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Biggy : Un divorce après six mois de mariage, la vérité révélée !

L’influenceur « Biggy » et sa femme Sira ont divorcé après seulement six mois de mariage, une nouvelle qu’il a lui-même révélée via ses réseaux sociaux.

La vie est faite de chapitres qui s’ouvrent et se ferment. Aujourd’hui, je traverse une transition importante, et je vous l’annonce, par la grâce de Dieu, avec respect et transparence : après six mois de relation, mon mariage a pris fin le 13 septembre. C’est une étape difficile, mais je l’accueille avec dignité et sérénité.

Je tiens à préciser que je ne nourris aucune haine ni ressentiment envers la personne concernée. Chacun a son propre chemin et ses propres choix, même si la demande vient d’autrui. Bien que la procédure soit en cours devant les tribunaux, mon devoir d’homme, de créateur, d’entrepreneur et de leader est de garder la tête haute et de montrer l’exemple, même face à l’adversité.

Cette décision, bien que difficile, a été prise avec sérénité et maturité. Je vous suis reconnaissant pour tout le soutien et l’amour que vous me témoignez chaque jour. Je m’oppose à toute parole clivante et à toute forme de provocation, sauf à la persistance, car la loi existe.

Je préfère avancer, continuer à construire et me concentrer sur l’essentiel : mon travail, mes projets, ma famille, mes proches et la confiance que vous me témoignez. Je compte sur votre compréhension et votre bienveillance pendant cette période difficile.

Cambriolage signalé au domicile de l’ex-épouse de Madiambal Diagne

Un nouvel épisode vient s’ajouter à l’affaire Madiambal Diagne et il risque d’alimenter encore davantage les interrogations. La maison de l’ex-épouse du journaliste, où vivent également ses enfants, a été cambriolée et dévalisée. Des bijoux ainsi que plusieurs effets personnels ont été emportés.

Selon les informations relayées par le journaliste Bachir Fofana sur sa page Facebook, l’ex-épouse de Madiambal, souffrante, avait été déplacée avant le cambriolage, ce qui explique qu’aucune présence n’ait été constatée sur les lieux. Détail troublant, aucune serrure n’a été forcée, laissant planer de nombreuses questions sur les conditions exactes de cette intrusion.

Cette affaire vient s’ajouter au tollé déjà provoqué par le feuilleton judiciaire dit « affaire Madiambal ». Pour rappel, le directeur du groupe Avenir Communication fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, après avoir été cité dans une enquête de la Centif sur de présumées transactions financières suspectes. Resté introuvable malgré une convocation de la Division des investigations criminelles, il avait révélé depuis la France avoir quitté discrètement le pays, en dépit d’une interdiction de sortie du territoire.

Entre un journaliste sous mandat d’arrêt, des responsables de police relevés de leurs fonctions et désormais un cambriolage mystérieux visant le domicile familial, le dossier prend des allures de feuilleton politico-judiciaire, nourri d’ombres et de zones d’incertitude.

Affaire Ibrahima Ba : la « Nouvelle Responsabilité » dénonce une manœuvre politique visant Amadou Ba

Selon Les Échos, l’ancien ministre Amadou Ba s’est rendu la semaine dernière en prison pour rendre visite à son fils, Ibrahima Ba, placé sous mandat de dépôt.

Dans un communiqué, le mouvement « Nouvelle Responsabilité » a dénoncé une détention arbitraire visant, selon lui, davantage le père que le fils. « L’opinion publique en est persuadée : au-dessus du fils, c’est le père qui est visé, pour des raisons exclusivement politiques. Car, Ibrahima Ba n’a jamais travaillé dans une entité étatique et n’a jamais bénéficié d’un contrat avec une structure publique », précise le texte.

Le mouvement fustige également l’incarcération de Cheikh Tidiane Seck, chauffeur d’Amadou Ba, qu’il qualifie de « manœuvre sournoise » plutôt que de contentieux judiciaire réel.

Pour rappel, le Pool judiciaire financier a placé vendredi dernier sous mandat de dépôt Ibrahima Ba, son chauffeur Cheikh Tidiane Seck, ainsi que Saliou Sylla, dans le cadre d’une enquête portant sur leur participation à une Société civile immobilière montée avec Amadou Macky Sall.

Limogeage du chef de la DIC et du commissaire spécial de l’aéroport : Bougare Diouf parle d’incompétence de Bamba Cissé

Le chef de la DIC ne devrait pas être tenu pour responsable d’une interdiction de sortie du territoire mal exécutée au niveau aéroportuaire. La responsabilité première repose sur le Commissariat spécial de l’aéroport et ses agents, sauf si une enquête venait à démontrer que la DIC ou une autre structure avait volontairement bloqué ou mal relayé l’information.

1. La Division des Investigations Criminelles (DIC)
La DIC a pour mission principale la conduite des enquêtes, la collecte de preuves, l’exécution de réquisitions et le suivi des dossiers judiciaires.
Elle n’assume pas directement la charge du contrôle aux frontières ni l’exécution opérationnelle des mesures d’interdiction de sortie du territoire dans les aéroports.

En conséquence, sauf manquement avéré dans la transmission des informations aux services compétents, son directeur ne peut être tenu pour premier responsable d’une défaillance constatée à la frontière.

2. La Police de l’Aéroport (Commissariat spécial)
La responsabilité du Commissariat spécial est précisément d’assurer la sûreté aéroportuaire et de veiller à l’application des mesures restrictives concernant les passagers, notamment en cas d’interdiction judiciaire ou administrative.

Si une personne frappée d’une interdiction parvient malgré tout à quitter le territoire national, la responsabilité immédiate incombe en priorité au commissaire spécial et à ses équipes. Dans ce cas, des sanctions disciplinaires, y compris un éventuel limogeage, peuvent se justifier lorsque la faute est établie.

3. Les causes possibles du dysfonctionnement

Une rupture de communication entre le parquet, le ministère de l’Intérieur et les services de police aéroportuaire.

Un défaut de mise à jour des bases de données relatives aux interdictions de voyager.

Éventuellement, des actes de complicité ou de corruption au niveau local.

4. La logique institutionnelle
Dans un État de droit, la sanction doit toujours viser le niveau exact de responsabilité. Elle doit s’appliquer en priorité aux agents ou responsables directement défaillants.

En ce sens, limoger le directeur de la DIC pour une défaillance constatée dans l’exécution d’une interdiction aux frontières relèverait davantage d’une décision politique que d’une mesure disciplinaire objective et rationnelle.

Bougar Diouf président de l’Union des panafricabistes sénégalais (UPS)

 

Alioune Tina appelle à dépolitiser la reddition des comptes et à renforcer la présomption d’innocence

Alioune Tina a lancé, ce samedi, un appel en faveur d’une gestion plus impartiale de la reddition des comptes. Sur le réseau social X, il a invité à soustraire ce processus des calculs politiques, en laissant à la justice le temps nécessaire pour apprécier les preuves.

Il a également insisté sur l’importance du respect de la présomption d’innocence. Selon lui, toute personne disposant de garanties de représentation devrait pouvoir comparaître en liberté, la détention devant rester une exception. « La liberté est la norme », a-t-il rappelé.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention