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Plaintes Contre L’État : Première Contre-Attaque Contre Me Juan Branco

Le ministre auprès du ministre de l’Intérieur en charge de la Sécurité de proximité et de la Protection civile, Birame Faye, a annoncé une plainte contre Me Juan Branco. D’après la RFM, qui donne l’information, il a déclaré vouloir poursuivre l’un des avocats de Ousmane Sonko pour diffamation.

La radio privée précise que la robe noire française accuse Birame Faye d’avoir recruté les nervis qui aurait tiré sur des manifestants lors des émeutes de début juinw qui ont fait seize morts selon la version officielle, vingt-trois d’après Amnesty International.

Me Branco a initié deux plaintes contre «120 suspects sénégalais» dont le Président Macky Sall. Il affirme détenir «4500 éléments de preuve».

Guinée : Fanta Sangaré, la femme «qui prie sur l’eau», arrêtée

En effet, des photos inédites agitent la toile depuis quelques jours, montrant la bonne dame sur un tapis de prière en pleine mer. 
 
Il ressort de l’information partagée par notre confrère africaguinee.com  qu’elle a été interpellée ce jeudi 22 juin 2023, par le commissariat spécial de Taouyah.
 
Mais, d’après le site d’information qui a enquêté auprès de l’unité de police qui a arrêté cette dame, cette dernière n’a pas été interpellée pour avoir prié sur les flots. «Son acte n’a rien d’une infraction. Pourquoi l’arrêter pour cela… ?», s’est exprimé l’officier de police, l’air étonné. «Elle est là certes, mais c’est pour une autre affaire. C’est une plainte portée contre elle par un citoyen…», a précisé le commissaire.
 
 Nos confrères  d’africaguinee.com ont d’ailleurs trouvé le plaignant en audition avec un autre agent. Mais lui et les agents n’ont pas dévoilé le motif de la plainte.
 
Selon le commissariat spécial de Taouyah, rien ne sera divulgué pour le moment, alors que l’audition est en cours.

Sa manif’ du 23 juin interdite : Le F24 change de stratégie

« Ce n’est pas F24, Forces vives du Sénégal, mais le mouvement des forces vives de la Nation M23 qui avait déposé une demande de manifestation pour le 23 juin. Ce que F24 a prévu le 23 juin, aucun préfet, aucun président ne peut l’interdire. Du blanc partout et par tous », a déclaré le F24 dans un communiqué. Le mouvement a fait part de sa détermination à ‘’braver’’, à sa manière, la décision préfectorale interdisant sa manifestation de ce vendredi 23 juin 2023. 
 
Cela consistera à célébrer le douzième anniversaire du 23 juin 2011 par un code vestimentaire. En effet, en lieu et place d’une manifestation en plein air, le F24 exhorte les Dakarois et les Sénégalais à s’habiller en blanc ce vendredi. « Habillons – nous tous en blanc ce vendredi pour aller à la mosquée, attachons, accrochons, agitons un morceau de tissu blanc, un ruban, une écharpe ou un mouchoir blanc partout, voiture, devanture des maisons…surtout entre 13H et 18H », invitent Mamadou Mbodj et Cie.

Présidentielle 2024 : Karim Wade a recouvré ses droits civiques et est éligible depuis 2020, selon ses avocats

The son of former Senegalese leader Abdoulaye Wade, Karim, waves while being arrested by gendarmes, on April 2013 in Dakar, hours after filing a dossier of his assets, valued at more than 1 billion dollars. The anti-corruption court had given Wade one month on March 15 to explain how he had come by assets allegedly worth over $1.4 billion (1.07 billion euros) and his legal team had filed the documents at the courthouse earlier in the day. AFP PHOTO

Alors que beaucoup de membres du PDS et de la société civile s’activent pour une révision du procès de Karim Wade afin qu’il soit éligible en 2024, une nouvelle information vient d’être sortie par ses avocats. Selon Me Demba Ciré Bathily et ses confrères, le fils de l’ancien président du Sénégal Abdoulaye Wade a recouvré ses droits civiques depuis 2020 et est éligible pour la prochaine Présidentielle. Voici l’intégralité de leur communiqué.

‘’Le Collectif des avocats de Karim Wade tient à rétablir la vérité sur la situation actuelle de celui-ci au regard de la loi électorale. Certaines déclarations publiques laissent entendre que Karim Wade ne pourrait être éligible sans une modification du code électoral. Ces déclarations sont gravement erronées.

Karim Wade n’a pas été privé de ses droits civils et politiques par l’arrêt de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) du 23 mars 2015 qui l’a condamné en violation des principes fondamentaux du droit pénal comme l’ont constaté de très nombreuses décisions de justice internationale notamment celles du Comité des Droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

Si l’article L.29 du code électoral prévoit une privation automatique et administrative d’inscription sur les listes électorales des personnes frappées de certaines condamnations, l’article L.30 limite cette interdiction à une durée de cinq (5) ans.

Ainsi, depuis le 21 août 2020, Karim Wade est électeur et éligible en vertu de la loi électorale sénégalaise.

Karim Wade a été victime de graves et récurrentes violations de ses droits fondamentaux c’est pourquoi le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a jugé que l’arrêt de la CREI violait le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et a demandé à l’État du Sénégal de faire réexaminer la déclaration de culpabilité et la condamnation de Karim Wade par une juridiction supérieure.

Depuis sa condamnation, Karim Wade n’a cessé de réclamer la révision de son procès.

Le Collectif des avocats de Karim Wade se réjouit que le Dialogue national initié par le président de la République et regroupant la société civile, les partis politiques de la majorité et de l’opposition ait unanimement acté la révision du procès de Karim Wade.’’

Décharge de Mbeubeuss : 75 tonnes de produits prohibés détruits

Les agents du service national de l’hygiène ont collecté durant des activités de contrôle et de suivi beaucoup de produits prohibés ou inappropriés à la consommation. Ils ont été récupérés dans les boutiques et les grands lieux de commerce.  Ces produits ont été ce matin détruits, devant les autorités. En effet, selon  le lieutenant Amar Seck, commandant de la brigade régionale du service de l’hygiène de Dakar, la décharge de Mbeubeuss est le site autorisé actuellement par l’Etat du Sénégal pour détruire ces produits.  « On ne peut pas prendre des produits prohibés et les laisser à la portée de la population. Et ça risque d’entraîner des maladies. C’est pourquoi, nous sommes venus à Mbeubeuss pour faire la destruction » dit-il.
 
Par rapport à la quantité, le lieutenant parle de 75 tonnes de produits détruits. Il reste un stock  à la sous-Brigade de Mbao d’environ 25 tonnes qui ne sont pas encore détruites. Il s’agit  de produits divers composés de denrées alimentaires qui ont été saisis par le service de l’hygiène de Dakar. « Nous appelons les populations à changer de comportement. Mais aussi les commerçants doivent avoir l’honnêteté de ne pas vendre à la population des produits altérés ou périmés » invite-t-il.  Dans le même sillage, il invite dans le cadre général, la population à faire attention. « Il faut vérifier les produits qu’on achète. Nous mangeons mal parce que nous achetons des produits prohibés. Il faut qu’on fasse tout pour vérifier ce qu’on achète sinon nous risquons de mettre en danger la population ».
 
S’agissant de la sécurité et du rôle de l’Etat de veiller à la distribution de produits sains,  il affirme : « Nous allons renforcer la vigilance pour accélérer davantage les contrôles et augmenter le nombre de descentes. Actuellement, surtout avec l’approche de la Tabaski, il faut que les gens fassent très attention. Il y a beaucoup de produits périmés qui sont gardés par certains commerçants qui cherchent la moindre occasion pour les déverser dans les marchés ». Il promet par la même occasion de tout faire  pour traquer ces commerçants et mettre leurs produits hors des circuits de commercialisation. «  Nous avons des sous-commissions qui sont dotées de moyens pour faire ce travail. Cette année, nous avons eu une augmentation des effectifs sur le recrutement et ce renforcement de notre effectif nous permet de mener à bien notre mission » rassure le lieutenant Seck.
 
Abdou Dieng, le délégué national chargé de la coordination des infrastructures de gestion des déchets au niveau de la Sonaged, explique, sur un autre registre, que le site de décharge reçoit chaque jour 500 rotations de camions en moyenne 3700 tonnes par jour. L’entité appuie aussi le service d’hygiène pour la destruction des produits prohibés. La Sonaged fait aussi des visites à domicile pour éduquer et sensibiliser les populations sur la gestion des déchets. Et une fois que ces produits périmés sont détruits on procède à des opérations d’enfouissement.

Les prédictions de la CAP faussées, la Cour suprême maintient WALFTV dans le noir

L’étroitesse des locaux de la Cour suprême a été formulée comme doléance par les magistrats
La décision est tombée. Sa justification peut être risible mais a le malheur de primer. En effet, en dépit de la plaidoirie lumineuse de l’avocat du groupe Wal Fadjri, du réquisitoire énigmatique du Parquet général, la Cour suprême a indiqué qu’il fallait maintenir le statu quo. Autrement, elle a rejeté la requête déposée par le groupe Wal Fadjri demandant la suspension de l’exécution de la décision du ministère de la Communication, des Télécommunications et l’Économie numérique. La Cour suprême, qui n’a pas tenu compte du caractère urgent du recours déposé par ledit Groupe de presse, a bizarrement estimé notamment que la durée de la sanction était presque arrivée à terme. Ainsi, la décision arbitraire de couper le signal de WalfTV ayant été prise le 1er juin, il ne reste plus que huit jours à tenir. C’est ce que semble dire la haute juridiction qui avait pourtant la latitude de fixer l’audience en début de cette semaine comme le suggère une requête aux fins de suspension en référé. Pourtant, les huit jours que la juridiction semble négliger auraient permis au Groupe de presse du Front de terre de tenir les Sénégalais informés de l’actualité brûlante du pays, en plus de faire des rentrées d’argent. D’autant que cette période coïncide avec les préparatifs de la fête de Tabaski qui incitent les annonceurs à se manifester. Mais tout cela n’a semble-t-il pas importuné le juge. La Cour ne s’est pas non plus attardée sur la notification de la décision du ministre Moussa Bocar THIAM, parvenue aux responsables du Groupe Wal Fadjri huit jours après la suspension du signal de WalfTV. Tout comme elle n’a pas expliquée le droit sur lequel Moussa Bocar THIAM se serait appuyé pour prendre une telle mesure qui dépasse largement ses prérogatives.
 
C’est maintenant vers la Coordination des Associations de Presse (CAP) que les regards se tournent. Elle qui avait annoncé, mardi dernier, que le signal de WalfTv était en voie de rétablissement, doit maintenant des explications et plus pertinentes. D’autant  qu’elle a déclaré que c’est sur « ce rétablissement en bonne voie » et sur le placement sous contrôle judiciaire de Pape NDIAYE et de Serigne Saliou GUEYE qu’elle s’est fondée pour annuler le plan d’action qu’elle avait annoncé en grande pompe. Entre admettre avoir été flouée par le ministre de la Justice qu’elle a remercié en avance et reconnaitre qu’elle a manqué d’ambition, de courage et de dynamisme, la CAP est plus qu’interpellée.

Foot: la Fédération sénégalaise dément toute tentation de boycott au sein de la sélection

La Fédération sénégalaise de football (FSF) a démenti que les joueurs de l’équipe nationale aient songé à boycotter un match de qualification pour la Coupe d’Afrique des nations 2024, contre le Bénin, en raison des récents troubles au Sénégal.
 
Avant le match samedi, achevé sur un résultat nul (1-1), la sélection “a travaillé dans les conditions habituelles de préparation et de compétition et pas un seul instant, il n’a été question d’autre chose que de football”, a écrit la Fédération du Sénégal dans un communiqué diffusé sur son site internet.
 
La Fédération “s’inscrit en faux” contre des déclarations “dénuées de tout fondement”.
 
Au cours d’une émission spécialisée de Radio France Internationale, l’un des intervenants, le journaliste Yoro Mangara, avait déclaré mercredi que les joueurs sénégalais avaient envisagé de ne pas jouer cette rencontre contre le Bénin.
 
