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Fraude au Bac : comment le directeur d’école est tombé avec ses élèves

«Je suis désolé. Je sais que c’est irresponsable de ma part.» Birane Diop s’est contenté de sortir ces deux phrases lorsque le juge lui a demandé s’il avait agi pour de l’argent ou pour gonfler le taux de réussite de son établissement au baccalauréat 2023. Avec cette réplique, le tribunal des flagrants délits de Dakar, où il était jugé ce vendredi pour fraude à l’examen, ne sera pas fixé quant à son mobile.
 
Soit. Il a été condamné à deux ans de prison dont quatre mois ferme.
 
Birane Diop est le directeur d’une école privée établie à Guédiawaye. Professeur de mathématiques, il est coupable d’avoir mis la main sur l’épreuve de physique-chimie, de l’avoir traitée et passé, via un groupe WhatsApp, à des élèves de son établissement. L’un d’entre eux, Mbaye Guèye Barry, va transférer le corrigé à Moussa Thiam, pensionnaire de l’école de Birane Diop.
 
C’est à partir de ce moment que l’affaire a foiré, d’après le compte rendu d’audience de L’Observateur. Moussa Thiam décide de commercialiser le «trésor». Il le propose à Siny Guèye, qui passait le bac pour la deuxième fois. Le prix : 50 000 francs CFA. Cette dernière se tourne vers trois de ses copines, Oumou Sogue, Sokhna Aïssatou Diop et Rokhaya Niang, également candidates. Le quatuor mobilise les fonds nécessaires et achète le corrigé.
 
Malheureusement pour le groupe, Siny Guèye, qui composait au lycée Kennedy est épinglée en flagrant délit par un surveillant. Elle est suspendue et mise à la disposition de la police. L’exploitation de son téléphone permet aux enquêteurs d’arrêter à leur tour Mbaye Guèye Barry, Oumou Sogue, Sokhna Aïssatou Diop et Rokhaya Niang. Et l’enquête remonte jusqu’à Birane Diop.
 
Si ce dernier et Mbaye Guèye Barry ont été placés sous mandat de dépôt, les trois filles mises en cause avaient bénéficié d’une liberté provisoire en attendant leur procès. Le tribunal a dispensé de peine les quatre élèves. Ils sont condamnés à payer une amende de 250 000 francs CFA. Le directeur d’école, lui, va passer les quatre prochains mois en prison.

Messi en sauveur pour sa première sortie à Miami

Premier match, premier but, première victoire. A l’aube de son aventure avec l’Inter Miami, l’Argentin Lionel Messi, d’abord remplaçant, a changé le cours du match en marquant le but victorieux son équipe (2-1) en Leagues Cup, contre la formation mexicaine de Cruz Azul.
 
D’abord sur le banc, chasuble rouge sur le dos, Messi a dû attendre avant d’effectuer sa première apparition. Les fans trépignaient d’impatience, réclamant leur “Messi ! Messi !” dès la 20e minute de jeu. La star argentine a exulté lorsque Robert Taylor a ouvert le score pour les locaux d’une frappe détournée dans le but par le poteau, avant la pause (44e).
 
C’est plus tard, à la 54e minute, que l’ancien joueur du Paris Saint Germain et du FC Barcelone a enfilé son maillot rose pour entrer en jeu sous une ovation du public. Sergio Busquets a profité du même arrêt de jeu pour lui aussi faire ses débuts avec Miami.
 
Déjà porteur du brassard de capitaine, Messi a assisté impuissant au retour de Cruz Azul, grâce au but d’Antuna (65e).
 
Puis l’Argentin a beaucoup tenté, souvent réussi avant d’être décisif. Bousculé à la 94e minute, Messi récolte un coup franc idéal… qu’il enverra en pleine lucarne pour clore cette première apparition lumineuse.
 
La franchise de David Beckham n’avait pas, jusque-là, remporté la moindre rencontre depuis 11 matches.
AFP 

Al Nassr : le numéro de Sadio Mané connu

Sadio Mané devrait porter, à partir de la saison prochaine, les couleurs d’Al Nassr. Le transfert n’est pas encore officiel, mais des sources concordantes rapportent que l’attaquant du Bayern Munich a donné son accord de principe.
 
Le club saoudien aurait déroulé le tapis rouge au double Ballon d’Or africain. Il lui aurait proposé un contrat de trois ans assorti d’un salaire de 16 milliards de francs CFA par an.
 
Mais ce n’est pas tout. Record rapporte que les Saoudiens ont décidé de réserver le dossard n°10 pour Sadio Mané. «Al Nassr et son public, mais aussi les nombreux fans de l’enfant de Bambali vont retrouver SM10 », s’enflamme le quotidien sportif.
 
Sadio Mané a porté le n°10 à Liverpool, à RB Salzbourg et à Southampton. Sans compter que ce dossard est sa propriété en sélection depuis sa première cape, en 2012 (Sénégal-Maroc : 1-0).

Gambie: des sirops frelatés responsables de la mort de dizaines d’enfants en 2022, selon une commission d’enquête

Une commission d’enquête de la présidence en Gambie a indiqué vendredi que quatre types de sirops importés d’Inde étaient responsables de la mort d’au moins 70 enfants des suites d’insuffisance rénale aiguë en 2022.
 
Le groupe de travail a noté plusieurs dysfonctionnements qui ont abouti à l’utilisation de ces sirops frelatés, a dit à la presse le ministre de la Santé Dr Ahmadou Lamin Samateh. Il a annoncé le licenciement du directeur de l’agence de contrôle des médicaments et de son adjoint.
 
Il a en outre pointé la responsabilité d’un pharmacien superviseur qui a autorisé l’importation des sirops sans faire les vérifications requises.
 
La Gambie avait rappelé en octobre 2022 plusieurs médicaments après la mort d’au moins 70 enfants, notamment tous les sirops contre la toux et le rhume en circulation dans le pays, ainsi que tous les produits fabriqués par le laboratoire indien Maiden Pharmaceuticals, dont sont issus les sirops frelatés.
Selon l’OMS, ces médicaments contenaient des quantités “inacceptables” de diéthylène glycol et d’éthylène glycol, communément employés comme antigel et dont l’ingestion peut être mortelle.
 
La commission d’enquête a conclu que les médicaments n’avaient pas été enregistrés auprès de l’agence de contrôle des médicaments avant l’importation, comme le règlement l’exige et a noté le besoin urgent de créer un laboratoire de contrôle de qualité pour effectuer des tests sur tous les médicaments importés dans le pays.
 
Le ministre de la Santé a également pointé plusieurs points à améliorer pour un système sanitaire de meilleur qualité, comme la création d’une école de pharmacie à l’université ou un contrôle plus strict sur les médicaments en circulation.
 
Il a aussi précisé que le gouvernement gambien explorait les voies pour poursuivre le laboratoire pharmaceutique indien dont sont issus les médicaments et obtenir des réparations.
Un procès doit s’ouvrir fin octobre en Gambie sur cette affaire.
 
A la suite de ce scandale sanitaire, l’Inde avait ouvert une enquête et mis à l’arrêt en octobre 2022 l’usine productrice du laboratoire Maiden Pharmaceuticals, dans le nord de l’Inde.
 
L’OMS avait lancé début 2023 un appel à une “action immédiate et coordonnée” pour éradiquer les médicaments non conformes et falsifiés, notamment les sirops contre la toux frelatés. Au total, 300 enfants en Gambie, en Indonésie et en Ouzbékistan sont morts.  

