Migraine chronique : 6 solutions naturelles pour soulager la douleur !

Les migraines, lorsqu’elles sont récurrentes, peuvent rapidement devenir insupportables. S’il est possible de prendre un médicament type antalgique pour s’en débarrasser, il est important de savoir qu’il existe également des traitements non médicamenteux pour lutter contre ces douleurs. Il est par exemple possible de :

  • Poser une poche de glace sur le front. Au niveau vasculaire, cela permet de pousser les vaisseaux sanguins à se resserrer pour réduire le flux sanguin et la sensation de douleur. Le froid permet également de ralentir l’activité du système endocrinien et faire baisser la consommation d’oxygène des tissus environnants. Au niveau neurologique, le froid a un effet analgésique ;
  • S’hydrater : la déshydratation est l’un des facteurs courants des migraines. Il est important de boire au moins 1,5 L d’eau par jour ;
  • Tester la réflexologie plantaire. L’objectif est de rééquilibrer le corps et d’atténuer les tensions et les blocages ;
  • Faire du sport : selon une étude, l’activité physique permet de réduire la fréquence, l’intensité et la durée des migraines ;
  • Se détendre en évitant les écrans, le bruit et la lumière trop forte ;
  • Utiliser des huiles essentielles comme la menthe poivrée, la lavande ou la camomille.

Par quoi sont déclenchées les migraines ?

« Une personne est dite migraineuse si elle a eu au moins cinq crises et au cours de chaque crise, avoir présenté au moins deux de ces symptômes : douleur localisée d’un côté de la tête, douleur lancinante ou pulsatile (battante), douleur modérée ou sévère ou une douleur exagérée par l’effort ou par les activités habituelles. Et au moins un des symptômes suivants : nausées ou des vomissements ou intolérance à la lumière (photophobie) ou au bruit (phonophobie) » expliquent les experts de l’Institut Pasteur de Lille. Ces maux de tête sont souvent déclenchés par le stress ou la fatigue. « La migraine est due à une excitabilité neuronale anormale, comme c’est le cas pour l’épilepsie ou certains troubles du mouvement (dyskinésies paroxystiques) » indique l’INSERM.

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