LETTRE AU PRESIDENT, CHEF D’ETAT DU SENEGAL, SON EXCELLENCE, MACKY SALL ET AUX SENEGALAIS DE L’INTERIEUR ET DE LA DIASPORA.
POUR UNE AUBE NOUVELLE. SALUT ! MONSIEUR MACKY SALL, CHER MUSULMAN, PRESIDENT, AFRICAIN DU SENEGAL.
Sans avoir l’heureuse occasion de vous connaître ou de vous rencontrer, du moins jusqu’aujourd’hui, je me plais, avant tout d’abord et selon le bel usage consacré dans toutes les cultures des communautés humaines, par lequel commence l’éducation de tout être humain, à vous saluer, avec une profonde déférence et une considération toute particulière. Je le fais d’autant plus volontiers que, je suis convaincu, le respect dû au Président d’un pays, en tant que personne morale investie par ALLAH SWT, donc qui se manifeste à travers le traitement que l’obligation citoyenne m’impose de vous réserver à votre statut de Président de la République du Sénégal, une Autorité légitime. Pour moi il n’est nécessaire, parce que vous êtes Président, Macky Sall que je vous salue, mais il est pour moi nécessaire que je vous considère parce que vous êtes le Président d’un pays riverain, cher aux mauritaniens (nes), doublé que vous êtes un humain que j’estime, que j’aime et que je dois saluer. C’est donc une triple raison qui me conduit à cette démarche : pour moi, j’ai une estime personnelle, un grand respect et ensuite une admiration toute particulière pour les réalisations que vous avez accomplies non seulement pour le Sénégal, les Sénégalais(ses) toutes composantes socioculturelles et socioreligieuses confondues mais aussi pour l’Afrique durant votre magistrature à la tête du Sénégal et pendant votre mandat en tant que Président de l’UA. L’œuvre humaine reste toujours limitée, imparfaite, exception celle de notre Prophète (PsL) Mohammad Sallallahou Aley Salaam. C’est dire que vous ne pourrez jamais vous soustraire des « critiques humaines » malgré les sacrifices constructifs et non moins colossaux que vous avez consentis non seulement pour votre pays mais aussi pour l’Afrique dans beaucoup de domaines politique, culturel, de gouvernance environnement et de développement durable puis sécuritaire, la liste au plan des bilans est longue s’agissant de vos réalisations.
Excellence, MS, Président du Sénégal
Vous avez été au rendez-vous de l’histoire et vous avez répondu aux sénégalais (es), en véritable homme d’Etat qui a non seulement marqué mais magnifié, par votre décision hautement sage et appréciée de tous-tes, héritier clairvoyant de vos prédécesseurs, incommensurable honneur, que tout humain, citoyen libre et conscient de son devoir, a la responsabilité, l’insigne privilège, d’être serviteur de soi-même, dans sa famille, mais aussi un bon serviteur de son pays et des autres, dans son existence d’ici-bas, à tous les échelons de son parcours d’existence sociétale, professionnelle, politique, religieuse et morale. Vous avez bien compris que le Sénégal, Un pays, Une Nation, du dialogue, du « donner et du recevoir » disait feu Président présidents Léopold Sédar Senghor », c’est, pour vous, comme une culture, un héritage à ne pas brader parce qu’il est reçu des ancêtres glorieux, sages, parce que ce Sénégal, pays de la Térangha, est pour vous un emprunt aux jeunes et aux futures générations qui doivent en être les premiers principaux gardiens, comme leurs aînés d’hier, ceux d’aujourd’hui et de demain. Du contenu de votre message-ci, je retiens trois phrases d’une portée historique essentielle et que je vous cite « Je voudrais dire que j’ai une claire conscience et mémoire de ce que j’ai dit, écrit et répété ici et ailleurs, c’est-à-dire que le mandat de 2019 était mon second et dernier mandat. C’est cela que j’avais dit et c’est cela que je réaffirme ce soir. J’ai un profond respect pour les Sénégalais et les Sénégalaises qui m’ont lu et entendu. J’ai un code d’honneur et un sens de la responsabilité historique qui me commandent de préserver ma dignité et ma parole. Je rends ici un hommage à mes prédécesseurs, les présidents Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade dont les parcours sont, bien sûr, différents mais qui ont contribué chacun à construire l’image de ce Sénégal démocratique qu’il faut perpétuer. Je ne saurai faire moins. D’ici la transmission du pouvoir au futur président de la république, inshallah, le 2 avril 2024, j’assumerai avec responsabilité et fermeté toutes les charges qui incombent à ma fonction » fin de citation. Par ces phrases, vous vous êtes illustré en responsable qui a le Sénégal dans son cœur, dans son ADN, vous avez prouvé, confirmé et acté votre décision diffusée à la Télévision RTS-suivie par tous(es) les sénégalais(es). Ce message relayé par les médias et réseaux à travers l’Afrique toute entière, l’Europe et les autres continents restants du monde, vous a agrandi davantage au plan de l’opinion internationale : Partenaires techniques et financiers, Institutions et organisations de la coopération internationale accompagnant la politique de gouvernance et du développement durable de votre Sénégal émergent.
Vive Macky Sall et Vive le Sénégal. Vive la Mauritanie et Vive l’Afrique. Vivent le Rassemblement et l’assemblement de tous(tes) fils(filles) de ces pays et de l’Afrique dans un environnement parfaite convivialité exemplaire et de climat social apaisé durablement.