Nous n’avons pas un problème de système mais plutôt de mentalité

Certains pensent que pour extirper notre pays des liens du sous- développement, il faut nécessairement changer notre système de gouvernance; je dis non, le sous-développement est une problématique liée à la mentalité et pas au système. Le fonctionnement de tout système dépend strictement de la mentalité des hommes et des femmes qui l’animent. Le meilleur système au monde géré principalement par des dirigeants sans éthique ni vertu, finirait certainement par s’effondrer.

Le système de gouvernance du Sénégal permet au fils du paysan, du fonctionnaire, de la ménagère, de l’éleveur, du pêcheur, du riche, du pauvre, du musulman, du chrétien d’accéder à l’école, de bénéficier d’une bourse, de faire de hautes études et d’occuper les plus hautes fonctions. Pour preuve aucun des quatre présidents du Sénégal n’est originaire de la capitale et ne vient de familles connues très aisées. Le système construit des hôpitaux pour soigner les populations , des mosquées et des églises pour prier , des écoles et des daaras pour éduquer les masses, des infrastructures pour faire émerger le pays, achète des équipements et des intrants pour moderniser le secteur primaire, exploite des ressources minières, énergétiques au profit du secteur secondaire et fait des efforts pour booster le secteur tertiaire. En conséquence nul besoin de le changer pour inventer un monde incertain. Par contre il est gangrené par la corruption malgré tous les dispositifs d’endiguement mis en place, l’incompétence constatée à certains niveaux, les lenteurs administratives, le laxisme, la politisation dans l’administration, les tentatives de saborder l’administration pour une promotion en politique, l’incivisme et tant d’autres fléaux. Le SYSTÈME doit être amélioré et assaini pour plus de justice, d’équité, de transparence et de performances. Il faut chercher le mal à tous les niveaux pour l’enrayer.

Nous avons besoin de CHANGER en CHANGEANT de mentalité. Il nous faut changer notre rapport à la religion, à l’Etat, au bien public, au possible, à l’impossible, à la Terre, à l’histoire, à la réalité et à la vérité,à l’effort, au mérite, à la responsabilité, à l’imputabilité.

Nous devons croire à l’effort soutenu par l’Education, la discipline, l’intelligence pour faire émerger le pays. L’Etat doit accentuer ses efforts et faire des sacrifices pour la formation et l’employabilté des jeunes mais aucun État n’a la possibilité de tout faire. Si nous faisons en sorte que notre jeunesse finisse par percevoir que l’Etat ne l’a pas abandonnée, elle cessera de se suicider en tentant de rallier l’Europe par la mer. Regardons la vérité en face pour avancer.

Mohamed Moustapha Diagne

Citoyen Président

Pape GUEYE suspendu quatre mois : sa participation à la CAN menacée

Si l’OM a vu son interdiction de recrutement levée par le Tribunal arbitral du sport dans le cadre de son litige avec Watford au sujet de Pape Gueye, le joueur va bien être suspendu quatre mois.

Retour prévu en Novembre à deux mois de la CAN

Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a décidé de lever l’interdiction de recrutement de l’OM, prononcée en première instance par la FIFA, et de condamner Pape Gueye à une amende de 2,5 millions d’euros (environ 1 milliard FCFA), dont le club olympien sera solidaire, après sa rupture de contrat avec Watford en 2020.

Des décisions plutôt clémentes. Le joueur de 24 ans, en revanche, n’a pas vu d’allégement de sa sanction en première instance et il sera donc bien suspendu quatre mois ferme à partir du début des compétitions, soit début août, révèle L’Equipe. Ce qui menace déjà sa participation à la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroulera en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024. Puisque son retour dans les stades est prévu pour novembre 2023 à deux mois de la CAN. Et avec un manque de rythme, le sélectionneur des Lions du Sénégal, Aliou Cissé le prendra-t-il ? Réponse vers la fin de l’année période pendant laquelle la liste pour la Coupe d’Afrique sera annoncée. En attendant, Pape Gueye va manquer le match amical contre l’Algérie prévu le 12 septembre à Dakar.

