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Décharge de Mbeubeuss : 75 tonnes de produits prohibés détruits

Les agents du service national de l’hygiène ont collecté durant des activités de contrôle et de suivi beaucoup de produits prohibés ou inappropriés à la consommation. Ils ont été récupérés dans les boutiques et les grands lieux de commerce.  Ces produits ont été ce matin détruits, devant les autorités. En effet, selon  le lieutenant Amar Seck, commandant de la brigade régionale du service de l’hygiène de Dakar, la décharge de Mbeubeuss est le site autorisé actuellement par l’Etat du Sénégal pour détruire ces produits.  « On ne peut pas prendre des produits prohibés et les laisser à la portée de la population. Et ça risque d’entraîner des maladies. C’est pourquoi, nous sommes venus à Mbeubeuss pour faire la destruction » dit-il.
 
Par rapport à la quantité, le lieutenant parle de 75 tonnes de produits détruits. Il reste un stock  à la sous-Brigade de Mbao d’environ 25 tonnes qui ne sont pas encore détruites. Il s’agit  de produits divers composés de denrées alimentaires qui ont été saisis par le service de l’hygiène de Dakar. « Nous appelons les populations à changer de comportement. Mais aussi les commerçants doivent avoir l’honnêteté de ne pas vendre à la population des produits altérés ou périmés » invite-t-il.  Dans le même sillage, il invite dans le cadre général, la population à faire attention. « Il faut vérifier les produits qu’on achète. Nous mangeons mal parce que nous achetons des produits prohibés. Il faut qu’on fasse tout pour vérifier ce qu’on achète sinon nous risquons de mettre en danger la population ».
 
S’agissant de la sécurité et du rôle de l’Etat de veiller à la distribution de produits sains,  il affirme : « Nous allons renforcer la vigilance pour accélérer davantage les contrôles et augmenter le nombre de descentes. Actuellement, surtout avec l’approche de la Tabaski, il faut que les gens fassent très attention. Il y a beaucoup de produits périmés qui sont gardés par certains commerçants qui cherchent la moindre occasion pour les déverser dans les marchés ». Il promet par la même occasion de tout faire  pour traquer ces commerçants et mettre leurs produits hors des circuits de commercialisation. «  Nous avons des sous-commissions qui sont dotées de moyens pour faire ce travail. Cette année, nous avons eu une augmentation des effectifs sur le recrutement et ce renforcement de notre effectif nous permet de mener à bien notre mission » rassure le lieutenant Seck.
 
Abdou Dieng, le délégué national chargé de la coordination des infrastructures de gestion des déchets au niveau de la Sonaged, explique, sur un autre registre, que le site de décharge reçoit chaque jour 500 rotations de camions en moyenne 3700 tonnes par jour. L’entité appuie aussi le service d’hygiène pour la destruction des produits prohibés. La Sonaged fait aussi des visites à domicile pour éduquer et sensibiliser les populations sur la gestion des déchets. Et une fois que ces produits périmés sont détruits on procède à des opérations d’enfouissement.

Les prédictions de la CAP faussées, la Cour suprême maintient WALFTV dans le noir

L’étroitesse des locaux de la Cour suprême a été formulée comme doléance par les magistrats
La décision est tombée. Sa justification peut être risible mais a le malheur de primer. En effet, en dépit de la plaidoirie lumineuse de l’avocat du groupe Wal Fadjri, du réquisitoire énigmatique du Parquet général, la Cour suprême a indiqué qu’il fallait maintenir le statu quo. Autrement, elle a rejeté la requête déposée par le groupe Wal Fadjri demandant la suspension de l’exécution de la décision du ministère de la Communication, des Télécommunications et l’Économie numérique. La Cour suprême, qui n’a pas tenu compte du caractère urgent du recours déposé par ledit Groupe de presse, a bizarrement estimé notamment que la durée de la sanction était presque arrivée à terme. Ainsi, la décision arbitraire de couper le signal de WalfTV ayant été prise le 1er juin, il ne reste plus que huit jours à tenir. C’est ce que semble dire la haute juridiction qui avait pourtant la latitude de fixer l’audience en début de cette semaine comme le suggère une requête aux fins de suspension en référé. Pourtant, les huit jours que la juridiction semble négliger auraient permis au Groupe de presse du Front de terre de tenir les Sénégalais informés de l’actualité brûlante du pays, en plus de faire des rentrées d’argent. D’autant que cette période coïncide avec les préparatifs de la fête de Tabaski qui incitent les annonceurs à se manifester. Mais tout cela n’a semble-t-il pas importuné le juge. La Cour ne s’est pas non plus attardée sur la notification de la décision du ministre Moussa Bocar THIAM, parvenue aux responsables du Groupe Wal Fadjri huit jours après la suspension du signal de WalfTV. Tout comme elle n’a pas expliquée le droit sur lequel Moussa Bocar THIAM se serait appuyé pour prendre une telle mesure qui dépasse largement ses prérogatives.
 
C’est maintenant vers la Coordination des Associations de Presse (CAP) que les regards se tournent. Elle qui avait annoncé, mardi dernier, que le signal de WalfTv était en voie de rétablissement, doit maintenant des explications et plus pertinentes. D’autant  qu’elle a déclaré que c’est sur « ce rétablissement en bonne voie » et sur le placement sous contrôle judiciaire de Pape NDIAYE et de Serigne Saliou GUEYE qu’elle s’est fondée pour annuler le plan d’action qu’elle avait annoncé en grande pompe. Entre admettre avoir été flouée par le ministre de la Justice qu’elle a remercié en avance et reconnaitre qu’elle a manqué d’ambition, de courage et de dynamisme, la CAP est plus qu’interpellée.

Foot: la Fédération sénégalaise dément toute tentation de boycott au sein de la sélection

La Fédération sénégalaise de football (FSF) a démenti que les joueurs de l’équipe nationale aient songé à boycotter un match de qualification pour la Coupe d’Afrique des nations 2024, contre le Bénin, en raison des récents troubles au Sénégal.
 
Avant le match samedi, achevé sur un résultat nul (1-1), la sélection “a travaillé dans les conditions habituelles de préparation et de compétition et pas un seul instant, il n’a été question d’autre chose que de football”, a écrit la Fédération du Sénégal dans un communiqué diffusé sur son site internet.
 
La Fédération “s’inscrit en faux” contre des déclarations “dénuées de tout fondement”.
 
Au cours d’une émission spécialisée de Radio France Internationale, l’un des intervenants, le journaliste Yoro Mangara, avait déclaré mercredi que les joueurs sénégalais avaient envisagé de ne pas jouer cette rencontre contre le Bénin.
 
Le Sénégal a été le théâtre entre le 1er et le 3 juin de troubles à la suite de la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle de 2024. Les violences ont fait au moins 16 morts selon les autorités, 30 selon le parti de M. Sonko.

KOLDA : Les prix des moutons varient entre 80.000 et 478.000 F CFA

A quelques jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les prix des moutons sont jugés trop élevés. Sur le parc aux petits ruminants, les plus petits moutons sont cédés à 80.000 FCFA au minimum.
 
 A en croire Moussa Sabaly venu chercher un mouton pour cette fête, « c’est désolant de constater qu’avec 80.000f tu ne peux pas avoir un mouton acceptable ». Pourtant les vendeurs trouvent ces prix abordables, comme le souligne Ifra Ka. Ce vendeur de moutons habitué des lieux considère que les acheteurs veulent prendre de gros moutons sans trop dépenser. D’ailleurs ces gros et bons moutons sont vendus jusqu’à 478.000 FCFA au maximum. 
 
Il est constaté que pour avoir un bon mouton de Tabaski, il faut au moins débourser plus de 100.000 FCFA au bas mot. Selon Fatoumata Baldé, les prix de cette année « sont plus excessifs ». 
 
