Le président du parti Pastef et le leader de La France insoumise ont exposé hier leurs réflexions et positions sur l’avenir des relations entre l’Afrique et l’Europe. Deux leaders politiques, des visions convergentes par endroits et un gros point de désaccord à la clé sur la question de l’homosexualité.
l y avait un thème, un échange sur l’avenir des relations Afrique-Europe, mais il a fallu avant tout repréciser les casquettes des intervenants et rappeler la nature de l’activité. Le Recteur de l’université hué, conspué, le leader du parti Pastef a dû intervenir pour ramener le calme et la discipline indispensables à un échange fécond. «Nous sommes dans une activité scientifique, une activité intellectuelle», rappelle-t-il. Scientifique et intellectuelle, mais aussi politique, selon Ayib Daffé, Secrétaire général par intérim du parti Pastef, qui cite l’article 4 de la Constitution, qui impose aux partis politiques d’œuvrer à la formation des citoyens. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a sollicité la complicité de l’auditoire pour qu’il y ait une conférence et non un meeting.
Pour disserter sur l’avenir, les deux ont puisé dans le passé de leurs pays respectifs et parfois dans la mémoire plus lointaine de l’humanité. Mélenchon souligne un lien qui unit chaque individu à l’Afrique, et Ousmane Sonko évoque des «relations léonines» au détriment des Africains et du continent africain, une longue histoire faite d’étreintes et de sentiments singulièrement ambivalents où amour, désamour, fierté, culpabilité, crédulité, déception et scepticisme se succèdent.
l y avait un thème, un échange sur l’avenir des relations Afrique-Europe, mais il a fallu avant tout repréciser les casquettes des intervenants et rappeler la nature de l’activité. Le Recteur de l’université hué, conspué, le leader du parti Pastef a dû intervenir pour ramener le calme et la discipline indispensables à un échange fécond. «Nous sommes dans une activité scientifique, une activité intellectuelle», rappelle-t-il. Scientifique et intellectuelle, mais aussi politique, selon Ayib Daffé, Secrétaire général par intérim du parti Pastef, qui cite l’article 4 de la Constitution, qui impose aux partis politiques d’œuvrer à la formation des citoyens. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a sollicité la complicité de l’auditoire pour qu’il y ait une conférence et non un meeting.
Pour disserter sur l’avenir, les deux ont puisé dans le passé de leurs pays respectifs et parfois dans la mémoire plus lointaine de l’humanité. Mélenchon souligne un lien qui unit chaque individu à l’Afrique, et Ousmane Sonko évoque des «relations léonines» au détriment des Africains et du continent africain, une longue histoire faite d’étreintes et de sentiments singulièrement ambivalents où amour, désamour, fierté, culpabilité, crédulité, déception et scepticisme se succèdent.
l y avait un thème, un échange sur l’avenir des relations Afrique-Europe, mais il a fallu avant tout repréciser les casquettes des intervenants et rappeler la nature de l’activité. Le Recteur de l’université hué, conspué, le leader du parti Pastef a dû intervenir pour ramener le calme et la discipline indispensables à un échange fécond. «Nous sommes dans une activité scientifique, une activité intellectuelle», rappelle-t-il. Scientifique et intellectuelle, mais aussi politique, selon Ayib Daffé, Secrétaire général par intérim du parti Pastef, qui cite l’article 4 de la Constitution, qui impose aux partis politiques d’œuvrer à la formation des citoyens. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a sollicité la complicité de l’auditoire pour qu’il y ait une conférence et non un meeting.
Pour disserter sur l’avenir, les deux ont puisé dans le passé de leurs pays respectifs et parfois dans la mémoire plus lointaine de l’humanité. Mélenchon souligne un lien qui unit chaque individu à l’Afrique, et Ousmane Sonko évoque des «relations léonines» au détriment des Africains et du continent africain, une longue histoire faite d’étreintes et de sentiments singulièrement ambivalents où amour, désamour, fierté, culpabilité, crédulité, déception et scepticisme se succèdent.
AVEC LQ