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Pour produire de l’huile de palme de qualité à Vélingara : 300 pieds de palmiers offerts aux femmes

Le marché hebdomadaire de Diaobé, situé dans le département de Vélingara, est un haut lieu du commerce d’huile de palme. Une huile qui est importée des pays de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest. Un manque à gagner pour l’économie locale que veut résorber le Réseau des femmes leaders de la Casamance, qui a offert 300 pieds de palmiers Ténéré à 100 femmes des communes de Vélingara, Kounkané et Médina Gounass. A terme, la présidente du réseau, Coumba Ndiaye, ancienne députée native de Ziguinchor, veut voir des palmeraies essaimer dans ce terroir situé à l’extrême Est de la Casamance et y installer de petites unités de production d’huile de palme.

Au cours de la cérémonie de remise des pieds qui a eu lieu samedi passé au domicile du Point focal du réseau, Mme Adja Toukang Baldé, l’ancienne adjointe au maire de Ziguinchor, a expliqué : «A Diaobé, est vendue hebdomadairement une grande quantité d’huile de palme venue de la Côte d’ivoire, de la Sierra-Leone ou encore de la Guinée. La bonne qualité de cette huile n’est pas certifiée. Nous sommes dans une zone où il est possible d’avoir des palmeraies et produire de l’huile de palme à consommer localement et à vendre. Et comme le réseau intervient dans l’économie, l’autonomisation des femmes et l’environnement, nous avons pris l’initiative de remettre ces jeunes palmiers à nos membres.» Selon toujours Mme Ndiaye, «il s’agit de palmiers Ténéré qui peuvent produire 20 à 30 kg par pied. En plus de l’huile de palme, on peut avoir des tourteaux, du savon et de l’huile de palmiste. C’est dire tout le bénéfice économique que l’on peut tirer en investissant dans la création de palmeraies».
En attendant les autres étapes de son initiative, le Réseau des femmes leaders de Casamance demande aux maires de faciliter l’accès à la terre aux femmes pour que le département de Vélingara devienne une grande zone de production de palmiers et d’huile de palme.

Le président de Sos Environnement, Oumar Cissé, qui a assisté à la remise des palmiers, a pris l’engagement d’aider au suivi des pieds qui seront mis en terre, et d’informer de l’évolution des plantes. Après une démonstration/explication par un technicien de l’Institut sénégalais de recherche agricole (Isra) des caractéristiques du Ténéré, des techniques de plantation et d’entretien, chacune des 100 femmes présentes est rentrée avec 3 pieds de palmiers.
Mme Coumba Ndiaye a promis de mettre en compétition un prix qui va récompenser les femmes qui auront les mieux entretenu leurs plants. A rappeler que ces pieds, d’un coût de 3500 francs Cfa l’unité, ont été gracieusement offerts au réseau par l’ancien ministre de l’Environnement du Sénégal, Haïdar El Aly.

Absence d’unités de transformation laitière : Un manque à gagner énorme pour les femmes du Ferlo

L’absence d’unités de transformation laitière constitue un frein majeur au développement de l’élevage, particulièrement dans le département de Ranérou. En effet, elle empêche les éleveurs de valoriser leur production, limitant ainsi leurs revenus. Elle constitue un manque à gagner énorme pour l’épanouissement de la femme dans le Ferlo notamment à Ranérou.

Dans le département de Ranérou, il n’existe quasiment pas d’unité de transformation laitière. « Il n’y en a pas dans le département », tranche Bocar Diallo, président du Conseil départemental des jeunes de Ranérou, par ailleurs, premier adjoint au maire de la commune de Houdallaye. « Cela constitue un manque à gagner énorme. À cause de l’absence d’infrastructures de collecte et de stockage, nous versons le lait à même le sol », déplore Rougui Diallo, présidente du Gie « Kawral Diawbé » de Ranérou. Le président de la Maison des éleveurs de Ranérou, Pathé Demba Bâ, et Amadou Sy, secrétaire élu au Conseil départemental de Ranérou, demeurent persuadés que de grosses quantités sont perdues à cause de cette situation qui perdure dans cette partie du pays. Conséquence, pour subvenir à leurs besoins, les femmes éleveuses sont souvent obligées de vendre leurs produits laitiers à vil prix. Rougui S. Diallo, présidente d’un groupement de promotion féminine (Gpf), par ailleurs, membre du Dirfel de Ranérou, a abondé dans le même sens en faisant un constat similaire. « Notre survie dépend de l’élevage. C’est pourquoi nous vendons nos produits laitiers parfois à perte, de même que nos bétails », s’indigne-t-elle. À ses yeux, l’urgence pour le département, c’est la construction et la réalisation d’unités laitières. Faty A. Bâ de l’association « Bamtaaré » de Ranérou est du même avis. Elle et Rougui Diallo demeurent persuadées que la réduction de la facture laitière du Sénégal passe par la construction d’unités de transformation laitière dans le Ferlo, notamment dans le département de Ranérou. Pour le moment, la seule unité qui existe, est en construction dans la commune de Ranérou. Aïssatou Babou en est l’initiatrice grâce à ses partenaires. Selon Ahmadou Diallo, président de la Commission environnement du Conseil départemental de Ranérou, d’autres initiatives individuelles voient le jour à travers le département. À cause de l’absence d’unités de transformation, des femmes éleveuses versent à même le sol le surplus de lait ou le redonnent à leurs troupeaux. Aux yeux du secrétaire élu au Conseil départemental de Ranérou, cet acte est, pour le moment, la seule alternative qui s’offre aux femmes du département. « On dit que Ranérou est le bastion du pastoralisme alors que le département ne dispose même pas d’unité de transformation laitière. Il y a un paradoxe saisissant », relève M. Sy. Selon lui, Ranérou occupe actuellement la place dévolue d’antan à Dahra Djolof, car, constate-t-il, « toutes les richesses pastorales convergent vers Ranérou ». Et avec la transhumance, « le département est devenu le carrefour du pastoralisme. Nous y retrouvons presque tous les éleveurs du pays », indique le secrétaire élu. Il estime que ce dynamisme doit être accompagné avec la mise en place des infrastructures dignes de ce nom pour redonner à l’élevage sa place dans le département.

Facture laitière

La présidente du Dirfel de Louga, Awa Alassane Sow, relativise cette situation et explique cette absence d’unité de transformation par le fait que Ranérou est un nouveau département. « À sa création, il n’y avait quasiment pas de villages au bord de la route. Ce qui fait qu’il était difficile de collecter du lait dans les villages reculés du Ferlo et l’acheminer à Ranérou ou dans d’autres centres urbains », ajoute-t-elle. Pour inverser cette donne, selon elle, il faudra construire des centres de collecte de lait dans les villages de l’intérieur du Ferlo et des unités de transformation laitière. Cela exige nécessairement l’appui de l’État. À défaut, dit-elle, des initiatives privées nécessitent l’accompagnement de l’État à travers la mise en place de certaines infrastructures. Le président du Conseil départemental des jeunes de Ranérou, Bocar Diallo, appelle ainsi les pouvoirs étatiques à appuyer les femmes du département de Ranérou pour qu’elles puissent disposer d’unités modernes de transformation laitière. Toutefois, il souligne que beaucoup de promesses ont été faites aux femmes qui attendent avec impatience ces infrastructures. Pour Rougui Diallo, il y a urgence à soutenir les femmes souhaitant migrer vers l’élevage intensif à travers notamment l’embauche bovine. Car, d’après elle, les perspectives pour l’élevage extensif sont « peu reluisantes » du fait de la « pénibilité » et des « exigences ». Au Sénégal, la facture laitière, c’est-à-dire le coût des importations de produits laitiers, représente un défi majeur pour l’économie nationale. Le pays importe une grande quantité de lait en poudre, principalement de l’Union Européenne ; ce qui pèse lourd sur la balance commerciale. En 2024, la facture laitière a atteint 65,7 milliards de FCfa, soit une augmentation de 20% par rapport à l’année précédente, malgré une légère hausse de la production locale.

Avec le soleil

Kédougou: premières récoltes de fonio et de maïs

Dans son rapport hebdomadaire de suivi de la campagne agricole (semaine du 18 au 24 septembre), la Direction régionale du développement rural (Drdr) de Kédougou indique que l’essentiel des cultures se situe entre les stades génératif et maturité.

D”après le soleil , les premières récoltes ont déjà commencé sur les parcelles de fonio et de maïs issues des premiers semis. La région a connu quatre vagues de semis, et les opérations de cession de semences se poursuivent à travers les commissions départementales. Le rapport souligne que la pluviométrie est globalement inférieure à celle de l’année dernière dans plusieurs localités. Le déficit le plus marqué a été enregistré à Dakatély (-118,8 mm). En comparaison avec la normale saisonnière (1991-2020), neuf postes pluviométriques sur quinze présentent un déficit. Seuls Fongolimbi, Salémata, Saraya, Missirah Sirimana, Bémou et Médina Baffé sont excédentaires, avec un maximum de 306,1 mm mesuré à Saraya au 24 septembre.

Néanmoins, les prévisions pour l’hivernage 2025 annoncent une pluviométrie « normale à excédentaire », ce qui constitue un facteur encourageant pour les opérations de production. Toujours d’après le rapport, la situation phytosanitaire est marquée par la présence de la chenille légionnaire d’automne. Une unité de protection des végétaux, déployée depuis Missirah (Tambacounda), a déjà traité 95 hectares avec 60 litres de produits (Sultan 480 EC) mis à la disposition des producteurs. Le rapport appelle toutefois à renforcer la vigilance et le contrôle à travers des campagnes de sensibilisation et de formation des acteurs. Les dernières pluies ont provoqué des inondations dans plusieurs villages du département de Saraya (Saroudja, Guémédji, Wassangara, Satadougou et Missirah Dantila). Ces sinistres ont occasionné des dégâts sur près de 50 hectares de cultures (maïs, riz, arachide, etc.), souligne la source.

 

Système de paiement instantané de la Bceao: Enjeux et impacts d’une « révolution »

La Bceao opérationnalise ce 30 septembre sa Plateforme Interopérable du Système de Paiement Instantané (PISPI). Cette initiative a plusieurs vertus pour le système bancaire selon l’expert certifié en Finance numérique, digitalisation et inclusion financière, Mouhamadou Moustapha Mbodj. En plus de réduire les coûts et délais de virement, elle devrait favoriser l’inclusion financière et booster le mobile Money. 

La Plateforme Interopérable du Système de Paiement Instantané de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine sera opérationnelle à partir de ce 30 septembre 2025. Avec ce projet de la Bceao, les virements interbancaires seront désormais instantanés. Quels impacts et apports pour cette révolution. Pour l’expert certifié en Finance numérique, digitalisation et inclusion financière, Mouhamadou Moustapha Mbodj, que le plan économique, elle réduira les coûts des transactions et fluidifiera les échanges. Car  commerçants, les PME et même les acteurs du secteur informel disposeront d’un moyen de paiement instantané, sécurisé et moins coûteux, stimulant ainsi leurs activités. Sur le plan social, explique le spécialiste, la plateforme renforcera l’inclusion financière. « Dans l’UEMOA, le taux de bancarisation bancaire reste encore limité, autour de 23%, et 42% au Sénégal en 2023. En rendant les paiements interopérables et accessibles à tous, la PI-SPI contribuera à relever significativement ces chiffres dans les prochaines années », détaille Mouhamadou Moustapha Mbodj. Pour lui, l’un des enjeux majeurs est de réduire la place du cash dans les transactions.

En favorisant les paiements électroniques du quotidien, la SPI devrait à ses yeux contribuer progressivement à diminuer la dépendance au numéraire et à bâtir une économie plus traçable, plus sécurisée et plus favorable à la modernisation fiscale. Elle aire également selon M. Mbodj, le mérite de transformer profondément le paysage bancaire de l’UEMOA dans la mesure où, elle favorise une plus grande intégration entre banques, fintechs et opérateurs de monnaie électronique, en les plaçant sur une même infrastructure commune. « Cette ouverture brise les silos et permettra de toucher une clientèle plus large, contribuant à un relèvement du taux de bancarisation au-delà des 23% actuels dans l’UEMOA », exprime  Mouhamadou Moustapha Mbodj. À l’en croire, ce projet de la Bceao va aussi stimuler l’innovation car au-delà des transferts, les banques pourront proposer de nouveaux produits digitaux adaptés aux besoins des particuliers, des PME et de la diaspora.

Un catalyseur pour les Fintechs

Selon Mouhamadou Moustapha Mbodj, l’émergence des fintechs est d’ailleurs renforcée par l’Instruction n°001-01-2024 de la BCEAO, qui encadre les services de paiement et prépare un marché plus compétitif et plus ouvert. À terme, dit il, elle place le système bancaire dans un environnement plus moderne, plus compétitif et plus favorable à la croissance. Ce qui d’après lui, que le nouveau système est avant tout un catalyseur. « En plaçant tous les acteurs sur une plateforme commune, elle crée un terrain de jeu équitable où la compétitivité se fonde sur l’innovation et la qualité de service.

Pour les fintechs, c’est une opportunité historique de développer des solutions innovantes de paiement, d’épargne ou de crédit adossées à une infrastructure régionale fiable ». Pour les opérateurs de mobile money, selon Mouhamadou Moustapha Mbodj considère que l’interopérabilité ouvre de nouvelles perspectives à élargissement de la clientèle et diversification des services. « Dans notre pays, leur modèle économique devra évoluer. Après la gratuité des dépôts, l’arrivée de la quasi-gratuité des transferts les poussera à repenser leurs sources de revenus. Même si cela change leurs équilibres actuels, c’est un plus pour l’écosystème : la concurrence sera renforcée et les clients seront incités à effectuer des paiements électroniques pour un ensemble plus large de services, ce qui accélérera la transition vers une économie moins dépendante du numéraire », estime Mouhamadou Moustapha Mbodj. Il pense également que la mise en œuvre de ce projet favorise également la convergence entre banques, fintechs et opérateurs de mobile money, et ouvre la voie à un marché plus intégré, inclusif et innovant.

Un  tremplin vers l’open banking

Pour Mouhamadou Moustapha Mbodj, si le lancement de la SPI est réussi à la date du 30 septembre 2025, il ouvrira la voie à une nouvelle ère. Il s’agit de celle de l’open banking dans l’Union ( Un système qui permet aux clients d’accorder à des services financiers tiers). « Une fois les flux de paiements interopérables, la prochaine étape naturelle sera de rendre les données et services financiers accessibles via des API sécurisées, afin de permettre aux fintechs et aux banques de bâtir de nouveaux services à valeur ajoutée », explique le spécialiste.

D’après lui, l’expérience du PIX au Brésil est éclairante car en moins de cinq ans, ce système a permis de bancariser près de 75% de la population et d’accélérer la digitalisation des paiements. Le Pix est un système de paiement instantané lancé en 2020 par la Banque centrale du Brésil, qui permet des transferts et des paiements rapides, gratuits et disponibles 24h/24, 7j/7. « L’UEMOA, avec la SPI comme socle, peut s’inscrire dans la même trajectoire et combiner inclusion, innovation et modernisation du système financier. La PI-SPI n’est donc pas une finalité en soi, mais le point de départ d’une transformation plus profonde qui repositionnera la région dans le concert des économies digitales émergentes », indique Mouhamadou Moustapha Mbodj.

AVEC LE SOLEIL

Réplique de Pape Cheikh à Bouba : « Bi nguén may dieul, daguén ma saraxou fayma xaliss bou bari… »

Pape Cheikh s’est exprimé pour la première fois sur ses différends avec la TFM, et plus particulièrement avec Bouba Ndour. Selon lui, il a entrepris toutes les démarches pour reprendre son travail après son congé passé aux États-Unis. Mais, assure-t-il, Bouba Ndour et la direction ont refusé de donner suite, préférant accorder des interviews à une chaîne YouTube pour parler de la situation.

