Cheikh Amar avait vu son nom cité dans un dossier annoncé de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) concernant une affaire de rétro-commission.
Afin d’être édifié sur son implication ou non dans ladite affaire, le milliardaire avait saisi le Parquet général de la Crei d’une correspondance.
En réponse, le Parquet général a fait savoir au Pdg d’Amar Holding que «les procédures en instance à la Crei sont en phase de clôture et ne le concerne ni directement ni indirectement».