Cette fonctionnaire a pu trouver un mouton à 185.000 FCFA après plusieurs heures de marchandage.  Au quartier Bouna et à Sikilo camp de garde, les moutons à vendre ne sont pas aussi nombreux,  comparée à l’année dernière à la même période avant le jour de la fête. Ces principaux lieux de vente reçoivent quotidiennement un  monde à la recherche d’un mouton pour la tabaski. Ce qui fait que sur les lieux, on note d’intenses marchandages  entre acheteurs et vendeurs.

Burkina : un drone de combat s’écrase au sol suite à une panne technique

L’armée  de l’air burkinabé a perdu un de ses drones de combat hier mercredi 21 juin 2023. L’aéronef s’est écrasé au sol, suite à une panne technique intervenue en plein vol.
 
 Selon Burkina 24 qui rapporte l’information, le drone revenait d’une mission de reconnaissance offensive.
 
 
 
Une enquête interne a été ouverte
 
 « Les équipes techniques appuyées d’unités terrestres ont été mobilisées pour récupérer les restes de l’appareil » indique un communiqué de la Direction de la communication et des relations publiques des Armées. Le crash n’a causé aucune perte en vies humaines. « Une enquête interne a été ouverte à des fins de retour d’expérience ».
 
« Pure fiction »
 
 « Les versions fantaisistes imaginées par certains individus sur les réseaux sociaux et illustrées par de grossiers montages photos ne sont que pure fiction » poursuit le communiqué. Inutile de rappeler que le Burkina Faso est engagé dans une lutte contre le terrorisme. Ces drones sont d’une précieuse aide pour l’armée dans cette guerre.

L’international sénégalais Pape Abdou Cissé traîné en justice par son ex-femme

Mais, d’après nos confrères du quotidien national, depuis le mois de janvier 2023, Pape Abdou Cissé n’a pas honoré ses engagements.
 
Les démarches pour un règlement à l’amiable étant vaines, son ex-épouse a saisi un huissier pour faire un constat arguant que depuis le 15 décembre 2022, il ne verse plus la pension et ne prend plus en charge les frais médicaux et pharmaceutiques de leur fille.
 
Par la suite, elle a saisi le juge pour réclamer le versement de la somme globale de six millions de francs CFA. 
 
L’avocate de Pape Abdou Cissé, de son côté, a préféré déposer des conclusions où elle sollicite un moratoire pour le paiement de cette somme en six mensualités égales. Ce que les conseils de l’épouse ont refusé, «au regard des revenus du footballeur qui sont plus que confortables, mais surtout au regard de son train de vie». 
 
“Le Soleil” d’ajouter que le tribunal a été convaincu, avant-hier (mardi), par les arguments exposés par les avocats de Mme Jihane Sahara et a ordonné la continuation des poursuites sans nouveau référé.             

Mbappé Au Real : Les Médias Espagnols Évoquent Une Date De Signature

Les incertitudes autour de l’avenir de Kylian Mbappé au Paris Saint-Germain enflamment les médias espagnols. Ces derniers ont même avancé une date pour sa présentation au Real Madrid pendant le mercato estival, renseigne RMC.

Viendra, viendra pas… Kylian Mbappé a beau répéter qu’il jouera au PSG la saison prochaine, les rumeurs autour de son avenir continuent d’agiter les médias. Et plus particulièrement en Espagne où l’on rêve toujours de le récupérer du côté du Real Madrid. Courtisan de longue date de l’attaquant français, le club merengue bénéficie du soutien acharné de plusieurs émissions ou journaux ibériques.

Totalement déchaînés quand il s’agit du dossier Mbappé, les journalistes du show El Chiringuito sont allés encore plus loin mercredi. Selon eux, Kylian Mbappé sera officiellement présenté par le Real Madrid à la fin du mois de juillet. Le 23 juillet pour être exact.

Mbappé encore au PSG jusqu’en juin 2024

Sous contrat jusqu’en 2024, Kylian Mbappé a signifié au Paris Saint-Germain son intention de ne pas activer sa clause pour une troisième année supplémentaire. Si la direction francilienne n’a pas abandonné l’idée de le prolonger, voire de le vendre pendant l’été moyennant une offre XXL, l’attaquant de 24 ans a assuré qu’il ne bougerait pas et jouerait au PSG la saison prochaine.

Visiblement, les différentes sorties de Kylian Mbappé dans la presse n’ont pas suffi à calmer les ardeurs de l’autre côté des Pyrénées. Mais attention, ce sont les mêmes journalistes qui donnaient comme bouclée son arrivée au Real Madrid en 2022.

« J’ai déjà dit que je resterai. Je l’ai déjà dit bien avant que tout ça se passe », a confirmé l’attaquant français au micro de Téléfoot pendant la fenêtre internationale. Je me résous seulement à jouer au PSG l’année prochaine, c’est ce que j’ai dit. Il y a beaucoup de choses qui se passent dans une année, encore plus dans un club comme le PSG. »

Opérations «Cash Transferts» : Révélations Sur 16 Milliards F CFA

Dans un rapport consulté par Libération, la Banque mondiale signale que les opérations de Cash transferts initiées par le gouvernement au bénéfice des populations pauvres n’ont pas été menées jusqu’au bout. Du moins avant 2023.

L’institution de Bretton Woods a enregistré «des impayés de l’ordre de 16 milliards de francs CFA à la fin de 2022». Le journal ne précise pas si la Banque a pointé les causes de ces «impayés» et si le processus a été par la suite menée à son terme.

Pour soulager les ménages démunis, dans un contexte post-Covid-19 et de guerre entre la Russie et l’Ukraine, le gouvernement avait décidé d’octroyer à chacun des 543 000 ayants droit ciblés la somme de 80 000 francs CFA. Le programme a été lancé en mai 2022 par le Président Macky Sall. La Banque mondiale l’avait jugé pertinent, adapté à la conjoncture.

Décision De Justice : Deux Individus Condamnés À 2 Ans De Prison Pour Du Riz

Selon des informations relayées par Dakar Actu, 2 dockers ont payé le prix fort pour 2 sacs de riz. Il s’agit de Sitor Nd. et Moussa D, ils ont été reconnus coupables d’un acte de vol à l’encontre de leur employeur et condamnés à une peine de 2 ans de prison avec sursis. Les deux prévenus, qui étaient en détention préventive depuis le 19 juin dernier, ont comparu devant le tribunal des flagrants délits de Dakar le mercredi 21 juin 2023 pour répondre des charges de vol en réunion commis pendant leur service.
Lors de leur comparution, Sitor Nd. et Moussa D. ont plaidé coupable des accusations portées à leur encontre, en expliquant qu’ils avaient agi de cette manière en raison du refus de leur employeur de les rémunérer. Ils ont affirmé que l’acte de vol s’était produit pendant qu’ils étaient en train de transporter les marchandises.Le parquet a requis une application stricte de la loi, tandis que l’avocat de la défense a plaidé en faveur d’une requalification des faits en vol simple. Selon lui, il ne pouvait s’agir d’un vol en réunion puisque les accusés avaient agi de manière indépendante au moment des faits en vol simple. L’avocat a également souligné que Sitor Nd. et Moussa D. se préparaient à se rendre au village pour des travaux agricoles. Par conséquent, il a demandé une interprétation clémente de la loi pénale.Après délibération, conformément à la législation en vigueur, le tribunal a déclaré les accusés coupables et les a condamnés à une peine d’emprisonnement de 2 ans avec sursis.

Chambre Criminelle De Dakar : Ce Que Risque Cet Enseignant Qui A Initié Une Étudiante Étrangère À La Prostitution Et Volé Son Téléphone

Hier, à la barre de la chambre criminelle de Dakar, comparaissait le sieur Auguste Sambou qui répondait à des chefs de vol, viol et usurpation de fonction. Pour ces faits, il risque une peine de réclusion criminelle de 10 ans.

