Sur la mise en œuvre de la convention de l’Union africaine de prévention et de lutte contre la corruption, Birahim Seck et ses camarades ont exhorté une demande au Chef de l’Etat d’éviter « toute utilisation des prérogatives du Président de la République ou de l’Assemblée nationale dans le sens de soustraire des personnes de leur obligation de reddition de comptes avec la question agitée de l’adoption d’une loi d’amnistie ».