Obama dicte 10 clés de succès tirées de sa réussite

President Barack Obama meets with Italy's Prime Minister Enrico Letta in the Oval Office at the White House in Washington, Thursday, Oct. 17, 2013. The leaders discussed trade and investment, NATO, North Africa, and the Middle East during their bilateral meeting. (AP Photo/Charles Dharapak)
Premier afro-américain à accéder à la Maison-Blanche, Barack Obama s’y connaît en matière de succès. Au delà des choix politiques, l’homme a suscité notre admiration et notre respect durant ses années de mandats. Tel un symbole. Concerne sa réussite et son accomplissement, le YouTubeur Evan Carmichael a compilé 10 extraits puissants de ses discours. Les voici.

1. Avance vers tes objectifs

Barack Obama walking

Quand on est arrivé à la Maison Blanche, on a eu tout un tas de problématiques à gérer. Et on s’est demandé jusqu’où on pouvait faire avancer les choses et ce, dans toutes les situations sans exception, à tous les niveaux. On n’atteint pas toujours ses objectifs, mais on avance vers leur concrétisation. On va toujours échouer en fait. Parce ce que si on atteint toujours ses objectifs, ça veut dire qu’on n’a pas été assez ambitieux.

2. Aie de l’espoir

L’espoir, c’est visualiser ce qu’il ne semblait pas possible d’atteindre et se battre et travailler pour. L’espoir, c’est avoir l’étoffe d’un leader. John F. Kennedy n’a pas regardé en direction de la Lune en se disant que c’était trop loin. On ne peut pas y aller, faux espoirs. Martin Luther King ne s’est pas tenu sur les marches du Lincoln Memorial pour dire : « Rentrez tous chez vous ! On rêvera plus tard, faux espoirs. Vous avez tous besoin de revenir à la réalité. » À chaque génération, il arrive un moment dans la vie où ce sentiment d’espoir doit être visible si on veut marquer l’Histoire.

3. Ne deviens pas suffisant

Barack Obama helping children with their homework

Trop souvent, on laisse les choses extérieures, les choses matérielles, servir d’indicateurs de notre réussite. Même si quelque chose en nous nous dit que nous ne faisons pas de notre mieux, qu’on évite ce qui est difficile, mais aussi nécessaire, qu’on recule face aux défis de notre temps, plutôt que de les affronter. Et le truc, c’est que dans cette époque hypercompétitive, aucun d’entre nous, personne, ne peut se permettre d’être complaisant. Et c’est vrai, quel que soit le métier que tu choisis. Les professeurs peuvent obtenir la titularisation, mais ça ne garantit pas qu’ils continuent à travailler de longues heures et jusque tard le soir et avoir la passion et l’envie d’être d’excellents éducateurs. Ce même principe s’applique à ta vie personnelle. Être parent, ce n’est pas juste payer les factures, faire tout juste le minimum. Ce qui compte, ce n’est pas amener un enfant dans ce monde, mais ce sont les actes d’amour et le sacrifice que ça demande pour élever et éduquer cet enfant. Lui donner des opportunités.

4. Reste concentré

La chose qui me tient profondément à cœur aujourd’hui et particulièrement quand je quitterai le gouvernement, c’est de me dire que les choses s’améliorent quand on y travaille, et qu’on reste concentré sur la direction à prendre. Tout ne se résout pas d’un coup. Et j’avais déjà tiré la sonnette d’alarme à ce sujet parce que tout le monde avait les posters «Yes We Can», et ci et ça. Je les aime bien, ce sont de jolis posters, mais ce que je veux dire, c’est que si on revient sur ce que j’avais dit à l’époque, ce que j’avais dit c’est que ce serait un projet en continu. Et aussi que c’est un projet de citoyens. Ce n’est pas juste : «Allez, répare tout ça !», c’est plutôt de voir comment on travaille ensemble pour que les choses soient faites. Et oui, ce ne sera pas parfait, mais avec le temps, il faudra se demander : «Est-ce que ça va mieux ?» L’économie, métrique par métrique, va mieux que quand je suis arrivé à la Maison Blanche. Et la raison pour laquelle je peux dormir la nuit, c’est que je me dis que ça va mieux justement. Mais est-ce que j’en suis satisfait ? Non. Et est-ce que les électeurs devraient en être satisfaits ? Absolument pas, parce que sinon, si on devient paresseux, les choses ne se font pas.

5. Tu ne peux pas y arriver seul

Tu ne peux juste pas y arriver seul, et ce, quel que soit ce que tu entreprends, à moins d’avoir une team qui t’apporte son soutien. Ça fait partie de la philosophie politique. C’est basé sur ma propre expérience en fait. Si quelqu’un n’avait pas été là pour s’occuper de moi, ma mère, ma grand-mère, mon grand-père, je n’aurais pas pu y arriver. Je n’ai pas réussi par rapport à mon intelligence ou autre. C’est grâce aux gens qui ont cru en moi. Il faut s’assurer qu’on investit bien dans la prochaine génération, comme d’autres ont cru en nous.

6. Engage-toi dans un projet plus grand que toi

Concernant le moi-d’abord, cette vieille approche dépassée, j’aimerais mettre en lumière 2 problèmes majeurs. Premièrement, ça t’écarte de ce qui est vraiment important dans la vie. Ça pourrait t’amener à remettre en question tes valeurs, tes principes et tes engagements. Penses-y. Ça arrive quand tu cours avec des titres et des statuts, quand tu te soucies de la prochaine élection, au lieu des intérêts nationaux et de ceux que tu es censé représenter. C’est pourquoi les politiques s’égarent si souvent une fois arrivés au pouvoir. Ils passent du temps à penser aux sondages, mais pas aux principes, pour avoir des profits outranciers, et les bonus qui vont avec, à court terme. C’est pourquoi tant de gens s’égarent à Wall Street, en prenant des risques importants avec l’argent des autres. Par contre, les leaders qu’on respecte, les entreprises et institutions qui durent, ne sont pas le résultat d’une course limitée vers la popularité ou l’avancement personnel, mais à une dévotion pour un but plus grand que ça. La préservation des États-Unis, ou la détermination pour sortir le pays de la dépression économique. La création d’un produit de qualité ou un engagement pour tes clients, tes employés, tes investisseurs et ta communauté. C’est la caractéristique principale du réel succès.

7. Arrête de trouver des excuses

Nous savons que trop de jeunes hommes dans notre communauté continuent de faire les mauvais choix. Et je dois dire qu’en grandissant, j’en ai moi-même fait pas mal. Parfois, je fais passer mes échecs comme un des exemples de gens qui essaient d’empêcher un homme Noir de réussir. Parfois, j’ai tendance à trouver des excuses pour justifier le fait que je ne fais pas ce qu’il faut. Mais une des choses que tu as apprises depuis que je suis devenu Président, c’est qu’il n’y a plus de place pour les excuses. « Les excuses sont les outils dont se servent les incompétents pour construire des ponts qui ne mènent nulle part et des monuments qui ne représentent rien. »  On n’a plus le temps de trouver des excuses. Pas parce que l’héritage amer de l’esclavage et la ségrégation a complètement disparu, parce que ce n’est pas le cas. Pas parce que le racisme et la discrimination n’existent plus, car nous savons que c’est toujours là. C’est juste que dans cette époque hyperconnectée et hypercompétitive avec des millions de jeunes de Chine, d’Inde et du Brésil, dont beaucoup d’entre eux ont commencé avec encore moins que toi, entrant sur le marché du travail en même temps que toi, rien ne te sera donné à moins que tu n’ailles le chercher toi-même. Personne ne se soucie de la manière dont tu as été élevé. Personne ne se soucie du fait que tu aies souffert de discrimination. Et de plus, tu dois te souvenir que quoique tu aies traversé, ce n’est rien comparé aux épreuves qu’ont endurées et dépassées les générations passées. Si elles ont surmonté ça, tu peux le faire aussi.

8. Ne te prends pas trop au sérieux

Rire avec mon équipe des choses folles qui arrivent, c’est en partie ce qui m’a permis de survivre au stress à la Maison Blanche. Et il ne faut pas se prendre trop au sérieux. Il faut prendre ce métier et les responsabilités qui vont avec au sérieux, mais il faut être capable de rire de soi pour être en mesure de tout gérer.

9. Tiens-toi à ton plan

Tu dois avoir un plan, tu dois avoir une stratégie et puis tu dois aussi avoir une attitude de «je-m’en-tiens-au-plan», parce que tu sais que ton plan ne va pas porter ses fruits immédiatement. Le caractère des Américains, c’est celui qui vacille entre sursaut et rêverie. On fait du sport pendant 2 semaines, et puis on s’endort pendant 2 ans. Et ce que Charles Hamilton Houston [un avocat afro-américain qui a participé au démantèlement des lois ségrégationnistes aux États-Unis, ndlr] a compris, c’est que notre vision s’étend sur plusieurs décennies, plusieurs générations. Et ces jeunes hommes dont je parlais, on ne va peut-être pas les atteindre maintenant, mais je vous assure que si on détermine un peu mieux des lignes à suivre, alors l’enfant qui pleure à Compton ou Harlem, cet enfant-là aura peut-être un autre futur. Et si c’est le cas, c’est tout le pays qui aura un futur différent. Tout comme nous, en tant que peuple. Alors il faut qu’on se mette tous d’accord pour savoir comment le temps peut en fait nous aider à bouger des montagnes. Si on travaille avec lui, et non pas si on attend d’en avoir plus.

10. Poursuis ta passion

President Barack Obama hugs a woman who lost a loved one, at the memorial service in Joplin, Missouri, May 29, 2011.<br /> (Official White House Photo by Pete Souza)

Tu peux avoir des contretemps, tu peux avoir quelques échecs, mais tu n’as pas terminé. Tu en es loin. Et si tu l’oublies, regarde un peu notre Histoire. Thomas Paine était un fabricant de corsets raté, un piètre maître d’école et un mauvais agent des impôts avant de marquer l’Histoire avec un petit livre appelé «Le sens commun » qui a aidé à déclencher une révolution. Julia Child avait environ 50 ans quand elle publié son premier livre de cuisine. Colonel Sanders n’a pas ouvert son premier Kentucky Fried Chicken avant d’avoir 60 ans. Winston Churchill n’était pas pris au sérieux et vu comme un has-been un peu trop porté sur le scotch, avant de devenir Premier Ministre et permettre à la Grande-Bretagne de devenir puissante. Personne ne pensait qu’un ancien joueur de football américain remplissant les étalages d’un supermarché de quartier, reviendrait à sa passion pour devenir le meilleur joueur du Super Bowl. Votre œuvre n’est jamais finie. Chacun d’entre eux, à un moment de leur vie, n’avait ni titre ou statut dont se vanter, mais ils étaient passionnés par ce qu’ils faisaient. Et ils se sont engagés à suivre cette passion, peu importe où ça les mène et à travailler dur à chaque étape du chemin qui mène à la réussite.

8 Commentaires

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