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Saisie de 1.036 kilos de cocaïne : 12 des 20 personnes inculpées envoyées devant la Chambre criminelle

Quatre ans après la saisine de 1036 kilogrammes de cocaïne, le patron du premier cabinet du Tribunal de Grande instance de Dakar, Oumar Maham Diallo a rédigé l’ordonnance de clôture en renvoyant 12 des 20 inculpés en jugement à la Chambre criminelle de Dakar. 7 autres et X ont décroché un non-lieu.

Selon L’Observateur qui donne l’information, l’ordonnance a été prise en ce sens le 15 juin. Il donne ainsi le signal au parquet, qui peut désormais enrôler l’affaire pour le procès.

Les suspects concernés sont : Borgia Pasquale Mattera, Paolo Amalfitano, Lukas Schmitzberger, Carolin Verena Stanzl, El Hadji Babacar Coumba Diop, Malick Thiandoum alias Mame Ass, Sallo Fambaye Diop dit Vieux Diop, Sevdina Mouhamadou Ndiaye, Ibrahima Thiam alias Toubey, Ismaila Ousmane Bâ alias Isma alias Alpha, Mamadou Niang alias Modou Ngatane et Mamadou dit Doudou Diouf.

Rappel à l’activité de militaires libérés : Les précisions de l’armée

Dans un document daté du 21 juin 2023, le ministère des Forces armées a lancé un rappel à l’activité de militaires jadis libérés. Ce qui a suscité moult interrogations, au vu du contexte actuel du pays. L’armée, par le biais de son porte-parole, a fait quelques précisions.

Hier lundi, un document du ministère des Forces armées, faisant état d’un rappel à l’activité de militaires issus de cinq contingents libérés, a polarisé l’actualité. Le Colonel Moussa Coulibaly, patron de la Direction de l’information et des relations publiques des Armées, qui déclare que le document est bien authentique, a tenu à faire quelques précisions.

«Cette mesure n’est nullement liée au contexte actuel. Ça n’a vraiment rien à voir. L’Armée nationale évolue et s’adapte aux questions de l’heure qui interpellent la gestion de la sécurité nationale. C’est dans cette optique que plusieurs programmes opérationnels et structurants ont été mis en œuvre par le Commandement. Certains ont été déroulés, d’autres sont en cours de l’être», a déclaré le porte-parole de l’armée.

Dans les colonnes de l’Observateur, le Colonel Moussa Coulibaly déclare que cette décision entre dans le cadre d’un programme intitulé : «20-25». Ledit programme traduit l’ambition d’une montée en puissance de l’Armée sénégalaise, dit-il.

«Il est ponctué par la création, depuis 2020, de nouvelles unités, qui ont été élaborées, étoffées et adaptées aux objectifs fixés en 2025. Et c’est dans le cadre de l’atteinte des objectifs que le Commandement a convenu de rappeler les 5 contingents sus indiqués, pour pouvoir renforcer les effectifs, en intégrants les nouvelles créations et acquisitions», explique le patron de la Dirpa.

Il ajoute : «Nous sommes dans une phase du processus ou nous sommes amenés à mettre à niveau certaines unités, dont le 34° Bataillon d’infanterie, le 23° Bataillon de reconnaissance et d’appui, les nouvelles acquisitions de bateaux lance-missiles…, et cela passe par un renforcement des ressources humaines. Plusieurs nouvelles unités sont créées au sein même des Armés, il y a par exemple des bataillons qui étaient à 3 Compagnies et qui sont maintenant à 4 Compagnies.»

Armée : les militaires libérés au terme de leur durée légale, rappelés à l’activité

Après la gendarmerie nationale, c’est l’armée qui vient renforcer ses rangs. En effet, il s’agit des personnels militaires de la disponibilité, issus des contingents 2019/3, 2020/1, 2020/2, 2020/3 et 2021/1, libérés au terme de leur durée légale, qui sont rappelés à l’activité. «A compter du 1er juillet 2023, les personnels militaires de la disponibilité, issus des contingents 2019/3, 2020/1, 2020/2, 2020/3 et 2021/1, libérés au terme de leur durée légale, sont rappelés à l’activité. Le Chef d’Etat-major général des Armées et le Directeur des personnels militaires et de la Mobilisation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision», mentionne le document signé par le ministre des Forces armées Me Sidiki Kaba.

Cité Sipres : un nouveau-né sans vie retrouvé dans les poubelles près du Samu municipal

Un nouveau-né de sexe féminin et qui pesait 1,1 Kg a été retrouvé mort dans un dépotoir d’ordures posé à la Cité Sipres, près du Samu municipal. Selon ‘’Libération’’ qui donne l’information dans sa parution de ce mardi, la découverte macabre a eu lieu samedi dernier vers 23 heures. Nos confrères renseignent que le corps y a été jeté par le conducteur d’une moto ‘’Jakarta’’ qui a pris la fuite. A en croire le journal, les premiers éléments de l’enquête indiquent que l’enfant a été déposé dans les poubelles par un conducteur. Ce dernier est activement recherché.

Vol à l’occasion du service : la domestique Fatoumatou Tambedou expulsée du pays pour une durée de 5 ans

Après avoir purgé la peine de prison que lui a infligée le juge, Khadidiatou Tambedou va plier bagages et retourner en Gambie. En effet, en sus de sa peine, elle est interdite de séjourner au Sénégal pour une durée de 5 ans. La jeune fille âgée de 19 ans a été reconnue pour vol à l’occasion du service.

Si ce n’était pas la voisine de la plaignante, celle-ci n’aurait aucune idée d’où se trouvaient ses biens volés. L’auteure de ces agissements, sa domestique Khadiatou Tambédou avait caché sur la terrasse de sa voisine, les objets qu’elle lui avait dérobés. Informée, sa patronne qui n’ignore pas le vice de sa domestique dépose plainte contre elle. Face aux enquêteurs, elle renseigne que sa belle-sœur et sa sœur ont été les premières victimes de celle-ci. La plaignante renseigne que la prévenue avait comme tâche, le nettoyage de sa boutique. Elle lui reproche d’avoir subtilisé une paire de chaussures, une paire de lunettes et un sac à main.

A la barre, Khadidiatou Tambedou conteste les faits. «Je n’ai pas volé ses biens. Comme je devais arrêter le travail, elle m’a demandé d’attendre qu’elle vérifie sur les caméras de surveillance pour voir si je n’avais pas cambriolé sa boutique. Lorsque je suis revenue, elle m’a fait patienter avant de m’accuser de vol. C’est là qu’elle m’a conduit à la gendarmerie. C’est une paire de chaussures que je détenais mais je ne les ai pas volées. Je détenais aussi un parfum qui m’appartenait», a-t-elle raconté.

Des faits qu’elle avait pourtant reconnus devant le procureur. D’ailleurs elle avait même demandé pardon à sa patronne. Elle avait même déclaré que c’est un marabout qui lui avait suggéré de mettre le parfum sous l’oreiller et de dormir avec. Ce, avant de le donner comme offrande puisqu’elle faisait un mauvais rêve.

La déléguée du Procureur de la République a requis 2 ans d’emprisonnement dont 3 mois ferme. Quant à la prévenue elle a sollicité la clémence du tribunal en évoquant sa maladie. Elle a promis de retourner chez elle. Condamnée à 2 ans de prison dont 1 mois ferme, elle va devoir prendre son mal en patience. Une fois libre elle sera contrainte de quitter le territoire sénégalais où elle n’aura plus le droit de séjourner pour une durée de 5 ans.

Le Président Bougane chez le Grand Serigne de Dakar

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la tournée initiée par le leader de Gueum Sa Bopp auprès des chefs religieux et coutumiers sur la situation su pays.
Ocassion pour le grand Serigne Pape Ibrahima Diagne de magnifier le travail et l’approche du Président Bougane Gueye. Le Patriarche lébous en a aussi profité pour assumer son amitié avec le Président Bougane Gueye.
Cette rencontre qui s’est déroulée sous la présence de certaines dignitaires lebous dont Babacar Ndir chef de Penc à Santhiaba et Conseiller Coutumier, de Abdou Fatah Mbaye Conseiller Coutumier, de Ismaila Ndiaye Diambour.
Très satisfait de la visite du leader de Gueum Sa Bopp, le Grand Serigne Pape Ibrahima Diagne a prié pour un Senegal stable et prospère.
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APPROVISIONNEMENT DU MARCHE EN OIGNON ET EN POMME DE TERRE: LES ASSURANCES DU SERVICE DE COMMERCE DE MBOUR

Le marché est très bien fourni en oignons et en pomme de terre à des prix raisonnables. C’est l’assurance faite par le chef du Service du commerce de Mbour, Papa Amadou Bigué Ndiaye.
 
Les ménages n’auront aucun problème quant à leur approvisionnement pour la célébration de la fête de Tabaski. En effet, la semaine dernière les ménages ruminaient leur désarroi par rapport à la cherté des prix. 
 
Selon M. Ndiaye, dont les équipes étaient sur le terrain depuis plusieurs jours, il n’y a pas eu d’inflation, ni de spéculation sur les prix. 
“5350 sacs d’oignons sont dans le marché. Les prix varient selon la variété. Chez les grossistes et les demi-grossistes, le sac d’oignon blanc, qui est la variété la moins chère, est vendu entre 11 000, 11 500 voire 12 000 Fr. L’oignon rouge, qui est de meilleur qualité selon les ménages de par sa conservation, est vendu à 14 000 voire 16 000Fr le sac. La pomme de terre est vendu 10 400Fr le sac”, confie M. Ndiaye. 
 
Le relevé de stock présent sur le marché va largement couvrir la célébration, rassure le chef de Service du commerce. 
 
“Nos agents déployés n’ont pas constaté de hausse. Les produits sont suffisants en quantité et en qualité. Et les prix sont raisonnables”, dit-il, tout en précisant que le Service du commerce de Mbour veille au grain. 

Biden assure que les Occidentaux n’étaient «pas impliqués» dans la rébellion de Wagner en Russie

Joe Biden a estimé lundi qu’il était «trop tôt pour tirer des conclusions définitives» après la rébellion avortée menée par le chef du groupe Wagner en Russie ce week-end, et ajouté qu’il était «important» que les Occidentaux restent «complètement coordonnés». «Nous n’étions pas impliqués. Nous n’avons rien à voir avec ces événements», a encore dit le président américain en faisant référence en particulier à l’Otan, avant d’ajouter: «Il s’agissait d’un problème interne à la Russie.»
 
Il a assuré que les Américains et leurs alliés ne voulaient «donner aucun prétexte (au président russe Vladimir) Poutine pour accuser les Occidentaux et pour accuser l’Otan». Il est «important» que les Occidentaux restent «complètement coordonnés», a-t-il d’ailleurs dit, rappelant qu’il s’était entretenu samedi avec plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement, et indiquant qu’il comptait leur parler à nouveau lundi. Joe Biden entend aussi rester en «contact constant» avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, à qui il a parlé dimanche pour l’assurer du soutien des Etats-Unis.

Préparatifs Tabaski Ziguinchor : Des tailleurs se frottent les mains, malgré la conjoncture

À quelques jours de la Tabaski, à Ziguinchor, plusieurs tailleurs ont déjà fait le plein malgré la cherté de la vie et les violentes manifestations du début de mois qui ont paralysé beaucoup de secteurs d’activité. Cependant, bon nombre de ces professionnels de la couture se plaignent de l’arrivée tardive des commandes, même s’ils disent comprendre la situation des pères de famille. D’ailleurs depuis quelques jours, des veillées s’organisent dans ces ateliers pour espérer livrer à temps toutes les commandes.
 
 
 
C’est le cas dans cet atelier où exerce Amy Manga, la dame explique travailler jusqu’à 2 h pour honorer la commande de sa clientèle. Seulement, Amy regrette l’arrivée tardive de certains clients qui à un certain moment rendent difficile le travail. Mais elle pense finir dans les deux à trois jours qui viennent pour éviter tout problème avec ces clients. 
 
Omar Sall avec son lot de tissus découpés pour la plupart et prêts à passer sous l’aiguille de la machine, dit être dans les délais. Le tailleur explique avoir arrêté la prise de commande depuis des jours, pour éviter des impairs. Omar regrette l’arrivée tardive de certains parents pour passer les commandes, et confie comprendre la situation. ” Il y a les tracasseries de la vie, en plus des manifestations de ce mois de juin qui ont perturbé beaucoup de choses ” relate le tailleur. À ce dernier tournant avant la fête, avec ses apprentis Omar est obligé de faire des traversées nocturnes pour satisfaire sa nombreuse clientèle, malgré les temps durs. 
 
Pour éviter ces problèmes de retard de livraison de leurs habits de Tabaski, certains comme Baïla ont passé tôt leurs commandes. Vendeur de tissus et de vêtements, Baïla confie orienter souvent certains de ces clients chez ses amis tailleurs. D’ailleurs, c’est ce qui l’a poussé à remettre très tôt ses tissus à son ami tailleur pour les besoins de la Tabaski et pour toute sa famille. 
 
À Ziguinchor, les préparatifs de la Tabaski vont bon train, et les tailleurs se frottent les mains, malgré tout. 

Pénurie d’eau à Saint-Louis: Les populations désemparées

Paradoxe ! La presqu’île de Saint-Louis manque d’eau. Dans plusieurs quartiers de Ndar, le liquide précieux ne coule plus à flots, et ce, depuis quelques semaines. Les populations, désemparées, appellent au secours. Les autorités, quant à elles, rassurent. 
 
Les images sont tristes. A Saint-Louis, les populations rencontrent d’énormes difficultés pour s’approvisionner en eau potable. Dans le populeux quartier de Pikine, c’est deux à trois camions citernes, qui font des rotations quotidiennes pour « soulager » les milliers d’âmes qui y réveillent chaque jour, les robinets étant secs.
 
Selon des informations obtenues, c’est quasiment le même cas dans les quartiers de Guinaw Rail, Eaux Claires, Médina Course, Goxu-Mbacc, Diaminar, ainsi qu’à Sanar où se situe l’Université Gaston Berger (Ugb). Dans ces contrées, les habitants sont de plus en plus confrontés à des problèmes de baisse de pression. Conséquence, pour avoir quelques gouttes, il faut veiller la nuit entre 3h et 5h du matin.
 
Pourtant, le château d’eau de Leybar, construit à hauteur de plusieurs milliards, devrait permettre de résoudre « définitivement » les problèmes de coupures récurrentes, plus précisément à Pikine et environs, selon le président de la République, Macky Sall, qui était présent lors de l’inauguration de l’ouvrage, le 5 mars 2017.
 
Ce château d’eau, financé à hauteur de 15 millions d’euros par la Banque européenne d’investissement dans le cadre du Programme eau potable et assainissement du millénaire (Pepam) au moment où l’actuel maire de Saint-Louis, Mansour Faye, était également le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, n’a pas encore fourni les résultats escomptés. Selon certains riverains, il s’agit d’un « simple monument ».
Face à cette situation malheureuse, la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones) et la Sen Eau annoncent que leurs équipes sont à pied d’œuvre pour y apporter une solution durable.  
 
On apprend, en effet, que des travaux sont en cours pour la réalisation de nouveaux ouvrages de production d’eau potable, dont une usine de traitement et un autre château d’eau.
 
Les assurances de la Sones et de la Sen’eau
 
C’est le cas de deux forages implantés à Ndiock Sall, à 50 kilomètres de Saint-Louis, avec une production globale de 8000m3 par jour, un chantier de prise d’eau à Nango, un château d’eau à Sanar et d’une nouvelle station à Khor.
Lors d’une visite des chantiers, la semaine dernière, le directeur des travaux de la Sones, Abdou Diouf, a donné des assurances sur le bon déroulement du projet, notamment le montage des équipements des deux forages, la pose de la conduite sur 50 kilomètres, l’optimisation de la distribution en faveur des quartiers déficitaires de Saint-Louis, non sans confirmer la ferme résolution à terminer les travaux suivant les directives du Directeur général de la Sones, Charles Fall, et les orientations définies par les autorités étatiques. 
 
A l’en croire, « ce projet d’urgence, qui aborde le virage des 80% de taux d’exécution ».
 
Pour sa part, la Sen’eau, par la voix de son Directeur territorial, Alpha Sall, a également apporté des réponses sur l’alimentation alternée, et les dispositions prises pour soulager les populations.  Interpellé, hier dimanche, sur la question dans une émission de la radio Dunya Fm Saint-Louis, il a livré quelques « éléments d’explication ».
 
Le premier problème, dit-il, est lié à l’essor démographique de la vieille ville.  « A Saint-Louis, seule une usine de traitement d’eau approvisionne toute la ville, elle est située à Khor, avec une capacité de 18 000 m3 par jour. Elle puise le liquide de la réserve d’eau de Bango », a-t-il déclaré, soulignant que de milliers nouveaux d’abonnements sont enregistrés chaque année.
 
« Nous avons planifié, parce que le processus a démarré depuis plusieurs années, mais les statistiques de l’Ands montrent nettement l’augmentation du nombre d’habitants et les ouvrages n’ont pas été augmentés en conséquences »
 
Aussi, a-t-il pointé la forte demande, de forte consommation en cette période de canicule. Car, selon toujours Dr. Sall, « il y a des moments de la journée où l’on a le plus besoin de l’eau et la tension est parfois causée par la simultanéité. Et c’est la même durant l’année : les besoins sont démultipliés au mois de mai-juin par rapport aux mois de décembre-janvier », a rappelé le son directeur territorial de la Sen’Eau. Pour preuve, l’expert souligne qu’il y a quatre mois derrière, la situation n’était pas aussi compliquée, pourtant la capacité de production reste la même.
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