Attention, les produits périmés inondent le pays

Des boutiques et magasins qui vendent  des produits dont la date de péremption est dépassée ou dont l’emballage est endommagé (donc invendables dans les grandes surfaces habituelles) sont légion au Sénégal. Les prix y sont avantageux. Cette pratique que l’on peut qualifier de crime alimentaire vise à réduire les déchets alimentaire, qui avoisinent à l’étranger des million de tonnes de nourriture qui doivent être jetée chaque année, soit  En France pour lutter contre ce fait, les députés ont  adopté en 2015 une série de mesures — dont notamment l’interdiction des grandes et moyennes surfaces de plus de 400 m² de jeter de la nourriture invendue encore consommable.

Après la DLUO (date limite d’utilisation optimale) inscrite — indication concernant les produits à garder au sec comme les pâtes, le riz, les biscuits… mais aussi les conserves ou encore les surgelés, l’Afrique  devient le dépotoir. Le Sénégal en tient une place.  La DLC (date limite de consommation) que portent les produits frais, aussi  critique qu’elle est au-delà, leur consommation présente des risques. Les éléments du service d’hygiène  vont peut être faire le nécessaire. Mais en attendant retenons que Le Sénégal est en effet devenu un dépotoir de produits périmés.

IL suffit de se référer aux dates de péremptions de certains produits qui sont vendus dans  les magasins et boutiques pour s’en rendre compte.  Avant les dates étaient changées. Mais avec le rush de produits alimentaires, beaucoup dont les dates de péremption sont dépassées sont laissés comme tels et proposés à la vente. En ce moment de Ramadan  qui est un mois de grande consommation de produits, les consommateurs sont avertis.

 

 

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