jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 979

Mbeubeuss : 75 Tonnes De Produits Prohibés Détruits Par Le Service D’hygiène

75 tonnes de denrées alimentaires périmées et prohibées ont été détruites hier à Mbeubeuss. Selon le lieutenant Amar Seck, commandant de la Brigade régionale de l’hygiène de Dakar, il reste un stock à la sous-brigade de Mbao. «Il y a environ 25 tonnes qui ne sont pas encore détruites. Ce sont des produits divers composés de denrées alimentaires qui ont été saisies par le service d’hygiène de Dakar», a-t-il précisé. D’après lui, ces produits ont été collectés par les agents du service d’hygiène durant les activités de contrôle et de suivi. «Ces produits prohibés ont été récupérés dans les boutiques et les grands lieux de commerce à Dakar. Mbeubeuss est le site autorisé par l’État du Sénégal pour détruire ces produits, parce qu’on ne peut pas prendre des produits prohibés et les laisser à la portée de la population. Cela risque d’entraîner des maladies», souligne le commandant de la Brigade régionale de l’hygiène de Dakar.

Le commandant de la Brigade régionale de l’hygiène de Dakar a appelé la population à faire attention à la qualité des denrées vendues sur le marché. «Il faut vérifier les produits qu’on achète. Nous mangeons mal, parce que nous achetons des produits prohibés. Il faut qu’on fasse tout pour vérifier ce qu’on achète, sinon nous risquons de mettre en danger la population. La Brigade régionale de l’hygiène de Dakar va renforcer la vigilance pour accélérer les opérations de contrôle en augmentant le nombre de descentes sur le terrain», assure-t-il. A l’en croire, le fait que l’on soit à quelques jours de la Tabaski, doit pousser les gens à faire très attention par rapport aux produits qu’ils achètent. «Il y a beaucoup de produits périmés qui sont gardés par certains commerçants qui cherchent la moindre occasion pour les faire écouler sur le marché. Pour ce qui est de notre ressort, nous ferons tout notre possible pour traquer ces commerçants et mettre leurs produits hors d’état de nuire», précise le lieutenant Amar Seck.

Litige Foncier Au Sénégal : 3498 Plaintes Reçues En 2022 Par La Dscos

«Rien qu’en 2022, la Direction de la Surveillance et du Contrôle de l’occupation du Sol (Dscos), a enregistré 3498 plaintes et ces plaintes sont d’ordre variés. Ce sont des plaintes qui nous viennent des particuliers, mais également des soit-transmis qui nous ont été transmis par les différents parquets du Sénégal, quand ils sont saisis par des particuliers». Ces chiffres ont été donnés par le patron de la Direction de la Surveillance et du Contrôle de l’occupation du Sol (Dscos), le Colonel Papa Saboury Ndiaye en marge de la rencontre de la Cndt. Le directeur de la Dscos, ajoute : «nous avons pu quand même pu solutionner, environ 1200 plaintes qui ont été soumises à notre appréciation. C’est pourquoi je réitère une fois de plus que c’est important de prendre part à cette rencontre pour échanger avec l’ensemble des acteurs sur le rôle, éminemment important que cette structure joue dans le cadre du règlement des contentieux fonciers, qui aujourd’hui constituent un problème majeur. Sur l’ensemble des problèmes qui nous sont posés, environ 90%, sont relatifs au foncier».

Médina : Une Dispute Entre Amis Vire Au Drame

S. O. Ndour a attenté à la vie de son ami d’enfance, S. Dial. Ce dernier a reçu deux coups de couteau mortels pour une banale histoire de cigarettes. Selon L’Observateur, les faits ont eu lieu dans la nuit de mercredi à jeudi lorsque les deux amis se retrouvent dans une pièce pour boire de l’alcool.

Aux environs de 03 heures du matin, relate le journal, S. Dial se lève et décide de se rendre à la boutique pour acheter des cigarettes. Son ami, ivre, s’y oppose. S. O. Ndour l’aurait sommé de rester assis et d’attendre qu’ils finissent la bouteille avant de se rendre à la boutique. S. Dial refuse.

Le ton monte. Les deux amis en viennent aux mains. S. O. Ndour s’arme d’un couteau de cuisine et plante deux coups de couteau à S. Dial, qui s’affale, baignant dans son sang.

Alertés par le voisinage, les éléments du commissariat de police du 4e arrondissement de la Médina procéderont à l’arrestation de S. O. Ndour. Ce dernier sera placé en garde à vue pour coups et blessures volontaires (Cbv). Mais, les choses se corsent pour lui à l’annonce du décès de son ami après son évacuation par les sapeurs-pompiers. Les faits de Cbv sont requalifiés en homicide.

Ruée vers l’Arabie saoudite : ce que Laye Diaw conseille à Koulibaly, Édouard Mendy et Sadio Mané

’Arabie saoudite est devenue la destination de grandes stars du football. Cristiano Ronaldo, parti l’année dernière, Karim Benzema, Ngolo Kanté, entre autres «millionnaires en short», enrôlés cette année, sont les nouveaux visages des vertes pelouses du Royaume wahhabite. Ils ont fait le grand saut contre des contrats lucratifs.

Quelques Lions champions d’Afrique sont annoncés partants pour la ruée vers l’Arabie saoudite. Les noms de Kalidou Koulibaly, pour 19 millions d’euros (12,3 milliards de francs CFA) par an, Édouard Mendy, et même Sadio Mané sont agités.

Pour Abdoulaye Diaw, les types de contrats que proposent les Saoudiens constituent un couteau à double tranchant. «Si vous êtes en fin de carrière ou proche de la retraite, il s’agit d’une bonne occasion d’assurer ses arrières financièrement. Parce que c’est beaucoup d’argent», argumente le journaliste sportif au micro de la RFM.

«En revanche, nuance Laye Diaw, si vous êtes jeune footballeur, aller jouer en Arabie saoudite s’avère un mauvais choix sportif. Pour devenir ou rester un top footballeur, briller avec sa sélection, pouvoir disputer la CAN pour ce qui concerne les Africains, il faut jouer dans des championnats compétitifs. Quelles que soient ses qualités, lorsqu’on footballeur passe trois ou quatre mois dans le championnat saoudien, il commence à perdre en compétitivité.»

Plaintes Contre L’État : Première Contre-Attaque Contre Me Juan Branco

Le ministre auprès du ministre de l’Intérieur en charge de la Sécurité de proximité et de la Protection civile, Birame Faye, a annoncé une plainte contre Me Juan Branco. D’après la RFM, qui donne l’information, il a déclaré vouloir poursuivre l’un des avocats de Ousmane Sonko pour diffamation.

La radio privée précise que la robe noire française accuse Birame Faye d’avoir recruté les nervis qui aurait tiré sur des manifestants lors des émeutes de début juinw qui ont fait seize morts selon la version officielle, vingt-trois d’après Amnesty International.

Me Branco a initié deux plaintes contre «120 suspects sénégalais» dont le Président Macky Sall. Il affirme détenir «4500 éléments de preuve».

Guinée : Fanta Sangaré, la femme «qui prie sur l’eau», arrêtée

En effet, des photos inédites agitent la toile depuis quelques jours, montrant la bonne dame sur un tapis de prière en pleine mer. 
 
Il ressort de l’information partagée par notre confrère africaguinee.com  qu’elle a été interpellée ce jeudi 22 juin 2023, par le commissariat spécial de Taouyah.
 
Mais, d’après le site d’information qui a enquêté auprès de l’unité de police qui a arrêté cette dame, cette dernière n’a pas été interpellée pour avoir prié sur les flots. «Son acte n’a rien d’une infraction. Pourquoi l’arrêter pour cela… ?», s’est exprimé l’officier de police, l’air étonné. «Elle est là certes, mais c’est pour une autre affaire. C’est une plainte portée contre elle par un citoyen…», a précisé le commissaire.
 
 Nos confrères  d’africaguinee.com ont d’ailleurs trouvé le plaignant en audition avec un autre agent. Mais lui et les agents n’ont pas dévoilé le motif de la plainte.
 
Selon le commissariat spécial de Taouyah, rien ne sera divulgué pour le moment, alors que l’audition est en cours.

Sa manif’ du 23 juin interdite : Le F24 change de stratégie

« Ce n’est pas F24, Forces vives du Sénégal, mais le mouvement des forces vives de la Nation M23 qui avait déposé une demande de manifestation pour le 23 juin. Ce que F24 a prévu le 23 juin, aucun préfet, aucun président ne peut l’interdire. Du blanc partout et par tous », a déclaré le F24 dans un communiqué. Le mouvement a fait part de sa détermination à ‘’braver’’, à sa manière, la décision préfectorale interdisant sa manifestation de ce vendredi 23 juin 2023. 
 
Cela consistera à célébrer le douzième anniversaire du 23 juin 2011 par un code vestimentaire. En effet, en lieu et place d’une manifestation en plein air, le F24 exhorte les Dakarois et les Sénégalais à s’habiller en blanc ce vendredi. « Habillons – nous tous en blanc ce vendredi pour aller à la mosquée, attachons, accrochons, agitons un morceau de tissu blanc, un ruban, une écharpe ou un mouchoir blanc partout, voiture, devanture des maisons…surtout entre 13H et 18H », invitent Mamadou Mbodj et Cie.

Présidentielle 2024 : Karim Wade a recouvré ses droits civiques et est éligible depuis 2020, selon ses avocats

The son of former Senegalese leader Abdoulaye Wade, Karim, waves while being arrested by gendarmes, on April 2013 in Dakar, hours after filing a dossier of his assets, valued at more than 1 billion dollars. The anti-corruption court had given Wade one month on March 15 to explain how he had come by assets allegedly worth over $1.4 billion (1.07 billion euros) and his legal team had filed the documents at the courthouse earlier in the day. AFP PHOTO

Alors que beaucoup de membres du PDS et de la société civile s’activent pour une révision du procès de Karim Wade afin qu’il soit éligible en 2024, une nouvelle information vient d’être sortie par ses avocats. Selon Me Demba Ciré Bathily et ses confrères, le fils de l’ancien président du Sénégal Abdoulaye Wade a recouvré ses droits civiques depuis 2020 et est éligible pour la prochaine Présidentielle. Voici l’intégralité de leur communiqué.

‘’Le Collectif des avocats de Karim Wade tient à rétablir la vérité sur la situation actuelle de celui-ci au regard de la loi électorale. Certaines déclarations publiques laissent entendre que Karim Wade ne pourrait être éligible sans une modification du code électoral. Ces déclarations sont gravement erronées.

Karim Wade n’a pas été privé de ses droits civils et politiques par l’arrêt de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) du 23 mars 2015 qui l’a condamné en violation des principes fondamentaux du droit pénal comme l’ont constaté de très nombreuses décisions de justice internationale notamment celles du Comité des Droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

Si l’article L.29 du code électoral prévoit une privation automatique et administrative d’inscription sur les listes électorales des personnes frappées de certaines condamnations, l’article L.30 limite cette interdiction à une durée de cinq (5) ans.

Ainsi, depuis le 21 août 2020, Karim Wade est électeur et éligible en vertu de la loi électorale sénégalaise.

Karim Wade a été victime de graves et récurrentes violations de ses droits fondamentaux c’est pourquoi le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a jugé que l’arrêt de la CREI violait le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et a demandé à l’État du Sénégal de faire réexaminer la déclaration de culpabilité et la condamnation de Karim Wade par une juridiction supérieure.

Depuis sa condamnation, Karim Wade n’a cessé de réclamer la révision de son procès.

Le Collectif des avocats de Karim Wade se réjouit que le Dialogue national initié par le président de la République et regroupant la société civile, les partis politiques de la majorité et de l’opposition ait unanimement acté la révision du procès de Karim Wade.’’

Décharge de Mbeubeuss : 75 tonnes de produits prohibés détruits

Les agents du service national de l’hygiène ont collecté durant des activités de contrôle et de suivi beaucoup de produits prohibés ou inappropriés à la consommation. Ils ont été récupérés dans les boutiques et les grands lieux de commerce.  Ces produits ont été ce matin détruits, devant les autorités. En effet, selon  le lieutenant Amar Seck, commandant de la brigade régionale du service de l’hygiène de Dakar, la décharge de Mbeubeuss est le site autorisé actuellement par l’Etat du Sénégal pour détruire ces produits.  « On ne peut pas prendre des produits prohibés et les laisser à la portée de la population. Et ça risque d’entraîner des maladies. C’est pourquoi, nous sommes venus à Mbeubeuss pour faire la destruction » dit-il.
 
Par rapport à la quantité, le lieutenant parle de 75 tonnes de produits détruits. Il reste un stock  à la sous-Brigade de Mbao d’environ 25 tonnes qui ne sont pas encore détruites. Il s’agit  de produits divers composés de denrées alimentaires qui ont été saisis par le service de l’hygiène de Dakar. « Nous appelons les populations à changer de comportement. Mais aussi les commerçants doivent avoir l’honnêteté de ne pas vendre à la population des produits altérés ou périmés » invite-t-il.  Dans le même sillage, il invite dans le cadre général, la population à faire attention. « Il faut vérifier les produits qu’on achète. Nous mangeons mal parce que nous achetons des produits prohibés. Il faut qu’on fasse tout pour vérifier ce qu’on achète sinon nous risquons de mettre en danger la population ».
 
S’agissant de la sécurité et du rôle de l’Etat de veiller à la distribution de produits sains,  il affirme : « Nous allons renforcer la vigilance pour accélérer davantage les contrôles et augmenter le nombre de descentes. Actuellement, surtout avec l’approche de la Tabaski, il faut que les gens fassent très attention. Il y a beaucoup de produits périmés qui sont gardés par certains commerçants qui cherchent la moindre occasion pour les déverser dans les marchés ». Il promet par la même occasion de tout faire  pour traquer ces commerçants et mettre leurs produits hors des circuits de commercialisation. «  Nous avons des sous-commissions qui sont dotées de moyens pour faire ce travail. Cette année, nous avons eu une augmentation des effectifs sur le recrutement et ce renforcement de notre effectif nous permet de mener à bien notre mission » rassure le lieutenant Seck.
 
Abdou Dieng, le délégué national chargé de la coordination des infrastructures de gestion des déchets au niveau de la Sonaged, explique, sur un autre registre, que le site de décharge reçoit chaque jour 500 rotations de camions en moyenne 3700 tonnes par jour. L’entité appuie aussi le service d’hygiène pour la destruction des produits prohibés. La Sonaged fait aussi des visites à domicile pour éduquer et sensibiliser les populations sur la gestion des déchets. Et une fois que ces produits périmés sont détruits on procède à des opérations d’enfouissement.

Les prédictions de la CAP faussées, la Cour suprême maintient WALFTV dans le noir

L’étroitesse des locaux de la Cour suprême a été formulée comme doléance par les magistrats
La décision est tombée. Sa justification peut être risible mais a le malheur de primer. En effet, en dépit de la plaidoirie lumineuse de l’avocat du groupe Wal Fadjri, du réquisitoire énigmatique du Parquet général, la Cour suprême a indiqué qu’il fallait maintenir le statu quo. Autrement, elle a rejeté la requête déposée par le groupe Wal Fadjri demandant la suspension de l’exécution de la décision du ministère de la Communication, des Télécommunications et l’Économie numérique. La Cour suprême, qui n’a pas tenu compte du caractère urgent du recours déposé par ledit Groupe de presse, a bizarrement estimé notamment que la durée de la sanction était presque arrivée à terme. Ainsi, la décision arbitraire de couper le signal de WalfTV ayant été prise le 1er juin, il ne reste plus que huit jours à tenir. C’est ce que semble dire la haute juridiction qui avait pourtant la latitude de fixer l’audience en début de cette semaine comme le suggère une requête aux fins de suspension en référé. Pourtant, les huit jours que la juridiction semble négliger auraient permis au Groupe de presse du Front de terre de tenir les Sénégalais informés de l’actualité brûlante du pays, en plus de faire des rentrées d’argent. D’autant que cette période coïncide avec les préparatifs de la fête de Tabaski qui incitent les annonceurs à se manifester. Mais tout cela n’a semble-t-il pas importuné le juge. La Cour ne s’est pas non plus attardée sur la notification de la décision du ministre Moussa Bocar THIAM, parvenue aux responsables du Groupe Wal Fadjri huit jours après la suspension du signal de WalfTV. Tout comme elle n’a pas expliquée le droit sur lequel Moussa Bocar THIAM se serait appuyé pour prendre une telle mesure qui dépasse largement ses prérogatives.
 
C’est maintenant vers la Coordination des Associations de Presse (CAP) que les regards se tournent. Elle qui avait annoncé, mardi dernier, que le signal de WalfTv était en voie de rétablissement, doit maintenant des explications et plus pertinentes. D’autant  qu’elle a déclaré que c’est sur « ce rétablissement en bonne voie » et sur le placement sous contrôle judiciaire de Pape NDIAYE et de Serigne Saliou GUEYE qu’elle s’est fondée pour annuler le plan d’action qu’elle avait annoncé en grande pompe. Entre admettre avoir été flouée par le ministre de la Justice qu’elle a remercié en avance et reconnaitre qu’elle a manqué d’ambition, de courage et de dynamisme, la CAP est plus qu’interpellée.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention