Lutte : les vérités du président du CNG aux promoteurs et aux lutteurs

Au terme des concertations sur l’organisation des face-à-face d’avant combat, la semaine dernière, Bira Sène a invité les principaux acteurs de l’arène au respect du cahier des charges de l’instance de gestion de la discipline. Voici sa déclaration reprise par Les Échos.

«Il faut respecter l’avenant signé auprès du CNG. Les textes du CNG sont clairs. Ils disent que les face-à-face doivent démarrer à 18 heures, mais ce que l’on constate, c’est qu’ils démarrent à 22 heures pour finir au-delà de 1 heure du matin.

«C’est vous les promoteurs qui signez avec les télévisions pour la diffusion des face-à-face. Donc, il faut que vous veilliez à ce que l’heure fixée pour le début des face-à-face soit respectée. Les promoteurs ne sont pas souvent en retard, les lutteurs si.

«Lors d’un face-à-face à Sorano, j’ai pu constater par moi-même ls désagréments dus aux retards. Les lutteurs sont arrivés à minuit et ce n’est pas normal. Nous n’avons pas interdit les face-à-face sans raison. Mais nous l’avons fait pour que les acteurs reprennent conscience des problèmes de la lutte. 

 
«Nous allons permettre à nouveau l’organisation des face-à-face, ais à condition qu’il n’y ait pas d’accompagnants. Seuls les lutteurs, leurs managers et peut-être leurs entraîneurs seront concernés. Nous sommes un démembrement du ministère (des Sports). Le pays est organisé donc nous ne pouvons pas faire exception. C’est à nous de faire des efforts.» 

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here