Astou Sokhna avait perdu, en mars 2009, sa fille née prématurément

Rebondissement dans l’affaire Astou Sokhna, la femme enceinte qui a perdu la vie dans des circonstances douloureuse à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga. ‘’Libération’’ dans sa parution de ce mardi, informe que la police a démarré l’enquête.

Et le mari de la victime, Modou Mboup, a été longuement interrogé au commissariat central de Louga après avoir déposé une plainte pour négligence et non-assistance à personne en danger. Face aux enquêteurs, indique le journal, il a enfoncé le personnel de garde et fait d’horribles révélations.

«Alors que mon épouse était sur le point de mourir et criait dans tous les sens parce qu’elle étouffait, personne ne semblait, à part moi et sa maman, ébranlé. Au contraire, on nous parlait mal et on lui parlait mal comme si elle dérangeait», a-t-il dit aux policiers.

Nos confrères rappellent qu’en mars 2009, Astou Sokhna avait perdu, toujours à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, sa fille née prématurément.

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