Décidément, Diourbel regorge de bonnes graines qui se dévoilent au fil du temps. Lat Ndiendé Fall fait partie de ce lot de valeurs sûres qui font la fierté du Baol. C’est après sa retraite, en qualité d’ouvrier frigorifique à l’usine de la Sonacos Sa de Diourbel, que ce fils du terroir s’est dévoilé pour faire valoir ses talents cachés d’artiste peintre qu’il avait conservés, jalousement, par devers lui, durant ses 33 ans de service.
Lat Ndiendé Fall, ouvrier frigorifique en retraite et libre, aujourd’hui, des services de l’usine de la Sonacos sa de Diourbel où il travaillait, a trouvé le moment bon pour dévoiler ses talents d’artiste peintre aux Diourbellois, à travers ses tableaux «sous verre» dont leur diversité, au point de vue thèmes, donnent l’embarras d’interprétations et de choix aux nombreux férus de peinture qui viennent visiter ses œuvres exposées à l’occasion du festival organisé à Diourbel, en honneur aux enfants pour le nouvel an.
Dès le bas âge, a-t-il confié, il a commencé à peindre et à s’intéresser à cet art qu’il prenait au début comme un jeu. Il lui consacrait ses heures perdues jusqu’au jour où il a vraiment pris goût et a eu conscience que la peinture était autre chose qu’un jeu pour lui et qu’il possédait ce don sans s’en rendre compte.
L’environnement et la nature constituent ses principales sources d’inspiration, a-t-il dévoilé, humblement. Il a bien précisé que, malgré son goût prononcé de la peinture, il ne pouvait pas peindre et faire en même temps son job à l’usine. Donc, a-t-il dit, il lui fallait beaucoup de temps pour mieux se consacrer à l’œuvre. La peinture, considère-t-il, est une âme jalouse à qui on doit consacrer le temps nécessaire et qu’on doit traiter avec amour et délicatesse.
Son exposition qui porte sur la peinture «sous verre», il déclare ne l’a vue et apprise nulle part et n’a côtoyé aucun artiste ; et que cette passion pour l’art lui est venue naturellement.
Il rappelle que la peinture «sous verre» avait bien fait son époque et avait marqué des générations et des générations. Ce qui faisait le bonheur de nos mamans qui l’utilisaient pour les décorations d’intérieur.
Par ailleurs, l’artiste peintre Lat Ndiendé Fall, satisfait aujourd’hui de pouvoir exercer tranquillement et pleinement sa passion, se réjouit aussi de pouvoir vivre de son art qui lui permet, tant soit peu, de joindre les deux bouts.
L’environnement et la nature constituent ses principales sources d’inspiration, a-t-il dévoilé, humblement. Il a bien précisé que, malgré son goût prononcé de la peinture, il ne pouvait pas peindre et faire en même temps son job à l’usine. Donc, a-t-il dit, il lui fallait beaucoup de temps pour mieux se consacrer à l’œuvre. La peinture, considère-t-il, est une âme jalouse à qui on doit consacrer le temps nécessaire et qu’on doit traiter avec amour et délicatesse.
Son exposition qui porte sur la peinture «sous verre», il déclare ne l’a vue et apprise nulle part et n’a côtoyé aucun artiste ; et que cette passion pour l’art lui est venue naturellement.
Il rappelle que la peinture «sous verre» avait bien fait son époque et avait marqué des générations et des générations. Ce qui faisait le bonheur de nos mamans qui l’utilisaient pour les décorations d’intérieur.
Par ailleurs, l’artiste peintre Lat Ndiendé Fall, satisfait aujourd’hui de pouvoir exercer tranquillement et pleinement sa passion, se réjouit aussi de pouvoir vivre de son art qui lui permet, tant soit peu, de joindre les deux bouts.
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