Le maître des poursuites a déclaré avoir ordonné l’ouverture d’une enquête par la Division des Investigations Criminelles afin de faire la lumière sur les conditions de la mort de Mancabou.
Revenant sur l’incident ayant conduit François Mancabou à l’hôpital, Hamady Diouf a fait savoir que “François Mancabou cognait violemment le mur de sa cellule pour des raisons inconnues”. C’est pour cela d’ailleurs qu’il n’a jamais été placé sous mandat de dépôt comme ses co-inculpés. Pour étayer ses dires, le procureur a révélé que les agents en charge de l’enquête “disposent d’une vidéo de 13 minutes qui sera versée dans le dossier”.
Autre révélation, Hamady Diouf informé qu’au moment de son arrestation, François Mancabou détenait une arme à feu de type Walter calibre 22. Arme détenue illégalement, selon lui, l’autorisation ayant expiré depuis 15 ans. La police a également saisi sur lui neuf munitions.. En outre, toujours selon le procureur, François Mancabou, avait au sein de “la force spéciale”, le rôle de “développer des stratégies d’attaque et de harcèlement contre les forces de défense et de sécurité”.
Pour rappel, François Mancabou a été interpellé et inculpé avec 10 autres personnes pour les faits suivants :”Complot contre l’autorité de l’État, ‘actes de nature à occasionner des troubles publics grave et à compromettre la sécurité publique, association de malfaiteurs, destruction de biens appartenant à l’Etat ou intéressant la chose publique, détention et transport de produits et substance incendiaire, détention d’armes en rapport avec une entreprise terroriste, financement du terrorisme et complicité”.
Le procureur de la République, Hamady Diouf a fait face à la presse ce jeudi 14 juillet pour lever un coin du voile concernant le décès de François Mancabou. Le maître des poursuites a déclaré avoir ordonné l’ouverture d’une enquête par la Division des Investigations Criminelles afin de faire la lumière sur les conditions de la mort de Mancabou.
Revenant sur l’incident ayant conduit François Mancabou à l’hôpital, Hamady Diouf a fait savoir que “François Mancabou cognait violemment le mur de sa cellule pour des raisons inconnues”. C’est pour cela d’ailleurs qu’il n’a jamais été placé sous mandat de dépôt comme ses co-inculpés. Pour étayer ses dires, le procureur a révélé que les agents en charge de l’enquête “disposent d’une vidéo de 13 minutes qui sera versée dans le dossier”.
Autre révélation, Hamady Diouf informé qu’au moment de son arrestation, François Mancabou détenait une arme à feu de type Walter calibre 22. Arme détenue illégalement, selon lui, l’autorisation ayant expiré depuis 15 ans. La police a également saisi sur lui neuf munitions.. En outre, toujours selon le procureur, François Mancabou, avait au sein de “la force spéciale”, le rôle de “développer des stratégies d’attaque et de harcèlement contre les forces de défense et de sécurité”.
Pour rappel, François Mancabou a été interpellé et inculpé avec 10 autres personnes pour les faits suivants :”Complot contre l’autorité de l’État, ‘actes de nature à occasionner des troubles publics grave et à compromettre la sécurité publique, association de malfaiteurs, destruction de biens appartenant à l’Etat ou intéressant la chose publique, détention et transport de produits et substance incendiaire, détention d’armes en rapport avec une entreprise terroriste, financement du terrorisme et complicité”.
Mancabou a finalement perdu la vie entre le mercredi 13 et le jeudi 14 juillet à l’hôpital Principal de Dakar après plusieurs jours de coma. Le procureur a ordonné une autopsie afin de déterminer les causes exactes de sa mort.