La justice française: une indépendance toute relative

« C’est un assassinat politique ». La phrase a provoqué un séisme dans l’institution judiciaire. Ces quelques mots ont été prononcés par François Fillon, le 1er mars 2017, lorsqu’il a indiqué qu’il était convoqué chez les juges en vue d’une mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs. Jamais, au cours d’une campagne présidentielle, un candidat n’avait attaqué si violement les juges, ni contesté publiquement, leur indépendance.

1 COMMENTAIRE

Comments are closed.