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Ngor et Yoff : deux individus arrêtés en possession de cinq boulettes de cocaïne

La Brigade Régionale des Stupéfiants (BRS) de Dakar, relevant de l’OCRTIS, a procédé, ce 22 septembre 2025, à l’interpellation de deux individus entre Ngor et Yoff, en possession de cinq boulettes de cocaïne, pesant chacune 10 grammes. A en croire la police nationale, ces arrestations font suite à l’interpellation, dans la nuit du 21 au 22 septembre 2025, d’un individu trouvé en possession de 37 pierres de crack et d’une demi-boulette de cocaïne. Les investigations menées après cette première arrestation ont permis d’identifier et d’appréhender son fournisseur au niveau du rond-point de Ngor. Une fouille corporelle a permis de retrouver sur lui deux téléphones portables ainsi qu’une somme d’argent.

Poursuivant leurs investigations, renseigne la police, les enquêteurs ont pu remonter la chaîne d’approvisionnement jusqu’à un second fournisseur. Une perquisition effectuée dans sa chambre, en sa présence, a permis de découvrir un important matériel de conditionnement de drogue, composé notamment d’une louche, de deux balances électroniques, de deux rouleaux de scotch et de sachets d’emballage.

Dans une tentative désespérée d’échapper aux poursuites, le mis en cause a proposé une somme de 500 000 FCFA aux agents en guise de pot-de-vin. Ce montant a été transféré sur son compte Orange Money par l’intermédiaire d’un contact qu’il a joint par téléphone. À l’issue de ces interpellations, les suspects ont été placés en garde à vue pour association de malfaiteurs, détention de drogues en vue de trafic, tentative de corruption et blanchiment de capitaux.

Prison de Rebeuss : Alioune Tine donne des nouvelles de Nguer et Badara Gadiaga et réclame leur libération

lioune Tine n’a pas fait que donner des nouvelles de Badara Gadiaga et de Abdou Nguer. Il a fait mieux. En effet, parti, ce mercredi, rendre visite aux deux «chroniqueurs» inculpés et envoyés en prison, le ‘’droit de l’Hommiste’’ demande purement et simplement l’élargissement des deux susnommés. Convaincu qu’il faille libérer Badara Gadiaga et Abdou Nger, immédiatement et sans condition, Alioune Tine se veut formel : «leurs dossiers sont vides et qu’ils sont totalement innocents». Pour lui, il est nécessaire de leur rendre la liberté pour apaiser un climat politique et médiatique «lourd, pesant et toxique fait d’insultes, d’invectives et de haine entre l’opposition et le pouvoir».

En attendant de savoir si son appel tombera ou non dans l’oreille d’un sourd, le patron d’Amnesty semble séduit par le moral d’acier des deux chroniqueurs. «J’ai rendu visite aujourd’hui à Badara Gadiaga et à Abdou Nguer, deux détenus d’opinion que j’ai trouvés en pleine forme, avec un moral d’acier. Le sentiment et la conviction qu’ils sont tous les deux innocents et qu’ils n’ont rien à se reprocher, que leurs dossiers sont vides, expliquent leur sérénité en prison», indique l’ancien patron de la Raddho.

Alioune Tine ne s’en arrête pas là. Pour cause, dans une tribune partagée sur ses plateformes numériques, il a évoqué les compétences oratoires de Badara Gadiaga qui présente un lisse Cv en termes de discours pour convaincre l’opinion publique. «Il faut le reconnaître, il sait faire mal à ses adversaires politiques. Est­ce la principale raison de son séjour en prison pour le réduire au silence ? Beaucoup, dans l’opinion, le pensent aujourd’hui», estime Alioune Tine.

Procès entre les chauffeurs de taxis et les plateformes : le tribunal tranche en faveur de Yango, Yassir et Heetch

Le bras de fer entre les chauffeurs de taxis urbains et les plateformes de transport en ligne (Yango, Yassir, Heetch, entre autres) vient de connaître un tournant décisif. Ce mercredi 24 septembre, le tribunal de Dakar a rendu son verdict : les multinationales de transport sont autorisées à exercer leurs activités de transport urbain via des applications numériques au Sénégal.

Cette décision constitue un revers pour le Regroupement des chauffeurs de taxis Urbains du Sénégal (RTUS), qui contestait la légalité de ces plateformes. Les chauffeurs de taxis traditionnels estiment en effet que la concurrence est déloyale, dénonçant notamment l’absence de réglementation stricte et l’impact négatif sur leurs revenus quotidiens.

À la sortie du tribunal, la déception était palpable dans les rangs des chauffeurs. Plusieurs d’entre eux, qui espéraient voir les plateformes interdites ou contraintes à des règles plus strictes, n’ont pas caché leur colère. Le RTUS a déjà annoncé la tenue d’une conférence de presse dans les prochains jours pour réagir officiellement à la décision et dévoiler les suites de leur combat.

Malick Ngom sur un possible réaménagement de l’heure des combats : « Il y a une période de la saison, c’est la santé du lutteur qui est mise en jeu à cause de la forte chaleur… »

En assemblée générale d’informations, le président Malick Ngom a abordé la question sur l’heure des combats que beaucoup d’acteurs de la lutte souhaitent qu’elle soit réaménagée.

Démarrer les combats à 15h 30 ou au plus tard à 16 heures peut être éprouvant pour les lutteurs. Sous le chaud soleil d’été, certains ont du mal à tenir sur le sable de l’enceinte de l’arène nationale. Ainsi, nombreux ont été les acteurs de la lutte à interpeller le président Malick Ngom pour un réaménagement de l’heure des combats qui pour rappel a été fixé après la levée de la suspension des activités de l’arène en février 2025.

En assemblée générale d’informations, la patron de l’arène sénégalaise a promis de porter cette doléance auprès des autorités compétentes.

« Il y a une période de la saison, au-delà de certaines considérations, c’est la santé du lutteur qui est mise en jeu à cause de la forte chaleur. Sous ces conditions, si un lutteur saigne, il est difficile d’arrêter le saignement à cause de la forte chaleur (…) Nous avons souligné la question sur le rapport à l’attention de l’autorité pour de nouvelles discussions afin que nous trouvions la meilleure formule dans l’intérêt des pratiquants » a-t-il déclaré.

aVEC WIW

Haute Cour de Justice : trois anciens ministres des Finances rattrapés par des affaires de milliards

L’étau judiciaire se resserre autour de trois anciens piliers de l’appareil économique sous Macky Sall. Amadou Bâ, Abdoulaye Daouda Diallo et Birima Mangara sont désormais dans le viseur de la Haute Cour de justice, à la suite des conclusions de la Division des investigations criminelles (Dic) sur la gestion des finances publiques entre 2019 et mars 2024.

Protégés jusque-là par leur privilège de juridiction, les trois ex-ministres devraient comparaître prochainement devant la Haute Cour, après leur mise en accusation par une commission d’instruction parlementaire. Selon le quotidien L’Observateur, leur convocation serait imminente.

Au centre de cette affaire, un rapport accablant de la Cour des comptes, qui révèle de graves anomalies financières. Deux dossiers majeurs sont pointés du doigt : Les Dépôts à terme (DAT) : plusieurs placements auraient été cassés avant leur échéance, entraînant une perte de 141,08 milliards de FCFA qui n’auraient pas été reversés au Trésor public : Les Certificats nominatifs d’obligation (CNO) : des opérations estimées à 546,70 milliards de FCFA auraient été menées dans des conditions opaques, avec le versement de 58,99 milliards de FCFA de commissions suspectes à des entités non identifiées.

Amadou Bâ et Abdoulaye Daouda Diallo, tous deux anciens ministres de l’Économie et des Finances, ainsi que Birima Mangara, ex-ministre du Budget, voient aujourd’hui leur gestion contestée. Leur sort se jouera devant la plus haute juridiction du pays habilitée à juger les membres du gouvernement.

Débordement du fleuve Sénégal : Bakel au bord de la noyade

Les premiers lâchers d’eau venant du barrage de Manantali ont déjà fait des dégâts dans la commune de Ballou. Toutes les terres agricoles sont actuellement sous les eaux, des routes sont coupées, l’ouverture des classes menacée.

 

Chaque minute compte… Si les lâchers d’eau du barrage de Manantali sont beaucoup mieux répartis cette année, ils n’ont toutefois pas manqué de causer des dégâts chez les populations riveraines du fleuve. Même si l’ampleur de l’année dernière n’est pas notée. «Le secteur de l’agriculture semble payer le plus lourd tribut. Il y a toutes les terres agricoles qui sont inondées», a rapporté le maire de la commune, Cheikhna Camara. Dans la commune de Ballou, la hantise de nouvelles inondations s’installe chez les populations. «La commune est à ce jour devenue une île. Elle est complètement ceinturée par les eaux», précise le maire. Selon Cheikhna Camara, toutes les terres agricoles sont submergées. Actuellement, les paysans se tournent les pouces. Leurs champs sont inondés. Il y a, par endroits, des routes complètement coupées par les eaux. «C’est pourquoi, informe-t-il, la psychose de nouvelles inondations plane toujours sur la tête des populations. Même si, jusque-là, les maisons ne sont pas touchées.»

Les terres agricoles sous les eaux, des routes coupées
A la date de ce 22 septembre, renseigne le maire, Ballou est devenue une île. «La commune est entourée d’eau.» Et les jours qui viennent n’annoncent pas de répit : «Malheureusement, d’autres opérations de lâchers d’eau sont encore annoncées par la société en charge de la gestion du barrage de Manantali. C’est vraiment affreux. Si ça continue, les mêmes inondations de l’année dernière risquent de se reproduire. Heureusement que les lâchers d’eau de cette année sont mieux répartis. C’est par séquence que ça se passe. Contrairement à l’année dernière où il a été procédé en une seule fois. Ce qui avait fait des dégâts incommensurables.»

Toutefois, assure Cheikhna Camara, au rythme où vont les choses, les mêmes inondations risquent d’avoir lieu. «Déjà, les eaux ont envahi les terres agricoles et coupé plusieurs routes. Nous craignons qu’avec les prochains lâchers d’eau, les maisons soient atteintes. Les populations ont peur et, malheureusement, elles sont laissées à elles-mêmes. L’Etat a amené, ces derniers jours, des sacs vides pour qu’il y soit mis du sable afin de barrer la montée des eaux. Mais ce sera très difficile», alerte le maire. Si les lâchers d’eau dans les prochains jours sont encore importants, il n’y aura aucune possibilité de barrer l’eau. «Des maisons entières seront englouties et plusieurs villages seront coupés du reste du pays», avertit le maire. D’où son appel pressant lancé aux autorités. «Il faut penser à reloger les populations. Le spectre des inondations qui plane va devenir une réalité si le barrage ouvre à nouveau ses portes. Les sinistrés de l’année dernière sont toujours sans soutien. Ils ont perdu leurs maisons et avaient des promesses fermes de l’Etat de les soutenir. Que nenni.»

 

Ne serait-ce que du ciment et du fer pour entamer leur reconstruction ? «Ils attendent toujours sans rien voir. Et voilà que de nouvelles inondations s’annoncent. Nous demandons à ce que des tentes soient mises à la disposition des populations pour pouvoir libérer les maisons menacées par les crues. Sans quoi, la rentrée scolaire pourrait être compromise, car les populations impactées finiront par occuper les écoles et autres lieux publics», ajoute le maire de Ballou.

