Selon les infos de L’OBS, tout est parti d’une bagarre qui a mis aux prises des membres d’une même famille, les Ndir, au quartier Sam de Guédiawaye.Les hostilités ont démarré le 10 décembre dernier dans l’enceinte de la maison familiale. Ayant hérité cette maison de leur grand-mère décédée, A. N., M. F. N. et leur jeune frère en proie à des problèmes psychiques, y vivent en chiens de faïence.
Marié à B. N. avec qui il a une fille, A. qui exerce le métier de menuisier métallique, est souvent en bisbilles avec sa sœur au tempérament belliqueux.
La femme célibataire ne manque pas non plus de passer ses nerfs sur l’épouse de son frère. Ce fut le cas ce mardi 10 décembre.
Pour une question de ménage, les deux femmes échangent propos aigres-doux et insanités. Les échanges virent vite au corps à corps et les deux femmes se livrent à un véritable pugilat.
A. N. qui n’était pas encore parti au boulot, intervient vite pour séparer son épouse et sa sœur, mais se fait violemment rejeter par cette dernière qui l’humilie en l’insultant.
Ce que le père de famille n’a pas supporté, s’en prenant à son tour à sa sœur qu’il corrige devant sa fille, B. G., qui s’était mêlée à la bagarre.
K., fille du couple N., entre également dans la danse et s’attaque à sa cousine. La bagarre devient générale et les coups de poings et de pieds s’accompagnent de jets de pierres et d’autres projectiles.
Dans cette cacophonie, M. F N. jette à la figure de sa belle-sœur, B. N., qu’elle devrait apprendre à mieux veiller sur son époux.
Profitant du méli-mélo ambiant, elle accuse son frère, A. N., d’être le père de sa fille, B. G., âgée aujourd’hui de 22 ans.
Ces mots résonnent comme un coup de fusil aux oreilles des membres de la famille et des voisins venus séparer les belligérantes.
Finalement, les deux femmes au foyer se dirigent chacune au centre de santé où les blouses blanches leur prodiguent des soins avant de leur délivrer à chacune, un certificat médical attestant pour chacune d’une Itt de 7 jours.
M. F N. a été la première à se présenter au commissariat de police de Guédiawaye où elle dépose une plainte contre son frère, A N., son épouse et leur fille, Khoudia, pour coups et blessures volontaires.
Convoqués tous les trois, B. N. se présente également au commissariat, munie d’une plainte pour les mêmes motifs contre la sœur de son mari.
Tour le monde déféré au parquet sauf…Au cours de son audition en présence de sa fille, M. F. N. réitère ses accusations lancées au cours de la bagarre contre son frère de sang.
La plaignante jure que ce dernier la violait depuis sa petite enfance et est bien le père de sa jeune fille de 22 ans, à l’allure déséquilibrée.
Au terme de leur garde-à-vue, tout ce beau monde, à l’exception de B. G., a été déféré jeudi dernier, pour Cbv réciproques, au parquet du tribunal de Pikine-Guédiawaye, où ils devront s’expliquer devant le juge.
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