25 écoles élémentaires et 31 écoles coraniques de Diass bénéficient d’un important lot de fournitures scolaires ainsi que du matériel médical à ses six postes de santé, de la part du directeur général du Conseil sénégalais des chargeurs (Cosec), Mamadou Ndione.
D’une manière générale, «nous avons distribué 12.000 stylos et 12.000 cahiers aux écoles primaires et arabes de la commune de Diass», a détaillé M. Ndione lors de la cérémonie. Il éclaircit que «le matériel médical est composé de fauteuils, de lits, d’armoires, parmi d’autres éléments nécessaires à la prise en charge sanitaire des malades. Il y a aussi des médicaments et d’autres produits pharmaceutiques».
Selon ce dernier, «ces actions entrent dans le cadre de la politique définie par le chef de l’État, Macky Sall, qui a inscrit le Sénégal dans une dynamique d’émergence». «Il faut des actions combinées et synchronisées des fils et autres forces vives de la localité pour l’émergence de Diass», estime-t-il.
Le Dg du Cosec, également responsable de l’Apr (parti au pouvoir) a fait savoir que «la santé, tout comme l’éducation, sont des domaines prioritaires pour le président de la République». «L’éducation et la santé sont des piliers de l’axe 2 du Plan Sénégal émergent (Pse) qui met en exergue le capital humain», parce que, comme disait un ancien ministre français et éminent économiste, «il n’est de richesse que d’homme», a-t-il réaffirmé. D’après le Dg du Cosec, c’est en intervenant sur le facteur humain qu’on renforce et pérennise l’émergence d’un pays.
Pour M. Ndione, «la santé étant une compétence décentralisée, au même titre que l’éducation, les communes doivent, sur la base de leurs moyens, renforcer ces secteurs prioritaires qui font partie des compétences transférées aux collectivités territoriales». «Ces domaines ont besoin d’être accompagnés, parce qu’aucun pays au monde ne peut garantir la quasi-totalité des investissements ou toutes les actions nécessaires allant dans ce cadre», a-t-il précisé. «Après les infrastructures, le chef de l’État a classé le capital humain comme deuxième axe prioritaire du Pse» a-t-il rappelé.
Pour terminer, le Dg du Cosec a fait savoir qu’ils interviennent dans le social depuis 13 ans, en conformité avec la vision du président de la République qui, selon lui, «a beaucoup fait en matière d’éducation et de santé, parce que convaincu que le Pse doit être porté par des jeunes bien instruits, bien formés, mais aussi des populations en bonne santé».