la République et affaiblit l’État de droit. Elle revient à institutionnaliser une justice partisane, au service d’un camp et au détriment du bien commun.

Refusons cette forfaiture !
Il est désormais évident que PASTEF cherche à verrouiller l’amnistie, tout en façonnant une justice sur mesure pour ses militants. Cette instrumentalisation du droit est inacceptable.

Il ne s’agit pas d’un combat partisan, mais d’un enjeu républicain fondamental. Nous devons nous opposer à cette dérive et refuser qu’une telle loi, qui souille notre histoire et menace notre avenir, soit adoptée.

La République ne doit pas être divisée ni livrée aux calculs politiciens. Engageons-nous pour une justice équitable et impartiale”, a fait savoir le député Thierno Alassane sur X

Augustin Senghor écarté du Conseil de la FIFA pour le mandat 2025-2029

President of Senegal's Football Federation Maitre Augustin Senghor looks on at a hotel in Dakar on May 17, 2018, during the announcement of squad members ahead of the forthcoming 2018 FIFA World Cup in Russia. (Photo by SEYLLOU / AFP)

Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, ne fera pas partie des six représentants de la Confédération africaine de football (CAF) au sein du Conseil de la FIFA pour le mandat 2025-2029.

Lors des élections tenues ce mercredi, Augustin Senghor n’a recueilli que 13 voix, terminant à la dixième place ex æquo avec la Burundaise Lydia Nsekera. Les six sièges attribués à l’Afrique reviennent aux candidats les mieux classés, à savoir :

1️⃣ Fouzi Lekjaa (Maroc) – 49 voix
2️⃣ Hani Aboo Ridha (Égypte) – 35 voix
2️⃣ Djibrilla Hima (Niger) – 35 voix
4️⃣ Kanizat Ibrahim (Comores) – 30 voix
5️⃣ Ahmed Yahya (Mauritanie) – 29 voix
5️⃣ Souleymane Waberi (Djibouti) – 29 voix

Les autres candidats n’ont pas réussi à se hisser dans le top six, notamment l’ancien membre du Conseil Amaju Pinnick (28 voix), Andrew Kamanga (19 voix) et Idriss Diallo (18 voix). Isha Johansen, de Sierra Leone, ferme la marche avec seulement 7 voix.

Avec ce résultat, Augustin Senghor voit son ambition de siéger au sein de l’instance mondiale du football s’éloigner, après un précédent mandat marqué par son engagement au sein de la CAF.

Football. Samuel Eto’o élu au comité exécutif de la Confédération Africaine de Football

Ce mercredi 12 mars, le Camerounais Samuel Eto’o a été élu au comité exécutif de la Confédération Africaine de Football. Il s’était d’abord vu refuser l’accès au poste en janvier, avant d’être finalement accepté.

L’ancienne star camerounaise Samuel Eto’o a été élue au comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), ce mercredi 12 mars au Caire.

Seul candidat pour la région d’Afrique centrale, l’ex-attaquant et actuel président de la Fédération camerounaise (Fécafoot), âgé de 44 ans, a été élu par acclamation. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) avait ordonné vendredi dernier à la Confédération africaine d’accepter la candidature d’Eto’o à son comité exécutif.

La CAF l’avait refusée en janvier estimant que l’ancien joueur du FC Barcelone et l’Inter Milan « avait gravement violé les principes d’éthique, d’intégrité et d’esprit sportif » en devenant l’ambassadeur d’une société de paris.

Sadio Mané et Aïcha Tamba accueillent leur premier enfant, une fille

Sadio Mané, l’une des figures emblématiques du football sénégalais, et son épouse Aïcha Tamba ont célébré la naissance de leur premier enfant, comme l’a rapporté la page dédiée aux Lions de la Teranga. Le couple a accueilli une petite fille, une nouvelle qui a réjoui leurs fans à travers le monde.

Sur les réseaux sociaux, l’élan de joie est palpable, chacun exprimant ses souhaits de bonheur et de santé pour le nouveau-né. Cependant, Mané et Tamba restent résolument discrets sur leur vie personnelle. Par conséquent, les chances de découvrir des clichés de la grossesse d’Aïcha, comme c’est souvent le cas pour les célébrités, semblent minces.

Pour cette information, nous avons pris connaissance de l’annonce auprès de Kawtef, un média qui relaie souvent des nouvelles dans le domaine, tout en conservant la confidentialité et le respect de la vie privée des personnalités publiques.

Est de la RDC : Les rebelles avancent vers Walikale

En République démocratique du Congo, la rébellion de l’Alliance Fleuve Congo, l’AFC et sa branche armée, le M23, soutenus par le Rwanda, continuent leur progression dans la province du Nord-Kivu, dans l’est du pays.

Après la prise de la localité de Nyabiondo, dans le territoire de Masisi, dimanche dernier (09.03), les rebelles viennent de s’ouvrir la route vers Walikale, une zone stratégique, notamment pour ses richesses minières, mais aussi parce qu’elle est une porte vers la ville de Kisangani, le chef-lieu de la province de la Tshopo.

Jack Sinzahera, un expert de la région, estime que les rebelles du M23 ont désormais une perspective vers Kisangani et au-delà, ensuite, vers la capitale, Kinshasa.

Selon lui, “pour les rebelles, Walikale est une zone stratégique, une zone minière, et une zone isolée. On y trouve la société minière Alphamin. Après Walikale, il y a la province de la Tshopo au Nord-Kivu, il y a la province du Maniema. Après le Maniema, on peut directement atteindre le Sankuru et d’autres provinces voisines. Voilà pourquoi le M23, qui a trouvé une résistance au niveau de la plaine de la Ruzizi, a maintenant dégarni ses positions pour se renforcer afin de frapper le territoire de Lubutu. Depuis le Lubutu, ils marchent quatre jours et quatre nuits et atteignent Kisangani. Nous savons tous que Kisangani, sur le plan de la guerre, est une zone très stratégique. Si le M23 arrivait à prendre Kisangani, ils pourraient être à Kinshasa en moins de deux semaines”.

PA : Le tailleur poignarde à mort un voleur présumé

Tailleur, âgé de 26 ans, Ibrahima T. sera édifié par la chambre criminelle de Dakar le 15 avril prochain. Il est accusé d’avoir poignardé à mort Baye Serigne D. après l’avoir accusé de vol. 

Baye Serigne D. est décédé après avoir été poignardé lors d’une altercation, survenue aux Parcelles Assainies en 2019. L’auteur du coup mortel, Ibrahima T., a été ainsi appréhendé, puis inculpé pour homicide volontaire. Six années plus tard, l’accusé a comparu à l’audience criminelle du tribunal de grande instance de Dakar. Rejouant le film du drame, il a déclaré être tombé sur une dispute entre Fall Ndiaga, son frère et Baye Serigne D., la victime. Selon sa version, celui-ci était armé d’un pilon et d’un tournevis et une altercation violente aurait éclaté après que la victime lui ait reproché de l’avoir accusé de vol. Ibrahima T. a affirmé avoir agi en état de légitime défense, utilisant un bâton pour se protéger. La déposition de Fall Ndiaga a balayé d’un revers de main cette version. Fall Ndiaga a laissé entendre que l’accusé n’était pas lucide et a laissé la victime mourante sur place après l’avoir poignardée. Les gardiens du quartier ont ensuite déplacé Baye Serigne D. qui a succombé à ses blessures peu après. Aucun pilon ni tournevis n’a été retrouvé sur les lieux du crime. Pis, les blessures de la victime seraient causées par une corne et non un bâton comme l’a affirmé Ibrahima T.

Le médecin légiste a également confirmé qu’il n’y avait aucun corps étranger dans la plaie, ce qui invalide la thèse de l’accusé. Prenant la parole, Papa Saliou D., le père de la victime, a exprimé sa douleur. « Mon fils était un tailleur, un homme paisible. Ce qu’il a dit à la barre et ce que j’en sais est diamétralement opposé. Je ne réclame pas de dédommagement, mais je veux que justice soit rendue », a martelé le vieil homme, les larmes aux yeux.

Le maître des poursuites a requis sept ans de réclusion criminelle, rejetant la thèse de la légitime défense. « Cette affaire m’inspire un excès de zèle. Un excès de zèle devient de la folie », a lancé le substitut du procureur. Il a souligné qu’Ibrahima T. avait accusé la victime de vol sans preuve. Ce qui a déclenché la dispute. « Il essaie d’articuler une légitime défense ou une excuse de provocation, mais les faits montrent qu’il a agi avec intention de nuire », a-t-il ajouté. La défense a plaidé pour une application bienveillante de la loi, invoquant la jeunesse de son client et une absence d’antécédent judiciaire. La robe noire a également insisté sur le fait que son client n’avait pas l’intention de tuer et qu’il s’était retrouvé impliquer dans une situation qui a dégénéré. « Ibrahima Thiam n’est pas un criminel endurci. Il mérite une seconde chance », a-t-il estimé. Le tribunal a décidé de statuer sur le sort de l’accusé le 15 avril prochain. En attendant, Ibrahima est retourné derrière les barreaux.

Kédougou : Djiné Maimouna refait surface

Le Lycée Mako, dans le département de Kédougou  est plongé dans la psychose de la présence redoutée de « Djiné Maymouna ». 22 élèves sont victimes de crises d’épilepsie, forçant le personnel à suspendre les cours.Alors qu’on pensait ce cauchemar relégué au passé, une scène troublante s’est déroulée au lycée de Mako.

En plein cours, plusieurs jeunes filles ont soudainement perdu connaissance, s’effondrant en syncope sans cause apparente. Cette vague de malaises inexpliqués ravive la crainte d’un retour du « Djinné Maïmouna » dans cette localité aurifère, plongeant les habitants dans l’angoisse.

 

Alertés, les gendarmes de la brigade locale, sous les ordres du commandant Thior, se sont rapidement rendus sur place pour les constatations d’usage. Les 22 victimes ont été évacuées d’urgence vers l’hôpital, où elles sont actuellement prises en charge. Face à cette situation, le personnel éducatif a décidé de suspendre les cours jusqu’à nouvel ordre.

Patrice Motsepe Réélu Président de la CAF par Acclamation

Le mercredi 12 mars 2025, la Confédération Africaine de Football (CAF) a tenu sa 14e Assemblée Générale extraordinaire au Caire, en Égypte. Parmi les premières décisions prises lors de ce congrès, on trouvait la réélection de Patrice Motsepe à la présidence de l’organe directeur du football africain.

Sans surprise, le milliardaire sud-africain, unique candidat au poste, a été réélu par acclamation pour un deuxième mandat qui s’étendra jusqu’en 2029. Depuis son arrivée en 2021, Motsepe s’est attelé à accroître les revenus de la CAF, notamment à travers de nouveaux contrats de sponsoring.

Il a également doublé les subventions allouées aux fédérations membres et réduit le déficit financier de l’organisation. Cependant, des défis demeurent, notamment en ce qui concerne la gouvernance et l’organisation des compétitions, comme l’a mis en évidence le report tardif du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN).

« Macky rentrera au Sénégal quand il le voudra », selon Aïssata Tall Sall

Me Aïssata Tall Sall tranche sur la question de l’extradition de Macky Sall
La présidente du groupe parlementaire Takku Wallu Sénégal, Me Aïssata Tall Sall, a tenu à clarifier le débat autour d’une éventuelle extradition de l’ancien président Macky Sall. Alors que les spéculations se multiplient sur le sujet, l’ancienne ministre des Affaires étrangères a dénoncé les analyses infondées qui circulent dans l’espace public.

« Il y a des apprentis juristes qui parlent et épiloguent sur ce qu’ils ne maîtrisent pas », a-t-elle déclaré. Selon elle, la présence de Macky Sall au Maroc relève d’un choix personnel et non d’un exil forcé. « Les Marocains l’ont bien accueilli. D’ailleurs, ils l’ont même représenté sur un mur pour manifester leur attachement à sa personne. Il a choisi de vivre au Maroc, car c’est sa liberté. Il a également décidé de rester dans un pays africain, et il rentrera au Sénégal quand il le voudra », a-t-elle ajouté.

Par ailleurs, Me Aïssata Tall Sall s’est prononcée sur le projet de loi portant sur le transfèrement des condamnés entre le Sénégal et le Maroc. L’ancienne cheffe de la diplomatie a réaffirmé sa volonté de voter en faveur de l’autorisation de ratification de cet accord, qui permettrait de faciliter l’échange de détenus entre les deux pays.

Alors que le débat sur l’extradition de Macky Sall continue d’agiter la scène politique sénégalaise, la position de Me Aïssata Tall Sall vient apporter un nouvel éclairage sur la question et rappeler le cadre juridique dans lequel s’inscrit cette affaire.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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