Le Sénégal a été le théâtre entre le 1er et le 3 juin de troubles à la suite de la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle de 2024. Les violences ont fait au moins 16 morts selon les autorités, 30 selon le parti de M. Sonko.

KOLDA : Les prix des moutons varient entre 80.000 et 478.000 F CFA

A quelques jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les prix des moutons sont jugés trop élevés. Sur le parc aux petits ruminants, les plus petits moutons sont cédés à 80.000 FCFA au minimum.
 
 A en croire Moussa Sabaly venu chercher un mouton pour cette fête, « c’est désolant de constater qu’avec 80.000f tu ne peux pas avoir un mouton acceptable ». Pourtant les vendeurs trouvent ces prix abordables, comme le souligne Ifra Ka. Ce vendeur de moutons habitué des lieux considère que les acheteurs veulent prendre de gros moutons sans trop dépenser. D’ailleurs ces gros et bons moutons sont vendus jusqu’à 478.000 FCFA au maximum. 
 
Il est constaté que pour avoir un bon mouton de Tabaski, il faut au moins débourser plus de 100.000 FCFA au bas mot. Selon Fatoumata Baldé, les prix de cette année « sont plus excessifs ». 
 
Cette fonctionnaire a pu trouver un mouton à 185.000 FCFA après plusieurs heures de marchandage.  Au quartier Bouna et à Sikilo camp de garde, les moutons à vendre ne sont pas aussi nombreux,  comparée à l’année dernière à la même période avant le jour de la fête. Ces principaux lieux de vente reçoivent quotidiennement un  monde à la recherche d’un mouton pour la tabaski. Ce qui fait que sur les lieux, on note d’intenses marchandages  entre acheteurs et vendeurs.

Burkina : un drone de combat s’écrase au sol suite à une panne technique

L’armée  de l’air burkinabé a perdu un de ses drones de combat hier mercredi 21 juin 2023. L’aéronef s’est écrasé au sol, suite à une panne technique intervenue en plein vol.
 
 Selon Burkina 24 qui rapporte l’information, le drone revenait d’une mission de reconnaissance offensive.
 
 
 
Une enquête interne a été ouverte
 
 « Les équipes techniques appuyées d’unités terrestres ont été mobilisées pour récupérer les restes de l’appareil » indique un communiqué de la Direction de la communication et des relations publiques des Armées. Le crash n’a causé aucune perte en vies humaines. « Une enquête interne a été ouverte à des fins de retour d’expérience ».
 
« Pure fiction »
 
 « Les versions fantaisistes imaginées par certains individus sur les réseaux sociaux et illustrées par de grossiers montages photos ne sont que pure fiction » poursuit le communiqué. Inutile de rappeler que le Burkina Faso est engagé dans une lutte contre le terrorisme. Ces drones sont d’une précieuse aide pour l’armée dans cette guerre.

L’international sénégalais Pape Abdou Cissé traîné en justice par son ex-femme

Mais, d’après nos confrères du quotidien national, depuis le mois de janvier 2023, Pape Abdou Cissé n’a pas honoré ses engagements.
 
Les démarches pour un règlement à l’amiable étant vaines, son ex-épouse a saisi un huissier pour faire un constat arguant que depuis le 15 décembre 2022, il ne verse plus la pension et ne prend plus en charge les frais médicaux et pharmaceutiques de leur fille.
 
Par la suite, elle a saisi le juge pour réclamer le versement de la somme globale de six millions de francs CFA. 
 
L’avocate de Pape Abdou Cissé, de son côté, a préféré déposer des conclusions où elle sollicite un moratoire pour le paiement de cette somme en six mensualités égales. Ce que les conseils de l’épouse ont refusé, «au regard des revenus du footballeur qui sont plus que confortables, mais surtout au regard de son train de vie». 
 
“Le Soleil” d’ajouter que le tribunal a été convaincu, avant-hier (mardi), par les arguments exposés par les avocats de Mme Jihane Sahara et a ordonné la continuation des poursuites sans nouveau référé.             
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