Enseignant en technique d’architecture dans un institut de formation, Auguste Sambou a hypothéqué son avenir pour une banale histoire qui l’a opposé à une étudiante étrangère. Après trois ans de détention préventive, l’homme âgé de 30 ans a été appelé, hier, à la barre de la chambre criminelle de Dakar. Poursuivi pour des faits de vol, viol et usurpation de fonction, il encourt une peine de réclusion criminelle de 10 ans. L’accusé avait à ses côtés son ami Henry Boris Djiba qui s’est retrouvé dans cette situation, pour avoir essayé de tirer d’affaires son ami. Il est poursuivi pour recel.

Face aux juges, Auguste Sambou plaide non coupable. À l’en croire, même s’il a pris le téléphone de la plaignante ceci ne constitue pas un vol. Revenant sur la genèse des faits pour justifier son acte, il raconte : «l’étudiante et moi, nous nous sommes connu via Facebook. Au bout de quelques temps, on a échangé nos numéros et on se parlait fréquemment sur Whatsapp. C’est ainsi qu’elle m’a fait part de sa situation difficile en tant qu’étudiante. Ne pouvant pas supporter ses frais de scolarité, je lui ai proposé de se prostituer. C’est ainsi que je l’ai inscrite sur une plateforme de rencontre. Mais le site est payant. Chaque mois, elle doit payer 30.000 francs CFA pour les frais de publication. Je lui ai prêté 100.000 francs CFA. Il était convenu qu’elle me rembourse dès que sa situation s’améliore».

Selon l’accusé, l’étudiante n’a pas honoré sa part du contrat. «Quand les choses ont commencé à marcher pour elle, je n’ai plus de ses nouvelles. Et pour récupérer mon argent, j’ai dû user de subterfuges pour la rencontrer à la brioche dorée. Sur place, j’ai dû lui dire qu’un client voulait la rencontrer. Mais qu’avant je dois l’appeler. De ce fait, je lui ai emprunté son téléphone et je suis sorti», a-t-il soutenu. «J’ai pris son téléphone pour l’obliger à me payer. Je n’avais pas imaginé qu’elle allait déposer plainte contre moi», a-t-il ajouté.

D’ailleurs, ajoute-t-il, il a eu peur quand les flics l’ont convoqué au commissariat. «J’avais peur d’être arrêté pour proxénétisme. C’est pour cela j’ai appelé Henry et je lui ai dit de supprimer toutes les données qui se trouvaient dans le téléphone. C’est à cause de moi qu’il a été arrêté», finit-il par avouer. Mais selon la procédure, pour faire venir l’étudiante au rendez-vous, il lui a fait croire qu’il est un policier. Ce qu’il a nié.

Ce que Henry Boris Djiba a reconnu. «Depuis la police, Auguste m’a appelé pour me dire de lui venir en aide. Il a demandé si je pouvais lui prêter 200 mille francs CFA. Je lui ai dit que je ne disposais pas de cette somme. Mais il m’a supplié de venir le rejoindre puisqu’il était retenu pour viol et vol. A mon arrivée il m’a envoyé chez Pierre GOMIS pour récupérer un téléphone là-bas. A mon retour, il m’a dit de dire au commissaire que le téléphone m’appartient. Ce qui a conduit à mon arrestation. En voulant l’aider je me suis retrouvé derrière les barreaux», a raconté Henry qui a comparu libre.

Le maître des poursuites a requis six mois assortis du sursis pour Henry Boris Djiba. Ce, après avoir requis 1 an d’emprisonnement ferme contre Auguste Sambou pour le chef d’usurpation de fonction, 1 an ferme pour vol et 10 ans de réclusion criminelle pour viol. Les avocats de ce dernier ont sollicité la relaxe au bénéfice du doute.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention