En partenariat avec l’Ong Crs (Catholic relief service), les Offices départementaux pour l’emploi des jeunes des régions de Fatick et de Diourbel (Odej) ont procédé ce mercredi, au conseil départemental de Diourbel, au lancement de son projet «Tekkil», en présence de l’autorité administrative, des élus locaux et des partenaires sociaux et économiques. Ce projet a pour objectif de promouvoir les possibilités locales d’emploi de qualité pour les jeunes.
Pour Ousseynou Diop, chef de projet des offices départementaux pour l’emploi des jeunes des régions de Diourbel et de Fatick, le projet «Tekkil» vient pour renforcer les projets mis en place au niveau de ces départements et de faire la promotion de l’emploi durable au niveau local pour permettre à ces jeunes, surtout au niveau dans l’entreprenariat et l’auto emploi, de pouvoir au moins se former et se voir accompagner vers leur ibszrti dans le secteur privé aux créneaux porteurs de par l’inclusion financière. Ces secteurs sont l’agriculture, l’élevage, l’artisanat à Diourbel, la transformation, les services, et de l’autre côté de Fatick, la pêche et le tourisme.
Par ailleurs, ils souhaitent travailler à l’échelle de chaque département avec ces secteurs, pour accompagner les jeunes, en leur faisant comprendre que le marché est là, la demande est effective, et il faut bien connaître le milieu pour s’adapter à la demande. Pour cela, il faut se former, mettre en place un projet et se faire accompagner dans la quête de financement afin de pouvoir dérouler son activité.
Il est bien vrai qu’il faut de l’argent pour asseoir un projet, a affirmé Ousseynou Diop, le chef de projet, mais il faudrait, selon lui, au préalable des compétences et des apprentissages. C’est pour quoi, a-t-il rassuré, qu’ils travaillent sur le financement et l’accompagnement et qu’il existe des dispositifs pour les accompagner soit au niveau de l’État ou au niveau des structures financières.
Pour Ousseynou Diop, chef de projet des offices départementaux pour l’emploi des jeunes des régions de Diourbel et de Fatick, le projet «Tekkil» vient pour renforcer les projets mis en place au niveau de ces départements et de faire la promotion de l’emploi durable au niveau local pour permettre à ces jeunes, surtout au niveau dans l’entreprenariat et l’auto emploi, de pouvoir au moins se former et se voir accompagner vers leur ibszrti dans le secteur privé aux créneaux porteurs de par l’inclusion financière. Ces secteurs sont l’agriculture, l’élevage, l’artisanat à Diourbel, la transformation, les services, et de l’autre côté de Fatick, la pêche et le tourisme.
Par ailleurs, ils souhaitent travailler à l’échelle de chaque département avec ces secteurs, pour accompagner les jeunes, en leur faisant comprendre que le marché est là, la demande est effective, et il faut bien connaître le milieu pour s’adapter à la demande. Pour cela, il faut se former, mettre en place un projet et se faire accompagner dans la quête de financement afin de pouvoir dérouler son activité.
Il est bien vrai qu’il faut de l’argent pour asseoir un projet, a affirmé Ousseynou Diop, le chef de projet, mais il faudrait, selon lui, au préalable des compétences et des apprentissages. C’est pour quoi, a-t-il rassuré, qu’ils travaillent sur le financement et l’accompagnement et qu’il existe des dispositifs pour les accompagner soit au niveau de l’État ou au niveau des structures financières.
Au niveau du projet «Tekkil», a-t-il signalé, avec l’Ong Crs, ils vont accompagner les jeunes dans l’inclusion financière pour leur dire «Tekkil» comme le mot l’indique.
Il faut nécessairement que les jeunes apposent aussi leurs mains pour aller ensemble droit au but, a-t-il soutenu. Pour atteindre l’objectif, a confié le chef de l’Odej, la sensibilisation est plus que nécessaire. Et c’est dans ce sens qu’ils vont sillonner l’ensemble des départements concernés pour sensibiliser les jeunes sur l’importance du projet.
L’idée, pour lui, c’est de communiquer, informer d’abord les autorités, l’ensemble des services techniques dont les compétences sont liées à la structure, les jeunes, les conseils départementaux de la jeunesse et l’ensemble des responsables des conseils communaux pour leur montrer l’initiative qui compte les accompagner dans leurs projets respectifs.
Quant aux jeunes candidats à l’émigration clandestine qui risquent sans cesse leur vie, il leur dit que, généralement, voyager, aller à l’aventure, les gens le font, mais il est beaucoup plus intéressant aujourd’hui, pour les jeunes, par les temps qui courent, de rester dans nos territoires, de fouiller les énormes possibilités dont ils disposent et accepter de se former à travers les structures de formation existantes pour créer leurs projets et espérer en vivre décemment sans risque de se faire tuer bêtement et sans raison sur les chemins tortueux de la migration clandestine.
L’idée, pour lui, c’est de communiquer, informer d’abord les autorités, l’ensemble des services techniques dont les compétences sont liées à la structure, les jeunes, les conseils départementaux de la jeunesse et l’ensemble des responsables des conseils communaux pour leur montrer l’initiative qui compte les accompagner dans leurs projets respectifs.
Quant aux jeunes candidats à l’émigration clandestine qui risquent sans cesse leur vie, il leur dit que, généralement, voyager, aller à l’aventure, les gens le font, mais il est beaucoup plus intéressant aujourd’hui, pour les jeunes, par les temps qui courent, de rester dans nos territoires, de fouiller les énormes possibilités dont ils disposent et accepter de se former à travers les structures de formation existantes pour créer leurs projets et espérer en vivre décemment sans risque de se faire tuer bêtement et sans raison sur les chemins tortueux de la migration clandestine.