Le Ngalakh un facteur de rapprochement

Le “ngalakh’, un plat à base de mil, de pâte d’arachide et de pain de singe préparé le vendredi saint, à l’occasion de la fin du Carême, est un facteur de rapprochement des communautés islamo-chrétiennes, a soutenu Igor Clévis, un Gabonais naturalisé Sénégalais. Il est distribué par les familles chrétiennes à leurs voisins musulmans. Ce plat symbolise une tradition de partage propre aux Sénégalais. «Vivant au Sénégal depuis plus de 15 ans, marié à une Sé- négalaise et père de 3 enfants, je trouve particulièrement ces habitudes culturelles très positives, charmantes, et j’estime que c’est un modèle à répliquer ailleurs», a dit Clévis, dans un entretien accordé à l’Aps. En offrant le ngalakh, estime Igor Clévis, graphiste de métier, «on arrive à faire plaisir aux voisins, aux amis et c’est une très bonne chose qui, même si elle ne relève pas de la Bible, pourrait être intégrée dans d’autres pays».

3 Commentaires

  1. You can certainly see your enthusiasm within the work you write. The world hopes for more passionate writers like you who aren’t afraid to mention how they believe. At all times follow your heart.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here