Aujourd’hui, il y a eu un appui impactant du Projet de résilience et de développement communautaire (Prdc). «Grâce à son financement, la commune a acquis une pirogue-ambulance neuve qui se charge, outre la traversée des populations, de leur évacuation sanitaire. Elle joue actuellement un rôle non négligeable depuis la montée des eaux et la coupure de certaines routes», se félicite M. Camara. Du haut de sa fonction, ses nuits sont meublées d’angoisses.
Avec lequotidien

 

Nicolas Sarkozy condamné à cinq ans de prison

L’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy a été condamné à cinq ans de prison pour association de malfaiteurs dans l’affaire des soupçons de financement par Mouammar Kadhafi de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007. Toutefois, il a été relaxé des faits de corruption, de recel de détournement de fonds publics et de financement illégal de campagne électorale.

Une décision de justice très attendue. L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy (2007-2012) a été reconnu coupable ce jeudi d’association de malfaiteurs dans l’affaire des soupçons de financement de sa campagne par des fonds libyens. Le tribunal l’a condamné à cinq ans de prison, avec mandat de dépôt différé avec exécution provisoire.

Venu assister à la lecture de la décision au tribunal de Paris, l’homme politique aujourd’hui âgé de 70 ans, a cependant été relaxé des accusations de corruption, de recel de détournement et de financement illégal de sa campagne, qui pesaient sur lui. La cour a estimé qu’il avait «laissé ses proches collaborateurs et soutiens politiques» solliciter les autorités libyennes afin d’obtenir ces soutiens financiers.

En effet, à l’inverse de de ce que le Parquet national financier (PNF) avait mis en avant, l’ancien président de l’UMP n’aurait pas bénéficié de la corruption par le financement de sa campagne électorale.

Deux grands soutiens de Nicolas Sarkozy ont de leurs côtés été reconnus coupables d’agissement illégaux dans cette affaire.

Brice Hortefeux a été jugé coupable d’association de malfaiteurs, et Claude Guéant, ancien ministre de l’Intérieur sous Nicolas Sarkozy, de corruption passive et de faux.

 

De son côté, Eric Woerth, trésorier de la campagne présidentielle de 2007 a quant a lui été relaxé dans ce dossier.

Mame Mbaye Niang refait surface à New York lors de la dédicace du livre de Macky Sall

Après une longue absence de la scène publique, Mame Mbaye Niang est réapparu aux États-Unis. L’ancien ministre a été aperçu ce mercredi à New York, lors de la cérémonie de lancement du nouvel ouvrage de Macky Sall, L’Afrique au cœur.

Selon Les Échos, il figurait parmi plusieurs personnalités présentes, dont l’ancienne Première dame Marième Faye, les ex-ministres Mankeur Ndiaye et Awa Marie-Coll Seck, ainsi que Coura Macky et Oumar Demba Bâ. L’événement a également réuni des figures internationales comme l’ancien secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon, l’ex-président de la Commission de l’Union africaine Moussa Faki et l’ancien président du Conseil européen Charles Michel.

Depuis l’arrivée du nouveau régime, Mame Mbaye Niang n’a pas remis les pieds au Sénégal. Pour rappel, il avait obtenu la condamnation d’Ousmane Sonko pour diffamation, ce qui avait écarté ce dernier de la présidentielle du 24 mars 2024.

Affaire des Fonds Covid : la Haute Cour refuse la liberté provisoire à Moustapha Diop

Le dossier des Fonds Covid franchit une nouvelle étape défavorable à Moustapha Diop. Selon Libération, la Commission d’instruction de la Haute Cour de Justice a rejeté la demande de liberté provisoire déposée par l’ancien ministre du Développement industriel et des PME.

Cette décision maintient le maire de Louga en détention, malgré son audition au fond. L’ex-ministre, qui se dit victime d’acharnement, espérait pouvoir comparaître en liberté, mais la juridiction a jugé que les conditions n’étaient pas réunies.

Inculpé et placé sous mandat de dépôt fin mai, il fait face à de graves accusations : association de malfaiteurs, corruption, concussion, détournement et blanchiment de capitaux, prise illégale d’intérêts, escroquerie et faux en écriture.

À Louga, ses partisans dénoncent une « injustice » et préparent une marche de soutien pour exiger sa libération.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention