La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sunugaalienne des Droits Humains (LSDH) et Amnesty International Sunugaal (AI) se sont fendus, hier, d’une déclaration pour se scandaliser suite à l’expulsion de l’activiste Kémi Séba du Sunugaal par le ministère de l’Intérieur. Confiant avoir «appris avec surprise la décision de l’Etat du (Sunugaal) d’expulser Kémi Séba vers la France, sans qu’un délai suffisant lui ait été accordé pour exercer son droit au recours et alors même qu’il est visé par une procédure judiciaire en cours au (Sunugaal)», la RADDHO, la LSDH et AI Sunugaal «dénoncent ce procédé».
Les droits-de-l’hommistes soulignent que c’est un procédé «tout à fait arbitraire qui viole le droit au recours prévu pour les personnes visées par des arrêtés d’expulsion (article 34 du décret N°71-860 du 28 juillet 1971 relatif aux conditions d’admission, de séjour et d’établissement des étrangers au (Sunugaal)». Elles demandent par conséquent au «nguurnement» de surseoir à l’expulsion de Kémi Séba pour lui permettre d’exercer son droit au recours.
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