LES FEMMES DE L’AFP SUR LES PROCHAINES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES «Moustapha Niasse n’est demandeur de rien du tout»

Les femmes de l’Afp ont corrigé certains membres de Benno Siggil Sé- négal qui ne veulent pas voir Moustapha Niasse à la tête de la liste aux prochaines élections législatives.

La dernière sortie des cer- tains membres de Benno Siggil Senegaal refusant Moustapha Niasse comme tête de liste aux prochaines élections législatives a visiblement été une pilule amère pour les femmes de l’Afp qui n’ont pas tardé à faire un recadrage, tout en banalisant les détracteurs de leur mentor. «Aceux qui pensent que la politique peut permettre à un inconnu quasi sans-abri de bénéficier de strapontins, nous disons que la coalition Benno Siggil Sénégal n’est pas une agence nationale pour l’emploi malheureusement», ont laissé entendre Mme Maymouna Guèye Fall et ses camarades. Les femmes soutiennent que «ces deux pelés et trois tondus, qui disent appartenir à Benno Siggil Sénégal, se proclamant de manière diffamatoire leaders alors qu’en réalité ils ne repré- sentent rien du tout, doivent savoir observer la fin de la ré- création. Le Mounfep qui se donne pour objectif de faire transparaitre la vérité «qui est seule garante du respect de l’éthique» confient qu’«il est important à ce stade de préciser encore une fois qu’actuellement le président Moustapha Niasse n’est demandeur de rien du tout». Ces progressistes qui notent qu’il est «libre à ceux-là qui sont dans Benno Siggil Sénégal qui pensent être largement majoritaire de solliciter la tête de liste de Benno Bokk yakaar», rappellent que «c’est à la demande du président de la Ré- publique Monsieur Macky Sall et suite à l’adhésion du peuple sénégalais que M. Moustapha Niasse est devenu président de l’Assemblée nationale». Par ailleurs, elles relèvent que «le débat sur le renouvellement du mandat des députés de l’Assemblée Nationale n’est ni opportun, ni pertinent». «Ce qui est important aujourd’hui, c’est que les Sénégalaises et les Sé- négalais puissent savoir ce qui a été fait lors de cette 12ème législature. Elle fût, n’en dé- plaise à ses détracteurs, une lé- gislature de rupture. Rupture dans le management, rupture dansles orientationsstratégiques et rupture dans les projets mis en œuvre», ont affirmé ces progressistes. Elles estiment d’ailleurs que l’équidistance observée au cours de cette législature a entrainé une «stabilité institutionnelle» qui a permis pour une fois à un président de l’Assemblée nationale de demeurer au perchoir durant toute la lé- gislature».

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