La nomination de l’ancien argentier de l’État au prestigieux ministère des Affaires étrangères, loin d’être une promotion, est plutôt le signe annonciateur d’une disgrâce en bonne et due forme pour Amadou Bâ présenté, à tort ou à raison, comme un présidentiable.
C’est la conviction du quotidien L’Observateur qui prédit même “une chasse aux sorcières” aux Impôts et Domaines, au Trésor, aux Douanes… pour démanteler son “puissant réseau” dans l’administration. Autrement dit, les régies financières seront chamboulées sous peu.