Le 25 mars 2012, le candidat Macky Sall accédait à la magistrature suprême après une période pré électorale qui avait fait craindre le pire. Plébiscité par 65% des voix, le nouvel élu avait pour mission première de refonder les institutions que le précédent régime, du fait de l’hyper présidentialisme, avait fini de mettre sous coupe réglée, les manipulant à sa guise. Ce qui avait failli faire sombrer le pays dans le chaos. Signataire des recom- mandations des Assises nationales en tant que l’un des candidats à l’élection, il semble les avoir jetées aux ou- bliettes une fois à la magistrature suprême. Cinq ans après, les mêmes causes qui avaient concouru à la tenue de ces concertations sont plus que d’actualité.
Title
[…]very couple of internet websites that take place to be comprehensive beneath, from our point of view are undoubtedly effectively worth checking out[…]