Adja Ndiaye, la “camérawoman” de Dakaractu battue et violentée par des éléments de la police, est très mal en point.
Selon Les Échos qui vend la mèche dans sa parution de mercredi, son état de santé s’est détérioré.
Admise dans une clinique de la place, elle est sujette à des vomissements à son réveil.
D’ailleurs, la presse proteste cet après-midi devant les locaux du ministère de l’Intérieur.
Mieux, une lettre de dénonciation sera remise au ministre Aly Ngouille Ndiaye.