Les tableaux de chasse du plasticien Mehryl Levisse

Bestiaire rime avec best year pour le plasticien Mehryl Levisse. 2017 s’annonce comme sa meilleure année, avec un carnet de commandes qui ne cesse de se remplir, et le sentiment qu’il est en train de se faire un nom. Né à ­Charleville-Mézières, l’artiste trentenaire a la moustache fine et un corps de danseur. Il est connu pour ses masques d’animaux, ses monstres, ses corps morcelés, ses tapisseries revisitées, son esthétique kitsch héritée des pavillons de chasse de son enfance, dans les ­Ardennes. « Tout ce que je crée tourne autour du corps. Le mien, celui que je connais le mieux », dit-il. Son corps est son « matériau » qu’il met en jeu dans ses créations, ­installations, photos, films…

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