Les victimes du Propecia, un médicament anti-calvitie récemment pointé du doigt pour ses possibles effets secondaires, envisagent de se mobiliser sur le terrain judiciaire.
Le laboratoire Merck est de nouveau dans la tourmente. En plein scandale Levothryrox, un autre médicament, le Propecia, du même fabricant allemand, est sur la sellette. Ce traitement anti-calvitie à base de finastéride, est soupçonné d’augmenter le risque de dépression et d’idées suicidaires. Alors que la polémique commence à monter, une association de victimes du médicaments envisage une action judiciaire, selon les informations du Parisien.
Charles Joseph Oudin, avocat d’Aide aux victimes du finastéride, première association française de victimes du Propecia, justifie cette possible mobilisation sur le terrain judiciaire : “Nous regroupons une dizaines d’hommes et de familles. Certains souffrent d‘impuissance sexuelleirréversible, d’autres ont fait des tentatives de suicide, explique l’avocat au Parisien. On veut aussi que des expertises soient lancées pour établir le lien de causalité entre le Propecia et ces effets secondaires”.
Le finastéride 1 mg (Propecia et génériques) est indiqué dans le traitement de la calvitie chez l’homme. Quand il est dosé à 5 mg (Chibro-Proscar et génériques), il est prescrit dans le traitement et le contrôle de l’hypertrophie bénigne de la prostate.
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