Ama Baldé-Modou Lô : Luc Nicolaï a tranché

Sauf surprise, Ama Baldé-Modou Lô aura lieu le 5 novembre prochain. Le promoteur de ce combat, Luc Nicolaï, a régularisé l’affiche pour cette date, ce jeudi. Sunu Lamb, qui donne l’information, précise que pour ce faire ce dernier avait convié les managers des deux lutteurs au siège du CNG pour l’accomplissement des formalités requises.

Reste maintenant à savoir si un mois plus tôt, Ama Baldé affrontera Gris Bordeaux. Ibrahima Diop, le promoteur du face-à-face entre le Pikinois et le Fassois, ayant annoncé sa volonté de tenir ce combat en octobre prochain.

Sunu Lamb informait hier que le CNG devrait aborder la question de la proximité des deux rendez-vous lundi prochain, lors de sa réunion hebdomadaire.

Transports : les «Tata» en grève lundi prochain

Le Collectif des travailleurs de Aftu (Association de financement des professionnels du transport urbain), qui exploite l’essentiel des bus «Tata», entame un mouvement d’humeur en début de semaine prochaine. RFM, qui donne l’information, précise que ses membres observent à partir de lundi prochain, trois jours de grève renouvelables.

La radio rapporte que les grévistes, réunis ce jeudi aux Parcelles Assainies, réclament une hausse de leurs salaires. Ils revendiquent aussi un changement de leur statut, demandant à leurs employeurs de leur proposer des contrats de travail. Ce qui leur permettra notamment, plaident-ils, de s’inscrire à la Caisse de sécurité sociale.

Une semaine après. L’avocat français Juan Branco a décidé, ce vendredi 21 juillet, de faire une sortie suite à la demande du procureur de la République du Tribunal de Grande instance de Dakar à Interpol. « Après avoir revu la compilation des déclarations, écrits et posts à travers tout support du sieur Juan Branco, il a été relevé des éléments qui, manifestement, sont de nature à engager sa responsabilité pénale. Le parquet a décidé l’ouverture d’une information judiciaire contre le susnommé pour plusieurs faits qualifiés de crimes et délits. En outre, un mandat d’arrêt international a été requis à son encontre », avait indiqué le ministère public au Sénégal, le 14 juillet dernier Devant l’opinion, le tonitruant conseil a dévoilé, selon lui les véritables raisons de cette requête. «Sous la dictée présumée de l’Elysée, une notice rouge a été demandée à Interpol par le parquet de Dakar pour me faire arrêter. Le motif invoqué ? Avoir révélé l’existence de crimes contre l’humanité au Sénégal, entre les mois de mars 2021 et juin 2023, et la complicité du gouvernement français », signale-t-il, d’emblée, dans un texte, sur twitter. «Cette demande s’inscrit dans un cadre plus général » A l’en croire, « cette demande s’inscrit dans un cadre plus général ». Branco s’explique : « Chaque année, M. Macron se prête à une sinistre comédie, consistant à tenter de me faire arrêter. Cela a commencé en 2019, avec le signalement au Procureur de la République par Aurore Bergé d’un livre que j’avais publié, Crépuscule, qui décrivait les soubassements de son élection. On aurait tort d’en rire, ou de penser qu’il s’agissait d’une pantalonnade sans objet. Avec cet ouvrage, nous touchions au cœur noir d’un pouvoir avarié ». Aussi, dira-t-il, « Mme. Bergé m’a alors accusé d’avoir “armé les esprits”, et de provocation à la commission de crimes et délits. Cela n’a rien donné. En 2020, 2021 et 2022, les procédures délictuelles et criminelles se sont cependant multipliées, toutes lourdement médiatisées. Les accusations les plus sordides et indécentes ont prospéré en un environnement politique et médiatique particulièrement agressif et asymétrique, dans le but d’atteindre à mon honneur et à ma dignité ». Sur ce, les mesures de coercition, perquisitions, mise sous surveillance, garde à vue, mais également menaces et intimidations se sont accumulées. « Cela n’a rien donné. Mon travail de représentation, publication, révélations, auprès de tous ceux qui se battaient pour leur souveraineté, a continué. Nous avons remporté de flagrantes victoires, parfois jusqu’au cœur du pouvoir, du Conseil Constitutionnel aux tribunaux judiciaires où Emmanuel et Brigitte Macron traînaient des individus sans ressources que l’on représentait. Cela les a humiliés. Les accusations, une à une, se sont effondrées, laissant voir nu un roi qui s’agitait », s’enorgueillit-il. « Je m’y suis préparé, et l’accueille avec sérénité, sans trembler » Poursuivant son argumentaire, la robe noire a ouvert le chapitre du Sénégal. « Depuis le mois de mars 2021, soixante personnes ont perdu la vie, et des milliers ont été blessées, arrêtées, torturées et persécutées, sous le regard bienveillant de l’Elysée, dans le cadre de crimes contre l’humanité mis en œuvre par l’un de nos principaux alliés. J’en ai été saisi par des familles de victimes et le principal opposant du pays, Ousmane Sonko, arbitrairement arrêté. J’ai saisi à mon tour la Cour pénale internationale et le pôle de crimes contre l’humanité du TJ de Paris de plaintes pour les représenter », a-t-il déclaré. Tout en arguant que ces procédures, fondée sur un long travail d’enquête et de récolte de preuves, ont forcé l’allié de l’Elysée, M. Sall, a renoncé à son pouvoir, que par les armes il espérait perpétuer. Juan Branco de souligner : « Cela me vaut aujourd’hui d’être accusé, par Dakar, de la commission de crimes et délits, et par le Quai d’Orsay, d’avoir révélé l’implication d’agents français dans les crimes mentionnés. La vérité brûle le pouvoir. Elle le force à reculer. Nous avons connu, avec Julian Assange, ce mouvement descendant, qui vise à isoler, fragiliser, enfin, dévaster, ceux qui ont le courage d’en faire usage, et de ne pas céder ». Loin de vouloir fléchir, le jeune avocat Je m’y suis préparé, et l’accueille avec sérénité. Dans la dignité, et sans trembler.

