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Frontière de Karang : le fils de Madiambal Diagne arrêt

Mohamed Diagne, fils du journaliste Madiambal Diagne, a été arrêté tôt ce jeudi 25 septembre 2025 par les policiers du commissariat spécial de Karang alors qu’il tentait de quitter le territoire sénégalais à moto. Âgé de 33 ans et se présentant comme administrateur de société, il était en possession d’une somme dépassant un million de francs CFA ainsi qu’un sac de vêtements.

Selon des sources policières, l’intéressé avait payé 50 000 francs CFA à un conducteur de moto Jakarta pour traverser clandestinement la frontière gambienne depuis Passy. Mais sa tentative a été déjouée grâce à la vigilance des agents de la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF).

Au cours des vérifications, les limiers ont constaté que Mohamed Diagne faisait l’objet d’une opposition de sortie du territoire national. Il a aussitôt été placé en garde et est actuellement transféré à Dakar sous la supervision de la Division des Investigations Criminelles (DIC).

D’après les informations recueillies, son arrestation s’inscrit dans le cadre de l’information judiciaire visant son père, Madiambal Diagne, poursuivi pour blanchiment de capitaux et association de malfaiteurs dans une affaire portant sur des transactions suspectes estimées à 21 milliards de francs CFA.

Babacar Mbengue, maire de Hann Bel-Air, tourne la page de Taxawu Sénégal

Après plus d’une décennie passée aux côtés de Khalifa Ababacar Sall au sein de Taxawu Sénégal, le maire de Hann Bel-Air, Babacar Mbengue, a annoncé son départ du mouvement.

Dans une note officielle, l’édile explique : « Après mûre réflexion et consultation de ma base politique, j’ai décidé d’explorer de nouveaux horizons et de me tourner vers de nouvelles perspectives. »

Ce départ marque la fin d’un long compagnonnage politique avec l’ancien maire de Dakar.

Activement recherché : Madiambal annonce sa présence en France et promet son retour

Recherché par les autorités sénégalaises tandis que son épouse a été interpellée par la Division des Investigations Criminelles (DIC), Madiambal Diagne a finalement donné de ses nouvelles.

Dans un message publié sur son compte X, il affirme : « Je suis arrivé en France depuis le 24/9/2025. J’ai quitté le Sénégal le soir même où la Police s’est opposée à mon départ. »

Le patron du Groupe Avenir Communication assure qu’il ne compte pas fuir : « Je me suis accordé quelques jours pour préparer ma défense. Je reviendrai très prochainement au pays pour assumer mes responsabilités », a-t-il déclaré.

Rebeuss : Bougar Diouf, membre de la Coalition Diomaye Président, libéré

Condamné le 27 août 2025 par le tribunal des flagrants délits de Dakar, Bougar Diouf, militant de la Coalition Diomaye Président, a recouvré la liberté après avoir purgé sa peine.

Il avait été poursuivi pour des messages jugés sensibles publiés sur les réseaux sociaux, en lien avec la situation en Casamance. Devant le tribunal, Bougar Diouf avait expliqué qu’il ne faisait que relater les propos d’un membre du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC). Il avait par ailleurs souligné sa volonté de défendre l’État de droit et l’unité nationale.

Sa remise en liberté est intervenue après l’épuisement de la peine décidée par la justice.

Mansour Faye libéré sous contrôle judiciaire dans l’affaire du Fonds Force Covid-19

L’ancien ministre du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, Mansour Faye, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire après avoir passé plusieurs semaines en détention. Poursuivi pour association de malfaiteurs, concussion, corruption, prise illégale d’intérêts, faux et usage de faux en écritures privées de commerce ou de banque, détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux, il reste sous le coup d’une information judiciaire.

Ces accusations portent sur la gestion de 2,7 milliards de francs CFA issus du Programme de résilience économique et sociale (PRES), financé par le Fonds Force Covid-19 et destiné à soutenir les populations vulnérables durant la pandémie. La procédure suit son cours, et l’ancien ministre demeure à la disposition de la justice dans le cadre de l’enquête.

 

Waly Seck reprend sa carrière après sa libération

 

Waly Ballago Seck, qui avait annoncé suspendre sa carrière musicale pour répondre à la justice, a levé ce mot d’ordre. Suite à sa convocation au Pool judiciaire financier et à sa libération après avoir consigné 210 millions FCFA, Waly Seck reprend sa carrière. Il promet une fin d’année explosive avec des spectacles tant au niveau national qu’international.

«Ils m’ont ruiné et rendu impuissant» : la bouleversante confession du menuisier retrouvé mort pendu à un arbre à Boune

Les enquêteurs du commissariat de Comico sont formels : Ousmane B. n’est pas victime d’un crime maquillé en suicide. Le corps sans vie de ce menuisier domicilié à Yeumbeul-Nord a été retrouvé dimanche dernier pendu à un arbre dans la forêt classée du village de Boune. L’homme s’est bel et bien donné la mort. D’après L’Observateur, qui relaie l’information, il a mis fin à ses jours pour abréger le martyre que lui faisait vivre un ou des cyberharceleurs.

«Dans la nuit du samedi 20 septembre, rembobine le journal, le menuisier attend que la maisonnée soit plongée dans les bras de Morphée pour quitter sa chambre, avec dans ses bras le drap qui lui sert de couverture. Il s’en va dans la forêt classée de Boune, située non loin du quartier et pend à un anacardier.»

Très vite, indique la même source, la thèse du meurtre déguisé circule. Mais les témoignages de membres de la famille de la victime, dont certains ont été auditionnés par les enquêteurs, semblent attester la thèse du suicide.

Et pour cause. Le menuisier était la cible d’une sextorsion. Après avoir connu, sympathisé et flirté via Facebook avec un contact qu’il prenait pour une fille, Ousmane B. lui envoie des nudes où son visage apparaît. Il découvrira plus tard qu’il conversait avec un homme.

Ce dernier passe au chantage : «Nous détenons tes photos et vidéos où tu es nu. Désormais, il faudra passer à la caisse. À défaut, tu verras les photos et vidéos sur le Net.»

Le maître-chanteur envoie à sa victime le numéro de téléphone vers lequel les transferts d’argent devront être effectués. Le piège de referme sur Ousmane B. De peur d’être vilipendé, il enchaîne les dépôts d’argent au gré des injonctions de son bourreau. Il se ruine, s’endette, quitte son travail et finit par se confesser auprès de son oncle, son employeur.

Les deux hommes décident de garder le secret, refusant de saisir la Division spéciale de cybersécurité (DSC). Le harceleur ne s’arrête pas.

Un jour, le menuisier ressent une perte de libido. Il est convaincu qu’il est impuissant et que l’homme qui le fait chanter en est responsable. «Je ne sens plus ma virilité. En plus de me ruiner, ils m’ont rendu impuissant», se lamente-t-il auprès de son oncle, devenu son seul confident dans les épreuves. Ousmane B. décide ainsi de mettre un terme à ses souffrances en mettant un terme à sa vie, si l’on se fie au récit de L’Observateur.

Etude – Réduction de la pauvreté, productivité… : L’Oit alerte sur la persistance des inégalités

En prévision du deuxième Sommet mondial pour le développement social qui se tiendra à Doha en novembre prochain, et qui marque les 30 ans du Sommet «historique» de Copenhague sur le développement social de 1995, l’Organisation internationale du travail (Oit) a mené une étude intitulée «L’état de la justice sociale : un travail en cours» dont les résultats ont été rendus publics mardi. Le rapport relève que «si le monde est plus riche, en meilleure santé et mieux éduqué qu’en 1995, les bénéfices n’ont pas été partagés de manière équitable, et les progrès dans la réduction des inégalités ont stagné.

Selon le quotidien , es principales réalisations depuis 1995 comprennent la réduction de moitié du taux de travail des enfants de 5 à 14 ans, de 20 à 10%, la réduction de l’extrême pauvreté, de 39 à 10%, l’augmentation de 10 points de pourcentage du taux d’achèvement de l’école primaire et la réalisation, pour la première fois, d’une couverture de protection sociale pour plus de la moitié de la population mondiale».

Mais le document met en évidence des déficits flagrants et persistants. En effet, souligne l’Oit, «71% des revenus d’une personne sont encore déterminés par des circonstances de naissance telles que le pays et le sexe ; l’informalité n’a diminué que de deux points de pourcentage en deux décennies et touche encore 58% des travailleurs ; l’écart entre les sexes en matière de participation au marché du travail s’est réduit de seulement trois points de pourcentage depuis 2005, et reste à 24 pour cent. Au rythme actuel, il faudra un siècle pour combler l’écart salarial mondial entre les sexes».

L’agence spécialisée de l’Onu renseigne aussi que «la confiance dans les institutions décline partout dans le monde depuis 1982, reflétant une frustration croissante face à la non-récompense équitable des efforts». L’Oit avertit qu’«à défaut de mesures pour renforcer le contrat social, cette érosion de la confiance pourrait compromettre la légitimité des systèmes démocratiques et la coopération mondiale».

Selon les auteurs, «ces résultats surviennent à un moment de profondes transformations. Les mutations environnementales, numériques et démographiques transforment les marchés du travail à une vitesse sans précédent. Sans politiques volontaristes, ces transitions pourraient creuser les inégalités. Avec des mesures appropriées, notamment l’investissement dans les compétences, la protection sociale, des systèmes de rémunération équitable et des politiques actives du marché du travail, elles peuvent devenir des moteurs d’inclusion et de résilience».

Potou:Le carrefour des commerçants

Ce village situé à 34 km de Louga est un bourg où le maraichage y occupe une place de choix. Les produits font venir les commerçants d’un peu partout avec l’ognon comme principale spéculation. En dépit de ce cadre propice au commerce, le village est confronté à de nombreuses difficultés.

Les chargements se font minutieusement. A l’entrée de Potou, la scène passe presque inaperçue. Il faut revenir sur ces pas pour voir de plus près une camionnette et des tonnes de légumes disposés dans des caisses. Debout devant le véhicule, un homme de teint clair et à la taille moyenne supervise la livraison de ses produits. Dans un coin, les sacs et caisses à légumes sont soigneusement rangés. Des ouvriers font d’inlassables va-et-vient et chargent le véhicule qui ne tarde pas à se remplir de tomates, poivrons et ognons.

La scène est loin d’être inhabituelle. En effet, Potou est connu comme étant un bourg de cultivateurs. C’est donc naturellement que le commerçant se tourne vers ce patelin pour s’approvisionner en légumes. « Je viens régulièrement pour acheter des provisions pour les revendre à Dakar, Kaolack et Gambie », explique Idrissa Sow. Ce commerçant venu de Dakar est dans le milieu depuis 2000. Il a acheté près de 120 caisses de tomates, 800kg de poivrons et 200 sacs de d’ognons. Ce dernier produit fait la réputation de ce village situé à 34 km de Louga.

L’ognon, produit vedette

Il se conjugue à toutes les sauces au parc de stockage d’ognons de Potou. Des sacs sont visibles à perte de vue minutieusement empilés dans les hangars. Dans ce lieu, l’ognon occupe une place prépondérante. Il y a tout un écosystème autour de ce produit et fait vivre Potou.

Le parc est en pleine effervescence. Les camions et charretiers font d’inlassables va-et-vient en ce début d’après-midi. Assis à l’ombre d’un arbre, Diangana Ndiaye supervise le chargement de ses marchandises. Dans le milieu depuis plus d’une trentaine d’années, le commerçant charge sept camions par jour. « Je transporte 70 tonnes d’ognons. Je distribue tout le marché de Touba », assure le ressortissant de la ville sainte. Le commerçant s’est fait un nom grâce à son activité. Il est également dans la production d’ognon. « Je travaille avec seize commerçants et emploie douze manœuvres qui s’assurent du chargement », détaille le producteur. Un milieu dans lequel il y trouve son compte.

Diangana Ndiaye n’est pas le seul commerçant qui y trouve son compte. Selon Ousseynou Lo, le responsable des véhicules, c’est plus d’une quarantaine de camions qui entrent et sortent du parc de stockage chaque jour. « Il y en a même qui envoie des voitures de Dakar, Kaolack pour leur stock », affirme Ousseynou Lo.

Une activité en plein rush

Elle passe presque inaperçue. Assise à même le sol, sous un des nombreux hangars installés, Rokhaya Fall remplit des sacs d’ognons. La quinquagénaire vient de la commune de Leona située à 7km de Potou. Elle fait partie des nombreuses commerçantes. « J’achète 5 à 20 tonnes que je revends aux commerçants et grossistes », renseigne la commerçante. Celle-ci juge cette activité « lucrative » malgré les aléas liés au transport des marchandises.

Le visage perlé de sueurs, la mine déconfite, Moussa Diop tente tant bien que mal de faire entrer son âne. Après quelques efforts, il y arrive visiblement éreinté. L’homme de 20 ans sillonne Potou et ses environs pour charger et distribuer l’ognon. Ce jour-là, c’est 25 sacs qu’il décharge moyennant 25FCfa le sac soit 3125FCfa pour la course. « Je peine à m’en sortir financièrement et les routes sont difficiles d’accès », déplore le charretier.

Village maraicher aux nombreuses difficultés

Potou est un village réputé pour le maraichage particulièrement pour l’ognon, son principal produit. Mais derrière cette réputation, les problèmes ne manquent pas pour les habitants. L’oignon fait la réputation de Potou mais d’autres produits maraichers tels que la carottes, les navets, le poivron, le piment, la tomate d’après Mbaye Guèye, chef de village. Ce dernier affirme que l’économie du village repose sur le maraichage. Potou occupe une place très importante dans l’économie de Louga grâce aux produits horticoles. « C’est un village de cultivateurs. C’est pour cela que nous voulons des pistes de production pour faciliter le transport des marchandises », plaide Mbaye Guèye. Cela n’est pas la seule préoccupation des habitants. « Il est difficile pour nous d’avoir accès à l’eau et l’électricité », confie le chef de village. Des défis majeurs pour ce village aux énormes potentiels horticoles.

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Justice : Bonne nouvelle pour Dame Amar

Soupçonné d’escroquerie, d’abus de confiance et d’injures portant sur un montant d’un million de francs CFA, Dame Amar, fils du défunt homme d’affaires Ameth Amar, a finalement remboursé la somme réclamée par le plaignant Serigne Mbacké Guèye dit Baye Fall. Ce geste a conduit le procureur à classer l’affaire sans suite.

L’affaire remonte à 2021-2022, période durant laquelle Dame Amar, alors en séjour à Dubaï, avait laissé sa Cadillac Escalade au parking de l’aéroport. Il avait demandé à deux de ses proches, Baye Fall et Papis Name, de vendre le véhicule estimé à 20 millions de francs. Dans l’attente, il avait sollicité deux millions de francs auprès de Baye Fall. Ce dernier, ne disposant que d’un million, lui avait avancé la somme.

Estimant ne pas avoir été remboursé, Baye Fall avait porté plainte. C’est dans ce cadre que Dame Amar, déjà incarcéré pour une autre affaire de détention de drogue qui lui a valu une condamnation à un mois ferme le 10 septembre dernier, a été extrait de sa cellule pour être entendu. Après avoir passé presque toute la journée au tribunal, il a été reconduit à sa cellule en fin d’après-midi afin de purger le reste de sa peine initiale.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention