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Inventaire des avoirs de Me Moussa Bocar Thiam : les enquêteurs élargissent le champ des investigations

Selon L’Observateur (édition du 1er octobre), des réquisitions ont été adressées aux notaires ainsi qu’aux institutions bancaires, au Sénégal comme à l’étranger, afin d’inventorier les avoirs de Me Moussa Bocar Thiam.

L’information judiciaire ouverte porte sur le marché des aménagements du Programme des titres fonciers numériques (PTN). Les enquêteurs s’intéressent particulièrement aux zones d’ombre entourant la procédure de paiement, ainsi qu’à une note écrite de décharge versée au dossier.

Depuis l’étranger, l’ancien ministre clame son innocence et dénonce un « acharnement politique ». Il affirme qu’« aucune prévarication de ressources publiques » ne saurait lui être imputée.

Depuis la France, Madiambal Diagne conteste la version officielle du ministre de l’Intérieur

«J’avais décidé de sortir du Sénégal dans la nuit du 23 au 24 septembre 2025. J’avais prévu de voyager à destination de la France, où j’avais un rendez-vous professionnel, par le vol de cette nuit, de la compagnie nationale Air Sénégal. J’avais fini mes formalités de police avec les différents contrôles nécessaires. L’agent de police préposé à cet exercice avait naturellement fini de contrôler mes données biométriques et contrôler les indications de son ordinateur, pour enfin apposer le cachet ‘Départ’ sur mon passeport, ainsi que sur la carte d’embarquement. Je présentais les deux documents à d’autres agents pour une ultime vérification. ‘Bon voyage Monsieur Diagne’, m’a dit un des agents vérificateurs, avec beaucoup de respect et de courtoisie.

«Je me dirigeais naturellement vers le passage scanner, en vue d’entrer en zone d’embarquement, quand un agent de police se leva de son box pour interpeller un autre de ses collègues, lui demandant de vérifier davantage mon passeport. Ce policier confisqua mon passeport et mon téléphone portable, et m’intima l’ordre de le suivre dans des bureaux, jouxtant la zone de ‘Départ’. Sur place, ses autres collègues consultèrent tour à tour leur ordinateur et finirent par me dire : ‘Votre vol doit partir dans une heure. On attend juste quelques instructions avant de vous laisser partir. Il n’y a pas de problème.’ Je les voyais passer des coups de fil, tout en me demandant courtoisement de patienter.»

«Je sus par la suite que le Directeur général de la Police nationale (Dgpn) ainsi que le ministre de l’Intérieur n’étaient pas joignables à cet instant, en dépit de multiples tentatives de la part du Directeur général adjoint de la Police nationale. De guerre lasse, le chef de poste me demanda de le suivre au Commissariat de police de l’aéroport, situé en dehors du terminal-voyageurs. Je suis resté là-bas, pendant de longues heures, jusqu’à observer le vol d’Air Sénégal prendre les airs. J’ai ainsi compris que c’était un stratagème pour m’empêcher de voyager, alors qu’il n’y avait aucune opposition formelle à ma sortie du pays. Mon passeport et mon téléphone me furent restitués avec une convocation pour me présenter le 24 septembre 2025 à 12 heures à la DIC. Aucune notification d’une opposition de sortie ne m’a été faite.»

«Je reçus alors une autre alerte, d’un de mes contacts, signalant qu’il était prévu de me garder à vue après une audition. Mon interlocuteur me souligna : ‘La haine est telle qu’il faudra faire attention à tes boissons et aliments !’ Je réalisais qu’il n’y avait pas de risque à prendre sur ma sécurité physique. C’est ainsi que j’ai immédiatement mis en branle un stratagème pour quitter le Sénégal, dans la nuit même. En effet, je voulais éviter d’être pris de court, car j’avais aussi besoin de bien préparer ma défense contre un complot bien ourdi sur une affaire qui a fait les choux gras dans les réseaux et sur laquelle je n’avais encore jamais été interrogé par une quelconque instance.»

«Je revins ainsi à mon domicile à Dakar pour en repartir immédiatement. Je suis arrivé en France le 25 septembre 2025, pendant que la machine policière s’était emballée derrière moi. Histoire sans doute de me forcer à revenir au Sénégal, la police n’a trouvé rien de mieux que de kidnapper femme et enfants. J’ai annoncé être déjà arrivé en France et en réaction, un mandat d’arrêt international a été lancé contre moi.»

«Tout ceci révèle le caractère mensonger du communiqué du ministre de l’Intérieur Mouhamadou Bamba Cissé, qui affirme que je faisais préalablement l’objet de recherches par la police. Si tel était le cas, j’aurais été arrêté depuis plusieurs jours à mon domicile, donc bien avant même d’envisager de voyager. Je vaquais tranquillement à mes activités pendant tout ce temps. »

«Mieux encore, une fois devant la police de l’aéroport, j’aurais été immédiatement arrêté. C’est dire que le limogeage du Commissaire de police de l’aéroport, qui pourtant a fait montre d’un certain zèle au profit de sa hiérarchie, apparaît simplement comme du spectacle. De la même façon, le limogeage du Commissaire chef de la Division des investigations criminelles est tout aussi étonnant. Les autorités de l’État voulaient-elles qu’il m’arrêtât, illégalement, avant même une quelconque audition ? »

HLM : un chauffeur de bus Tata arrêté pour conduite en état d’ivresse et injures publiques

Un incident grave s’est produit ce mardi vers 13 h 30 sur la ligne 75 des bus Tata. Le conducteur, identifié comme M. Ndiaye, 45 ans, domicilié à Bène Barack, a été interpellé aux HLM Rail-bi pour conduite en état d’ébriété, injures publiques et mise en danger de la vie d’autrui.

Selon les témoignages des passagers, l’homme, qui assurait la liaison Colobane–Malika, a tenté une manœuvre risquée en doublant un bus de la ligne 33 près du garage de Guédiawaye. Suite aux reproches d’une passagère, le chauffeur aurait proféré une série d’injures, tentant même à plusieurs reprises de s’en prendre physiquement à elle lors des arrêts. L’altercation s’est ensuite étendue à l’ensemble des voyageurs, tandis que le conducteur adoptait une conduite dangereuse et erratique.

Face à la panique, les passagers ont sollicité l’intervention des agents du corps urbain aux HLM Rail-bi. Le chauffeur a été conduit au commissariat de Biscuiterie-HLM, où les enquêteurs ont confirmé son état d’ivresse. Le bus a été immobilisé et une procédure judiciaire a été ouverte.

Les promesses non tenues jouent contre Diomaye – Sonko

La guerre sans merci qui oppose le parti présidentiel Pastef à celui de l’ex président, Macky Sall, qui est ravivée par les sorties de ce dernier sur certains sujets relance la question des promesses non tenues qui jouent en faveur de Diomaye Sonko.

Comme le « mortal Kombat » qui opposé mouffette et pausome pour le contrôle d’un terrier dans la savane, celui qui oppose l’actuel parti présidentiel à celui qui était à la mêle place avant mars 2024, fratricide. Autrement dit le combat entre ces deux formations
politiques qui a pris une accalmie au début du départ au pouvoir de Macky Sall est ravivé par la polémique sur les fonds publics mais surtout par la reddition des comptes que
Macky et ses partisans qualifient de vendetta ou règlement de compte.

La polémique sur les fonds politiques et les arrestations ravivent l’adversité entre Pastef et l’Apr

Dans cette guerre sans merci entre adversaires politiques, les promesses non tenues par les actuels tenants du pouvoir jouent en leur défaveur. En fait, pour la rationalisation des
dépenses au nom de la rareté des ressources et pour faire face à l’inflation sauvage, le tandem Diomaye Sonko a promis de supprimer certaines agences et créer des
magasins témoins. Des échéances ont été fixées pour ces deux fortes promesses mais à ce jour, toujours rien.

La promesse de magasins témoins et de surpression d’agences oubliées
La suppression des agences inutiles qui ont été créées pour caser de la clientèle politique a été un slogan phare du programme de campagne de Diomaye président. En ce qui
concerne l’inflation sauvage qui presse les revenus de ménages, le gouvernement, via le ministère du commerce avait promis d’installer des magasins témoins. L’objectif étant de contourner attendus depuis avril dernier ne sont toujours pas sortis de terre.

La promesses sur la justice, le chômage, le coût de la vie, les fonds politiques, les nominations, l’homosexualité.

Candidat à la présidentielle du 24 mars 2024, Bassirou Diomaye Faye, avec l’onction de Sonko, avait fait des  promesses sur la justice, le chômage, le coût de la vie, les
fonds politiques, les nominations, l’homosexualité. Pour l’Apr qui ne rate pas l’occasion pour le rappeler, si effectivement les tenants actuels du pouvoir veulent redresser le pays, ils doivent tout simplement respecter leurs promesses qui ont poussé la majeure partie des
électeurs à voter pour eux.

Madiambal Diagne étoffe sa défense avec le cabinet français William Bourdon et associés

Depuis la France, le journaliste et patron du groupe Avenir Communication, Madiambal Diagne, a annoncé le renforcement de son équipe d’avocats. Le cabinet français William Bourdon et Associés, reconnu pour son expertise dans les affaires sensibles à l’échelle internationale, s’associe désormais à sa défense ainsi qu’à celle de sa famille.

« Le Cabinet d’avocats français William Bourdon & Associés participe à ma défense et à celle de ma famille aux côtés de leurs confrères et consœurs sénégalais ….», a écrit Madiambal Diagne depuis la France.

La nouvelle équipe se compose de ce cabinet parisien et de plusieurs avocats sénégalais, parmi lesquels Mes El Amadou Sall, Baboucar Cissé, Dior Diagne, Ramatoulaye Ba, Papa Sène, Arona Bass, Ousmane Thiam et Demba Ciré Bathily.

Figure incontournable du barreau français, William Bourdon s’est spécialisé dans les dossiers liés à la criminalité financière, à la corruption et aux droits humains. Son cabinet est régulièrement sollicité dans des affaires complexes impliquant des personnalités de premier plan et des enjeux internationaux.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention