Viol : «Il n'y a pas de véritable politique de prise en charge des violences sexuelles»

Paris, le 11 mars 2014. Portrait de Meriem Ben Mohamed (pseudo). Etudiante tunisienne en finances de 29 ans, elle a brisé un tabou en Tunisie, en portant plainte pour viol contre trois policiers. Photo Isabelle Rimbert pour Libération

Une victime de viol sur cinq n’a jamais parlé de son agression. Une note de l’Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales souligne que le viol est l’un des crimes «les moins signalés à la police et à la gendarmerie».

 

1 COMMENTAIRE

Comments are closed.