Une semaine après. L’avocat français Juan Branco a décidé, ce vendredi 21 juillet, de faire une sortie suite à la demande du procureur de la République du Tribunal de Grande instance de Dakar à Interpol. « Après avoir revu la compilation des déclarations, écrits et posts à travers tout support du sieur Juan Branco, il a été relevé des éléments qui, manifestement, sont de nature à engager sa responsabilité pénale. Le parquet a  décidé l’ouverture d’une information judiciaire contre le susnommé pour plusieurs faits qualifiés de crimes et délits. En outre, un mandat d’arrêt international a été requis à son encontre », avait indiqué le ministère public au Sénégal, le 14 juillet dernier
 
Devant l’opinion, le tonitruant conseil a dévoilé, selon lui les véritables raisons de cette requête. «Sous la dictée présumée de l’Elysée, une notice rouge a été demandée à Interpol par le parquet de Dakar pour me faire arrêter. Le motif  invoqué ? Avoir révélé l’existence de crimes contre l’humanité au Sénégal, entre les mois de mars 2021 et juin 2023, et la complicité du gouvernement français », signale-t-il, d’emblée, dans un texte, sur twitter.
 
«Cette demande s’inscrit dans un cadre plus général »
 
A l’en croire, « cette demande s’inscrit dans un cadre plus général ». Branco s’explique : « Chaque année, M. Macron se prête à une sinistre comédie, consistant à tenter de me faire arrêter. Cela a commencé en 2019, avec le signalement au Procureur de la République par Aurore Bergé d’un livre que j’avais publié, Crépuscule, qui décrivait les soubassements de son élection. On aurait tort d’en rire, ou de penser qu’il s’agissait d’une pantalonnade sans objet. Avec cet ouvrage, nous touchions au cœur noir d’un pouvoir avarié ».
Aussi, dira-t-il, « Mme. Bergé m’a alors accusé d’avoir “armé les esprits”, et de provocation à la commission de crimes et délits. Cela n’a rien donné. En 2020, 2021 et 2022, les procédures délictuelles et criminelles se sont cependant multipliées, toutes lourdement médiatisées. Les accusations les plus sordides et indécentes ont prospéré en un environnement politique et médiatique particulièrement agressif et asymétrique, dans le but d’atteindre à mon honneur et à ma dignité ».
Sur ce, les mesures de coercition, perquisitions, mise sous surveillance, garde à vue, mais également menaces et intimidations se sont accumulées. « Cela n’a rien donné. Mon travail de représentation, publication, révélations, auprès de tous ceux qui se battaient pour leur souveraineté, a continué. Nous avons remporté de flagrantes victoires, parfois jusqu’au cœur du pouvoir, du Conseil Constitutionnel aux tribunaux judiciaires où Emmanuel et Brigitte Macron traînaient des individus sans ressources que l’on représentait. Cela les a humiliés. Les accusations, une à une, se sont effondrées, laissant voir nu un roi qui s’agitait », s’enorgueillit-il.
« Je m’y suis préparé, et l’accueille avec sérénité, sans trembler »
Poursuivant son argumentaire, la robe noire a ouvert le chapitre du Sénégal. « Depuis le mois de mars 2021, soixante personnes ont perdu la vie, et des milliers ont été blessées, arrêtées, torturées et persécutées, sous le regard bienveillant de l’Elysée, dans le cadre de crimes contre l’humanité mis en œuvre par l’un de nos principaux alliés. J’en ai été saisi par des familles de victimes et le principal opposant du pays, Ousmane Sonko, arbitrairement arrêté. J’ai saisi à mon tour la Cour pénale internationale et le pôle de crimes contre l’humanité du TJ de Paris de plaintes pour les représenter », a-t-il déclaré.
Tout en arguant que ces procédures, fondée sur un long travail d’enquête et de récolte de preuves, ont forcé l’allié de l’Elysée, M. Sall, a renoncé à son pouvoir, que par les armes il espérait perpétuer. Juan Branco de souligner : « Cela me vaut aujourd’hui d’être accusé, par Dakar, de la commission de crimes et délits, et par le Quai d’Orsay, d’avoir révélé l’implication d’agents français dans les crimes mentionnés. La vérité brûle le pouvoir. Elle le force à reculer. Nous avons connu, avec Julian Assange, ce mouvement descendant, qui vise à isoler, fragiliser, enfin, dévaster, ceux qui ont le courage d’en faire usage, et de ne pas céder ». Loin de vouloir fléchir, le jeune avocat Je m’y suis préparé, et l’accueille avec sérénité. Dans la dignité, et sans trembler.

Afrobasket féminin : Les Lionnes quittent aujourd’hui

L’équipe nationale féminine de basket quitte Dakar aujourd’hui  en direction de Kigali au Rwanda pour Afrobasket féminin prévu du 28 juillet au 5 août.
 
Elles sont 12 Lionnes à la reconquête du titre continental en terre rwandaise. Parmi elles, il n’y a que deux joueuses locales Aicha Mathilde Diop  et Couna Ndao.b C’est une équipe à la fois   expérimentée et jeune. Selon le président de la fédération de basket-ball  Me Babacar Ndiaye les Lionnes voyageront à bord d’un vol éthiopien. Il rassure que toutes les conditions sont réunies et que les primes ont été payées.
 
Pour entrée en lice,  le Sénégal défiera l’Ouganda absent  du tournoi depuis 2015 et le Mali qui est actuellement la deuxième nation africaine devant le Sénégal.
 
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention