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Polémique sur les statistiques entre l’Ansd et la Direction du port: Un coup dur à la réputation du Sénégal

L’inédite polémique sur les statistiques entre l’Agence nationale de la statistique et de la démographie -Ansd et la Direction du port porte un coup dur à l’économie du pays. Pour l’image du Sénégal, la partie qui a publié un faux rapport doit être identifiée et sanctionnée.

Le gouvernement du premier ministre, Ousmane Sonko qui a décrié la fausseté des chiffres des budgets sous le régime de Macky Sall ne doit pas admettre dans l’administration Sénégalaise, la publication de faux rapport. Or entre celui rendu public par l’agence nationale de la statistique et de la démographie et la direction du port autonome de Dakar, l’un est faux.

Le gouvernement qui a décrié la fausseté des chiffres du budget sous Macky ne doit pas admettre un faux rapport dans l’administration

Pour rappel, selon l’Ansd, l’activité du port autonome de Dakar est en baisse. L’agence nationale de la statistique de noter dans son rapport une baisse de 17% de l’activité
portuaire en fin 2024. Mais pour la direction du port, ce chiffre ne reflète pas la réalité des activités du p port autonome de Dakar qui sont en hausse.

Pour l’image du Sénégal, la lumière doit être apportée
sur ces rapports contradictoires

En tout cas, après la mise au point de la direction du port qui conteste les chiffres de l’agence nationale de la statistique et de la démographie, celle-ci est revenue à la
charge en confirmant ses chiffres.

L’Ansd contribue à l’amélioration de la croissance et
l’atteinte des objectifs

L’ANSD a pour mission de contribuer à l’amélioration de la pertinence, de la fiabilité et de la mise à disposition des statistiques. Cela permet l’accélération de la croissance et
l’atteinte des objectifs de développement durable.

La baisse des activités du port de Dakar peut mettre à
terre l’économie du pays

Avec sa situation géographique, le port de Dakar a toujours été un des grands carrefours maritimes du monde. Dans le passé, il était le 3eme port de la communauté des Etats
francophones après celui du Havre et de Marseille avant de s’imposer en première ligne au niveau de la sous-région. Le port est le poumon de l’économie du pays avec 55 pour
cent du volume des exportations. Si les activités baissent au port, l’économie va à terre.

Cité Keur Gorgui : trois maçons meurent après une chute d’un immeuble en construction

Trois maçons sont morts à la cité Keur Gorgui de Dakar après une chute d’un immeuble en construction d’une dizaine d’étages. Deux sont décédés sur le coup, le troisième lors de son transfert à l’hôpital.

Les sapeurs-pompiers sensibilisent sur la sécurité des chantiers, notamment à Dakar, où le déficit d’équipements des ouvriers est pointé du doigt. Ce n’est pas la première fois qu’un tel drame se produit.

Ardo Gningue devant le juge ce jeudi

L’activiste et défenseur, Ardo Gningue, a été déféré ce mardi matin par la Division spéciale de Cybersécurité pour un discours jugé contraire aux bonnes mœurs. Après son passage devant le procureur de la République, il a été placé sous mandat de dépôt, en attendant son jugement.
Assis aux côtés de ses avocats, Mes Antoine Mbengue et El Hadji Oumar Youm, Ardo Gningue a été entendu dans le cadre de cette affaire qui a défrayé la chronique ces derniers jours. Selon les autorités, l’activiste est accusé d’avoir tenu des propos considérés comme incitant à la haine et portant atteinte à la moralité publique. Bien que le contenu exact de ses déclarations n’ait pas été précisé dans l’immédiat, l’enquête a révélé que celles-ci avaient été largement diffusées sur les réseaux sociaux.
Les avocats d’Ardo Gningue ont affirmé qu’ils allaient contester les charges retenues contre leur client, soulignant la liberté d’expression comme étant au cœur de leur défense. Ils ont également précisé que l’activiste, qui est connu pour ses prises de position fermes sur des questions de gouvernance et de justice sociale, se réservait le droit de se défendre pleinement devant le tribunal.
Le jugement d’Ardo Gningue est prévu pour le jeudi 13 mars 2025, au tribunal de grande instance hors classe de Dakar, où il sera jugé en flagrant délit.

Assemblée nationale : La procédure de levée de l’immunité parlementaire du député Moustapha Diop enclenché

L’Assemblée nationale enclenche la procédure de levée de l’immunité parlementaire du député Moustapha Diop. Dans un communiqué rendu public, il est indiqué que les membres de la commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits humains sont convoqués ce mercredi pour examiner le projet de résolution de la commission ad hoc, chargée d’étudier cette requête.

Cette étape marque un tournant décisif dans le dossier Moustapha Diop, alors que l’opinion publique suit de près l’évolution de l’affaire. La levée de l’immunité parlementaire ouvrirait la voie à d’éventuelles poursuites judiciaires.

DIRECT : Des camarades du président Bougane Gueye reviennent au-devant de la scène avec de nouvelles révélations

Après plusieurs mois à observer la gestion du nouveau pouvoir, Geum Sa Bopp, dirigé par Bougane Gueye Dany, reprend la parole. La Cellule des Cadres de l’entité est actuellement face à la presse pour partager ses observations et réactions concernant l’évolution politique récente, marquée par des enjeux et défis importants.

 

Chronique de l’improviste : Journée de la Femme – Des vaches laitières pour honorer les dames (Par Henriette Niang Kandé)

Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, est d’ordinaire l’occasion de discours inspirants, avec plus ou moins de sincérité, voire de quelques mesures politiques en faveur de la cause féminine. Mais cette année, le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage a frappé fort, en célébrant les femmes à sa manière : en réceptionnant… des vaches laitières.
« Heureux » hasard du calendrier ? Métaphore imprudente ? Révélation involontaire d’une pensée d’un autre âge ? Démonstration inconsciente de l’imaginaire collectif qui réduit encore trop souvent la femme à une figure maternelle et nourricière ? Le symbole peut prêter à sourire, ou à grincer des dents.
Si la symbolique de l’événement fait hausser quelques sourcils, elle s’inscrit dans un contexte gouvernemental qui ne brille pas par sa parité, ni par un souci croissant pour la cause féminine. Le président de la République et le Premier ministre, chacun, heureux époux de deux épouses, dirigent un gouvernement où les femmes tiennent sur les doigts d’une main, pouce non compris. Elles sont quatre sur trente-deux dépositaires de maroquins ministériels. Ce qui fait dire à certains que la parité, c’est bien joli, mais ça ne nourrit pas son homme. Ni ses vaches, d’ailleurs.
On se souvient qu’au début du Ramadan, le directeur général du Port Autonome de Dakar, avait signé un communiqué pour attribuer aux employées de la société, des horaires spécifiques, en ayant l’amabilité de penser à la fameuse tâche féminine du « togg ndogu », cette manie, même au sommet de l’Etat, d’encore et toujours réduire les femmes aux besognes ménagères.
Réceptionner des vaches laitières le 8 mars, n’est-ce pas aussi rappeler que la femme, dans les mentalités officielles, reste avant tout celle qui nourrit, qui veille au bien-être du foyer et qui assure la subsistance des siens. Une vision que l’on pourrait qualifier d’ancestrale, voire d’archaïque, mais qui trouve manifestement encore sa place dans les hautes sphères du pouvoir.
Pendant qu’ailleurs des femmes et des hommes prenaient la parole pour dénoncer les inégalités, notre bon ministre, lui, ne manquait pas d’éloges sur ces braves bêtes, symboles de prospérité et de productivité. Dans le communiqué publié, il n’a pas manqué de saluer dans une démonstration d’éloquence rustique, “le projet [qui] vise à améliorer la productivité du cheptel, développer les cultures fourragères, moderniser les élevages ». Pas un mot pour les femmes éleveuses. Les plus beaux qualificatifs ont été adressés aux vaches et leur coût mis en avant : « depuis 2017, grâce à un partenariat public-privé, le Sénégal a importé 6732 génisses de race laitières performantes (Holstein, Montbéliarde, Normande, Jersiaise, Brune) pour un investissement de 13 milliards F FCA, dont 5,4 milliards F CFA de subvention étatique ». Source : le ministre (sic).
Pourtant, ce sont les femmes éleveuses, au même titre que les hommes, qui représentent l’épine dorsale de l’économie rurale domestique. Elles se lèvent à l’aube, bien avant que les coqs n’aient l’idée de chanter. Elles sèment, bêchent, récoltent et commercialisent ce que la terre, (cette année très capricieuse, soit dit en passant), veut bien offrir. Elles nourrissent le petit bétail, veillent sur la santé des bêtes, et entre deux traites, gèrent aussi leur foyer. On les félicite toujours pour leur courage, mais on oubliera sûrement de leur donner quelques génisses. Pendant ce temps, ses bêtes, elles, bénéficient de plus d’attention de la part des institutions publiques. Peut-être parce qu’elles, au moins, produisent du lait sans réclamer l’égalité de droits fonciers, la lutte contre les violences dont elles sont victimes, ou l’autonomisation économique. Devrait-on s’attendre à une cérémonie de réception de poules pondeuses de race, le jour de la fête des Mères ?
Au final, ce 8 mars aurait pu être l’occasion pour le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, d’annonces fortes en faveur des femmes qui s’activent dans le domaine couvert par son département pour mieux résorber le gap persistant encore dans les mentalités sénégalaises. Monsieur Diagne n’a même pas compris l’ironie de la situation. Une chose est cependant sûre : l’histoire retiendra qu’en 2025, en pleine journée internationale des droits des femmes, un ministre de la République a préféré glorifier des vaches laitières plutôt que de parler des droits des femmes. Peut-être pour confirmer que dans son esprit et dans ce pays, ces droits-là, avancent au rythme d’une vache laitière qui rumine. À chacun sa vision du progrès.
 
 
Henriette Niang Kandé
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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