Au Sénégal, avec l’accès difficile aux soins, surtout pour les populations défavorisées, certains médicaments ont vu leurs prix passer du double au triple.
A cause d’une querelle qui remonte en 2011, entre la Douane et la Direction de la pharmacie et du médicament (DPM), sur la déclassification de certains médicaments en compléments alimentaires comme le CAC 1000, Dynamogène, Juvamine, entre autres.
Ce qui induit concomitamment le paiement de la TVA par les grossistes en lieu et place d’une taxe.