Emeutes de mars dernier : le Sénégal enquête sur les “soutiens étrangers”

DAKAR, SENEGAL - MARCH 08: Supporters of President of the political party PASTEF-Les Patriotes "Patriots of Senegal for Ethics, Work and Fraternity, Ousmane Sonko block the road following his release under judicial supervision pending his trial after his arrest sparked deadly protests in Dakar, Senegal on March 08, 2021. Supporters marched towards the court building in the Senegalese capital. Cherkaoui Sylvain / Anadolu Agency (Photo by Cherkaoui Sylvain / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP)

L’Etat du Sénégal ne compte pas lâcher l’affaire opposant le leader de Pastef à Adji Sarr. La preuve,  des notes techniques de la Délégation générale au renseignement nationale (Dgrn) transmises à la présidence de la République affirment que «les manifestations qui ont suivi l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko en mars ont été largement amplifiées par une armada de 9 000 comptes Twitter probablement coordonnés».

Ces milliers de comptes Twitter, ajoute le journal, ont accompagné et, parfois, précédé la mobilisation des manifestants sous le hashtag #FreeSenegal.

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