Il raconte : « Quand Youssou Ndour voulait m’embaucher, ils m’ont supplié, couru derrière moi pour obtenir ma signature.  »

Pape Cheikh détaille : « J’ai appelé Bouba Ndour, et même son secrétaire, pour qu’on me programme après mon mois de vacances aux États-Unis. Ensuite, je lui ai envoyé un message audio pour savoir quand je pourrais reprendre. Il m’a dit qu’il allait me revenir.

Quelques temps après, j’ai contacté Thioro Mbar Ndiaye, qui coordonne l’émission, pour qu’elle informe la direction que j’étais prêt à reprendre… Jusqu’à présent, je n’ai pas eu de retour. C’est alors que j’ai vu Bouba Ndour en parler sur un plateau… »

À la question de l’animateur de la RTS : « Pourquoi n’as-tu pas interpellé Youssou Ndour ? », Pape Cheikh répond : « Si c’était dans le cadre du travail, il aurait dû soit me donner une demande d’explication, soit m’expliquer ce qui se passait. La façon dont il a accordé une interview pour parler de la situation… il aurait pu simplement s’asseoir avec moi et m’en parler.

Je l’ai attendu dire “kou beug na dém, kou beug na tok”. Pourtant, quand il voulait m’embaucher, ils m’avaient supplié et m’avaient proposé beaucoup d’argent pour que je vienne à la TFM. Comme je le dis : “Bi nguén may dieul; daguén ma saraxou fayma xaliss bou bari ma gneuw TFM.” »

Seydina Alioune Seck, l’homme de l’ombre de Wally Ballago, guidé par Awa Baba Thiam

Wally Ballago Seck a été impliqué dans une affaire de blanchiment de capitaux traitée par la Centif, après sa convocation au pool judiciaire financier dans le cadre d’une transaction jugée suspecte entre lui et Amadou Sall, fils de l’ancien président Macky Sall.

Le chanteur a expliqué qu’il s’agissait de la vente de son véhicule à Amadou Sall pour une somme de 210 millions de FCFA. Grâce au versement d’une caution du même montant, il a bénéficié d’une liberté provisoire.

Dans cette affaire, l’attention s’est également portée sur son petit frère, Seydina Alioune Seck. Non pas pour un lien direct avec le supposé blanchiment de capitaux, mais pour sa gestion remarquable de la communication autour de Wally Seck. Sa maîtrise a tellement impressionné que beaucoup se demandent qui se cache derrière lui.

On nous a chuchoté à l’oreille qu’il s’agirait de Awa Baba Thiam, sa belle-mère et mère de son épouse. Depuis le décès de Diaga, Awa Baba Thiam aurait pris Seydina et Wally comme ses propres enfants, les conseillant, les guidant sur la bonne voie et les aidant à éviter toute erreur fatale. Elle agit ainsi comme un véritable bouclier, les protégeant contre toute influence malveillante et les orientant dans leurs choix.

Mondial 2026 (Q) : la FIFA sanctionne l’Afrique du Sud pour avoir aligné un joueur inéligible

Le Comité de discipline de la FIFA a sanctionné l’Association sud-africaine de football (SAFA) pour avoir aligné un joueur inéligible, Teboho Mokoena, lors du match opposant l’Afrique du Sud au Lesotho le 21 mars 2025, comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Cette décision constitue une violation de l’article 19 du Code disciplinaire de la FIFA et de l’article 14 du règlement des éliminatoires.

En conséquence, la FIFA a décidé d’attribuer la victoire au Lesotho sur tapis vert (0-3) et l’Afrique du Sud perd sa première place au profit du Bénin.

Outre cette sanction sportive, la SAFA devra s’acquitter d’une amende de 10 000 francs suisses. Quant à Teboho Mokoena, il a écopé d’un simple avertissement. Les parties concernées disposent d’un délai de dix jours pour faire appel de cette décision devant la Commission d’appel de la FIFA.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention