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Braquage armé à Mboro : une commerçante dépouillée de 8 millions FCFA, un homme séquestré

Dans la nuit du 11 au 12 août 2025, aux environs de 3 heures du matin, un braquage d’une rare violence a été perpétré au quartier Mbaye Mbaye Peulh de Mboro, au domicile de Mme Élisabeth Mbengue, commerçante.

Selon les premiers éléments, un groupe d’individus lourdement armés de fusils de chasse, pistolets automatiques, machettes et coupe-coupes a encerclé la maison avant de neutraliser les caméras de surveillance. Après avoir tiré plusieurs coups de feu en l’air pour semer la panique, les assaillants ont pris en otage les huit occupants de la demeure.

Sous la menace, Mme Mbengue a été contrainte de remettre la somme de 8 000 000 FCFA, destinée à un versement à la SOBOA à Dakar. Les malfaiteurs se sont également emparés des clés d’un véhicule gris appartenant à M. Victorien Tendeng, chef de famille, qu’ils ont ligoté, enfermé dans le coffre, puis abandonné à la sortie du village.

Alertée, la brigade territoriale de Mboro s’est rapidement rendue sur les lieux pour procéder aux constatations. Une enquête est en cours pour identifier et arrêter les auteurs de ce braquage.

L’APR participe au Sommet des Partis Politiques Africains à Accra

Une délégation de l’Alliance Pour la République (APR) prend part au Sommet des Partis Politiques Africains, qui se tient à Accra du 12 au 14 août 2025. L’événement est organisé par le Gouvernement du Ghana et le Centre Africain de Gouvernance, dans le cadre de l’Initiative des Partis Politiques Africains (APPI).

La délégation sénégalaise, conduite par Amadou Mame Diop, comprend El Hadji de Youm, Nene Fatoumata Tall Mbaye et Abdoulaye Diagne. Ce sommet rassemble plus de 100 partis politiques issus de 30 pays d’Afrique et des Caraïbes, ainsi que des chefs d’État, dirigeants politiques, représentants de la société civile, experts universitaires et institutions de développement international.

Placée sous le thème « De la politique à la prospérité : renforcer la collaboration entre les partis pour le développement et la transformation économique de l’Afrique »

Affaire Lat Diop : la Chambre d’accusation financière ordonne une nouvelle libération provisoire

La Chambre d’accusation financière a, une fois encore, ordonné ce mardi la mise en liberté provisoire de l’ancien ministre Lat Diop. La décision finale dépend toutefois du parquet général, qui doit se prononcer.

Lat Diop, ancien ministre des Sports et ex-directeur de la Lonase, est inculpé et placé sous mandat de dépôt. Il fait face à de lourdes accusations, notamment de détournement présumé de deniers publics, d’extorsion de fonds et de blanchiment de capitaux.

Selon nos informations, le préjudice financier serait estimé à 8 milliards de FCFA. L’affaire, très suivie, reste en attente d’un nouveau développement judiciaire.

Dakar : le corps sans vie d’un bébé retrouvé sur la plage de Soumbédioune

Un drame a secoué la plage de Soumbédioune, à Dakar, où le corps sans vie d’un bébé a été découvert dans un état de décomposition avancée. Les circonstances entourant la mort de l’enfant demeurent inconnues, tout comme la manière dont il ou elle s’est retrouvé(e) sur ce rivage.

Les expertises médico-légales n’ont pas permis de déterminer la date exacte ni la cause du décès, en raison de l’état avancé de décomposition de la dépouille. Aucune indication n’a pu être recueillie sur l’identité du bébé ou sur celle de ses parents.

Sur instruction du procureur de la République, le corps a été inhumé. L’enquête se poursuit afin de tenter de lever le voile sur cette affaire qui suscite émotion et interrogations.

Gambie : la mort d’un bébé suite à une excision ravive le débat sur cette pratique

L’excision alimente de nouveau les conversations politiques et sociétales en Gambie. La polémique a été relancée par la mort d’un nourrisson d’un mois lundi après une mutilation génitale féminine, survenue dans le district de Kombo Nord.

La fillette, âgée seulement d’un mois, a développé une hémorragie à la suite d’une excision et est décédée à l’hôpital. Sa mort a suscité une onde de choc dans le pays, où l’excision est interdite depuis 2015.

Les contrevenants s’exposent à des peines de prison, pouvant aller jusqu’à la perpétuité en cas de décès.

Malgré l’interdiction et le risque d’une peine de prison, la mutilation génitale féminine (MGF) est toujours répandue en Gambie, le pays figurant parmi les dix pays dans le monde où le taux de MGF est le plus élevé. 73 % des femmes et des filles de 15 à 49 ans ont subi cette pratique, selon les chiffres de l’Unicef publiés l’année dernière.

En Gambie, la pratique reste lourdement ancrée dans les traditions sociétales. Plus récemment, les autorités ont fait face à de plus en plus de plaintes visant la dépénalisation des mutilations génitales féminines en Gambie.

En juillet 2024, les députés ont rejeté une proposition de loi qui aurait levé l’interdiction.

Sur le continent africain, la FGM a causé 44 000 décès supplémentaires dans 28 pays en 2023, selon une étude publiée par l’université de Birmingham en Angleterre.

Pr El Hadj Makhtar Bâ, psychiatre-neurologue à Albert Royer :« L’accompagnant doit être pris en compte pour améliorer la santé des malades »

Auteur d’une étude sur l’anxiété et la dépression chez les accompagnants des patients admis au Centre hospitalier national Dalal Jamm, le Pr Elhadj Makhtar Bâ est formel : l’accompagnant doit être institutionnalisé dans les structures de santé. Selon son étude, 30,3 % des accompagnants sont anxieux et 26,2 % dépressifs.

Vous avez mené une étude « transversale analytique » entre janvier et décembre 2023 au service de cancérologie du Centre hospitalier national Dalal Jamm sur l’anxiété et la dépression chez les accompagnants des patients admis dans ledit service. Pouvez-vous revenir sur les résultats ?

Déjà, il faut rappeler les contours de cette étude. C’est une thèse que j’ai encadrée. Dans le cadre de nos enseignements à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, nous encadrons régulièrement des thèses. J’ai donc encadré celle du Dr Ahmed Koumba Fall, un jeune interne très brillant en cancérologie qui, pour une fois, a décidé de ne pas simplement s’intéresser aux cancers, mais d’aller voir les personnes qui accompagnent les enfants hospitalisés dans les services d’oncologie pédiatrique de l’hôpital Dalal Jamm. Parce qu’on sait que les personnes hospitalisées, qui souffrent de pathologies cancéreuses, dépendent énormément de leur entourage. Cette étude montre plusieurs choses. Elle montre d’abord que le poids de la pathologie est énorme. Un tiers des aidants, durant cette période, ont présenté des troubles anxieux-dépressifs. Il y a eu 122 sujets sélectionnés parmi les aidants. Parmi eux, une bonne partie était soit anxieuse, soit dépressive. Et ce qui est dommage, c’est que ces aidants ne sont pas pris en charge, bien qu’ils soient à l’hôpital. Dans le système hospitalier, on prend en charge le ou la patient(e), mais on ne fait pas attention à l’aidant. Et pourtant, les chiffres sont élevés. Ces troubles ne sont pas nécessairement pris en charge.

À combien se chiffre le taux de stress ou d’anxiété des aidants étudiés ?

L’anxiété, c’est 30,3 %. Et la dépression, 26,2 %. Si l’on cumule les deux, cela fait beaucoup. C’est un indicateur qui montre qu’il faut agir. J’ai d’ailleurs associé ces données à un autre mémoire, soutenu en gériatrie, qui portait sur ce qu’on appelle la charge des aidants. Il faut vraiment réfléchir à comment structurer nos établissements de santé. Quand votre enfant est hospitalisé dans une salle où d’autres enfants meurent, comment vit-on cela en tant qu’accompagnant ? Comment supporter la douleur de voir un enfant mourir à deux lits du vôtre ? C’est difficile d’entendre son enfant crier, souffrir, sans pouvoir le soulager. Et cette charge n’est pas propre au cancer. On la retrouve dans beaucoup d’autres pathologies. Le système hospitalier est-il préparé à accueillir une personne sans aidant ? Je pense qu’il faut se poser la question et intégrer la prise en charge de ces aidants.

Quelle est la couche la plus touchée par le stress dans l’étude ?

L’étude montre que les fonctionnaires sont les plus impactés. Avec 62,5 % d’anxiété, suivis des employés du privé à 43,8 %. Sur le plan psychologique et émotionnel, les aidants sont fortement touchés. Certains sont même obligés d’arrêter leur travail pour s’occuper de leurs proches malades. Je pense par exemple à l’ancienne ambassadrice du Sénégal au Cameroun, qui était également vice-présidente de l’Association nationale des malades d’Alzheimer. Elle a démissionné pour s’occuper de son mari malade. C’est énorme. Parfois, on est la seule personne disponible, donc on doit tout arrêter. Il ne s’agit pas seulement d’accompagner à l’hôpital, mais aussi à la maison. Et parfois, cet accompagnement, c’est pour la vie. Je pense notamment aux enfants atteints de déficiences lourdes, qui nécessitent une assistance continue. Ce sont souvent les mères qui sont les plus touchées. Elles arrêtent toutes leurs activités pour être au chevet de leurs enfants. Les taux d’anxiété et de dépression chez les femmes sont de 35,1 % et 32,5 %, contre 22,2 % et 15,6 % chez les hommes. Ces études doivent être menées dans tous les services, car la problématique des accompagnants se pose partout. Je me souviens d’un focus group à Dalal Jamm : un accompagnant m’a confié qu’il n’avait rien à manger, car l’hôpital n’autorise pas l’entrée de nourriture et ne donne à manger qu’aux patients. C’est un vrai problème. Beaucoup d’hôpitaux ne pensent pas aux accompagnants. À Fann, grâce à l’aide de la Fondation Sonatel, une maison des accompagnants a été mise en place, avec des commodités. Mais dans certaines structures, si le patient n’est pas en cabine, il est même difficile d’aller aux toilettes.

Que faut-il faire selon vous pour améliorer la situation des accompagnants ?

Il faut mener une réflexion autour des aspects psychologiques. Imaginer des activités pour les occuper, mais aussi réduire leur charge mentale. L’expérience des focus groupes est intéressante. Elle est à multiplier dans tous les services, mais cela ne peut se faire que si c’est institutionnalisé. Actuellement, tout cela se fait de manière bénévole. Beaucoup de collègues s’impliquent, mais ce n’est pas structuré. Il est temps que les accompagnants soient pris en compte au niveau institutionnel. La psychiatrie a une histoire particulière avec les accompagnants. Elle est l’un des premiers services à institutionnaliser leur présence. Je pense à Henry Colomb, qui a analysé la société sénégalaise et disait : « Ici, la famille est très importante ». Si un patient reste hospitalisé trop longtemps sans voir sa famille, il risque de perdre le lien social, et cela complique sa réinsertion. Quand un membre de la famille est hospitalisé en même temps que le patient, cela crée un lien. Malheureusement, aujourd’hui, les familles sont plus petites, et rien n’a été prévu. Il faut repenser tout cela.

Est-ce que l’état de stress de l’accompagnant peut avoir un impact sur le patient ?

Oui. Si vous êtes la mère d’un enfant et que vous êtes vous-même déprimée, cela affectera votre interaction avec lui. Si votre santé mentale se détériore, vous risquez de négliger ou de maltraiter le malade, même sans le vouloir. Vous pouvez devenir impulsif, colérique. Le premier niveau d’intervention, c’est la communication. Dans nos structures, les accompagnants sont souvent maltraités. Peut-être en raison de la surcharge de travail. Quoi qu’il en soit, cela ne devrait pas être toléré.

Il y a souvent des tensions entre accompagnants et personnel médical. Que faire pour les apaiser ?

Il faut d’abord améliorer la communication entre le corps soignant et les accompagnants. Ensuite, il faut créer des espaces de repos pour les accompagnants dans les hôpitaux. Quand on construit des services, on doit penser à des lieux où les accompagnants peuvent dormir, se reposer, se laver, manger. En cas d’urgence, c’est souvent l’accompagnant qui doit courir à la pharmacie. Si vous allez maintenant en neurologie, vous verrez des accompagnants couchés à même le sol devant le service, faute d’espace dédié. Il faut aussi penser à des commodités comme des toilettes, des douches, etc. Il faut renforcer les relations humaines, former le personnel subalterne (infirmiers, agents de salle) à mieux gérer la relation avec les aidants. Enfin, il faut organiser des groupes de parole. Ces petites choses peuvent vraiment alléger leur fardeau émotionnel. Il faut que les accompagnants se sentent écoutés, respectés, et qu’on fasse attention à la façon dont on leur parle de l’état de santé de leurs proches.

AfroBasket 2025 – Sénégal vs Ouganda : les Lions réussissent leur entrée (88-53)

Dans une salle clairsemée et après quelques réglages techniques, notamment sur le chrono, le coup d’envoi du premier match de l’AfroBasket masculin 2025 a été retardé. Mais les Lions n’ont pas laissé ce contretemps les perturber.

Dès les premières minutes, Gora Camara a donné le ton en imposant son agressivité offensive. Le Sénégal démarre sur un 9-0 avant de concéder le premier panier ougandais après près de quatre minutes de jeu. Avec trois tirs primés réussis en fin de quart-temps, Jean Jacques Boissy permet aux Lions de creuser l’écart. Le premier acte se conclut sur un 30-18 maîtrisé.

Le deuxième quart est plus disputé. Les Ougandais, portés par Deng, passent en bloc et durcissent le jeu. Le Sénégal marque 14 points contre 12 encaissés, conservant son avance. À la pause, les Lions mènent 44-30, grâce notamment aux premiers tirs primés de Brancou Badio et Makhtar Gueye.

Au retour des vestiaires, l’adresse à trois points se fait rare – un seul panier primé signé Ousmane Ndiaye – mais la domination intérieure est nette. Pape Moustapha Diop et Gora Camara assurent sous la raquette. Cette période est aussi marquée par le premier panier du nouveau renfort Boubacar Cissé Diallo. Les Lions abordent le dernier quart avec une avance solide, 60-39.

Dans les dix dernières minutes, le Sénégal accélère à nouveau et s’impose logiquement (88-53). Makhtar Gueye, Ousmane Ndiaye et Jean Jacques Boissy haussent le ton et régalent avec de belles séquences pour conclure une belle victoire. Le banc réussit 52 points ! Une bonne performance d’entrée.

Une entrée en matière réussie pour les hommes de DeSagana Diop , qui affronteront l’Égypte dans deux jours pour leur deuxième match de poule.

 

Avec wiwsport

Comment calmer une rage de dent rapidement et efficacement

La rage de dent n’attend pas. Entre douleur fulgurante et inconfort quotidien, ce mal peut vite devenir insupportable. Mais comment réagir rapidement et efficacement ? Dans cet article, nous vous dévoilons des astuces simples pour apaiser la douleur, des remèdes maison utiles et des conseils pour éviter que cela ne se reproduise.

Prenez soin de vos dents avec le sourire… et Santé bien-être !

Qu’est-ce qu’une rage de dent

La rage de dent, c’est cette douleur intense et lancinante qui peut gà¢cher vos journées – et vos nuits. Elle survient généralement à  cause d’une inflammation de la pulpe dentaire, cette partie interne où se nichent les nerfs et les vaisseaux sanguins de la dent. Résultat ? Une douleur souvent insupportable, qui peut irradier jusqu’à  la mà¢choire, voire les oreilles.

Cette affection est plus fréquente qu’on ne le pense, touchant aussi bien les adultes que les enfants. Elle se manifeste par des élancements, une hypersensibilité au chaud et au froid, ou encore une douleur accrue au contact d’aliments sucrés. Bref, un cauchemar pour quiconque tente de l’ignorer.

Mais une chose est sûre : ce problème dentaire n’arrive jamais sans raison. Pour mieux comprendre, passons en revue les causes principales dans la prochaine section.

 

Les causes principales d’une rage de dent

La rage de dent n’est jamais anodine. Elle résulte souvent de problèmes sous-jacents qui méritent toute votre attention. Voici les principales causes de cette douleur persistante :

  • La carie dentaire : Lorsqu’elle n’est pas traitée, la carie peut progresser jusqu’à  atteindre la pulpe dentaire, provoquant une pulpite, synonyme de douleurs intenses.
  • L’infection ou l’abcès dentaire : Un abcès, c’est une accumulation de pus due à  une infection bactérienne. Cela peut entraîner une douleur aiguà« et nécessiter une intervention urgente.
  • Les problèmes de gencives : Gingivite ou parodontite, ces inflammations peuvent fragiliser vos dents et causer des douleurs importantes.
  • Un traumatisme dentaire : Une fracture ou une fissure, même discrète, peut exposer la pulpe et déclencher une douleur vive.
  • La poussée des dents de sagesse : Leur émergence peut s’avérer douloureuse, surtout lorsqu’elles manquent de place ou sont mal alignées.

Chacune de ces causes nécessite une prise en charge spécifique. Mais en attendant le rendez-vous chez le dentiste, comment calmer la douleur ? La réponse dans la section suivante.

 

Comment calmer la douleur en attendant un rendez-vous

Lorsqu’une rage de dent survient, chaque minute semble interminable. Heureusement, il existe des solutions temporaires pour soulager la douleur avant de consulter un dentiste :

  1. Rincer à  l’eau salée : Mélangez une cuillère à  café de sel dans un verre d’eau tiède. Ce remède simple aide à  réduire l’inflammation et nettoie la zone affectée.
  2. Appliquer de la glace : Placez une compresse froide ou une poche de glace sur la joue, à  l’extérieur de la zone douloureuse, pendant 15 à  20 minutes. Cela engourdit la douleur et limite les gonflements.
  3. Prendre des antidouleurs : Le paracétamol ou des antalgiques adaptés peuvent atténuer temporairement la douleur. Consultez toujours un pharmacien ou un médecin avant de prendre un traitement.

Ces solutions ne remplacent pas une visite chez le dentiste, mais elles vous aideront à  patienter. Voyons maintenant quelques remèdes maison qui peuvent compléter ces gestes de secours.

 

Les remèdes maison efficaces

Quand la douleur frappe, les remèdes maison peuvent offrir un soulagement bienvenu. Voici quelques astuces naturelles à  essayer :

  • Le clou de girofle : Ce petit trésor est réputé pour ses propriétés anesthésiantes et antibactériennes. Appliquez une goutte d’huile essentielle de clou de girofle sur un coton-tige et déposez-le sur la dent douloureuse. Pas d’huile ? Croquez doucement un clou de girofle pour libérer ses bienfaits.
  • La décoction de clous de girofle : Faites bouillir quelques clous dans de l’eau pendant 10 minutes. Utilisez cette infusion comme bain de bouche deux fois par jour pour apaiser la douleur.
  • Le sachet de thé à  la menthe : Une fois refroidi, placez un sachet sur la dent concernée. La menthe poivrée aide à  engourdir la douleur et réduit l’inflammation.

Ces remèdes sont des alliés précieux, mais ils ne traitent pas la cause profonde. La consultation d’un dentiste reste indispensable. Dans la section suivante, nous verrons quand il est crucial d’agir en urgence.

Quand consulter un dentiste en urgence

Certaines situations exigent une intervention rapide pour éviter des complications graves. Voici les cas où il est impératif de consulter un dentiste sans attendre :

  • Douleur persistante malgré les antalgiques : Si la douleur reste intense et ne s’atténue pas avec les remèdes, cela peut indiquer une infection ou un problème plus sérieux.
  • Gonflement important : Un abcès dentaire peut provoquer un gonflement visible de la joue ou de la mà¢choire. Cela peut évoluer en une infection généralisée (septicémie) si ce n’est pas traité à  temps.
  • Fièvre ou malaise général : Ces symptômes, associés à  une douleur dentaire, peuvent être les signes d’une infection grave nécessitant une prise en charge médicale urgente.

En cas de doute, il est toujours préférable de consulter un professionnel. La prévention reste néanmoins la meilleure arme contre les rages de dent, comme nous le verrons dans la section suivante.

Notre article concernant le mal de ventre est fait pour vous !

Prévenir les rages de dent : les bonnes habitudes

Adopter une routine d’hygiène bucco-dentaire rigoureuse est essentiel pour éviter les rages de dent. Voici les gestes à  privilégier au quotidien :

  1. Un brossage efficace : Brossez-vous les dents au moins deux fois par jour avec un dentifrice fluoré, en prenant soin d’atteindre toutes les surfaces. Utilisez du fil dentaire pour nettoyer les zones entre les dents.
  2. Limiter le sucre : Réduisez la consommation de sucreries et de boissons sucrées, qui favorisent les caries. Optez plutôt pour des aliments riches en calcium et en vitamines.
  3. Des visites régulières chez le dentiste : Faites contrôler vos dents tous les six mois. Un détartrage régulier permet de prévenir les problèmes avant qu’ils ne s’aggravent.

La santé dentaire commence par des habitudes simples mais efficaces. En les adoptant, vous éviterez bien des désagréments et garderez un sourire éclatant.

Cap-Vert: au moins 8 morts suite à des inondations et mouvements de terrain

Au Cap-Vert, des inondations et des mouvements de terrain provoqués par des pluies torrentielles le 11 août 2025 ont fait au moins 8 morts et de nombreux disparus, ainsi que d’importants dégâts matériels sur l’île de Sao Vicente, selon la protection civile. Le gouvernement a décrété l’état de catastrophe naturelle et deux jours de deuil national.

Ukraine: dans la région de Donetsk, l’armée russe avance rapidement au prix de lourdes pertes humaines

Le long de la ligne de front, il n’y a aucun signe d’apaisement et même des inquiétudes côté ukrainien, avec des avancées russes rapides enregistrées près de l’axe routier entre Kramatorsk et Dobropilia dans la région de Donetsk, dont Moscou revendique l’annexion. Cette route logistique importante était déjà fermée à la circulation civile, car sous contrôle de drones russes depuis plusieurs semaines, rapporte notre correspondante à Kiev, Emmanuelle Chaze.

L’état-major de l’armée ukrainienne a affirmé, mardi 12 août, que des combats avaient lieu à Koutcheriv Iar, un petit village qui se trouvait il y a encore quelques semaines à plusieurs kilomètres du front, admettant de fait l’avancée russe dans cette zone. Ce mardi, le président ukrainien a assuré que la Russie se préparait à de « nouvelles offensives » en Ukraine. « Nous constatons que l’armée russe ne s’apprête pas à mettre fin à la guerre », a déclaré Volodymyr Zelensky sur X.

En une seule journée, la Russie a avancé d’une dizaine de kilomètres vers le nord le long d’une route, selon le site d’analyse militaire DeepState, proche de l’armée ukrainienne, un rythme bien plus soutenu que d’habitude. Une carte du front, publiée par DeepState, montre un étroit couloir désormais sous contrôle russe, ce qui menace la ville garnison de Dobropillia, au nord-ouest de Pokrovsk. « Là, il y aurait une percée », nous explique le général Jérôme Pellistrandi, expert militaire et rédacteur en chef de la revue Défense nationale : “C’est un vrai souci tactique pour les Ukrainiens, parce qu’elle est au cœur du Donbass et permettrait l’accès vers Kramatorsk, qui est toujours sous contrôle ukrainien. L’exploitation de cette percée permettrait aux Russes, d’augmenter leur contrôle sur l’oblast de Donetsk qu’ils ne contrôlent pas pour le moment et de déstabiliser la défense ukrainienne, qui est à la fois obligée de maintenir la ligne de front mais de réduire impérativement cette percée. Ce qui est un problème tactique très concret, alors même que les Ukrainiens ont un déficit, en particulier en ressources humaines.”

Les prochains jours « probablement cruciaux »

C’est une avancée rapide qui ne traduit aucune préparation à un gel des positions côté russe. L’armée de Moscou aurait percé les lignes de défense ukrainiennes pour tenter de prendre pied dans plusieurs communes près de Dobropilia, avec son infanterie et ses unités de drones.

Selon l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), « des groupes de sabotage et de reconnaissance russes infiltreraient des zones près de Dobropillia ». L’Institut a cependant affirmé qu’il était « prématuré » de qualifier les avancées russes de « percée opérationnelle », et que les prochains jours seraient « probablement cruciaux ».

La stratégie russe est bien rodée : submerger les troupes ukrainiennes grâce à une supériorité numérique en personnel et en drones, s’avancer dans des brèches de défense, quitte à reculer ensuite. Le tout au prix de pertes humaines énormes pour la Russie, en tentant d’épuiser les troupes ukrainiennes. Les prochains jours seront donc décisifs dans cette zone, pour voir si l’Ukraine arrive à contenir ou à repousser ces nouvelles avancées.

L’Ukraine craint que la rencontre entre les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine ce 15 août, prévue pour l’heure sans la participation de leur homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, n’aboutisse à un accord qui la forcerait à céder des parties de son territoire à la Russie. « Au lieu de se montrer prêts à mettre fin à la guerre, les Russes déploient tous leurs moyens pour attaquer le front », a réagi le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermark.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention