Dissertant sur les évènements malheureux survenus mardi dernier à Saint-Louis, Alioune Tine a vidé son chargeur sur le régime de Macky Sall.

Le défenseur des droits de l’Homme estime dans les colonnes de SourceA, dans sa parution de ce mardi que “ce drame universitaire n’est que l’illustration que le Sénégal nage dans un fleuve de violences structurelles, avec l’usage excessif de la force”.

Le Directeur régional d’Amnesty international pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre estime qu’il est “irrationnel et absurde que dans un Sénégal de 2018, des retards de paiement de bourses se répètent. Causant des tensions entre forces de l’ordre et étudiants, réprimés injustement, par les agents de maintien de l’ordre”.

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Dans sa parution du mercredi, le journal EnQuête dresse le portrait du médiateur de la République dont les sorties récentes n’enchantant pas certains responsables du parti au pouvoir ont occasionné des remous au sein de l’Alliance Pour la République (APR).

Né en 1958 à Guet Ndar à Saint-Louis, Alioune Badara Cissé est entré en politique en 1988. Juriste, économiste, homme de Lettres, il avait tapé dans l’œil du pape du sopi, Abdoulaye Wade qui, rappelle EnQuête, ne tarissait pas d’éloges à son endroit. Avec le président Macky Sall, il a traversé plein de péripéties, bien que certains responsables de l’APR lui reprochent un double jeu à la veille de la présidentielle de 2012. Décrit comme un homme “extrêmement indépendant”, ABC, devenu médiateur en 2015, n’a jamais été reçu par le chef de l’Etat pour la remise officielle de son rapport d’activités.

Dans ce portrait, nos confrères évoquent la rencontre avec Abdoulaye Wade en 1988, décèlent les caractères qui font d’Alioune Badara Cissé un homme “extrêmement indépendant” et racontent l'”humiliation” qu’il avait subie lors de son limogeage au ministère des Affaires étrangères. ” (…) Je pense que je méritais un tout autre sort, pour toutes ces fois qu’il (Macky Sall) a été poignardé dans le dos, que je l’ai accompagné pour l’aider à se relever. Malgré toutes les attaques dont je fais l’objet, je n’ai jamais trahi une confidence qu’il m’a faite. En mon âme et conscience, je n’ai rien à me reprocher”, parlait ainsi Me Cissé qui n’était pas déchu que du poste de ministre, mais aussi de son perchoir de numéro 2 du parti.

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L’ancien promoteur de lutte, Alioune Petit Mbaye, a été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel dans son litige qui l’opposait à la Sonatel et à la Cbao. Le juge a également décerné un mandat d’arrêt à l’ancien candidat à la présidentielle (2007), qui vit à l’étranger depuis une dizaine d’années, et lui a ordonné, à titre de dommages et intérêts, de verser 20 millions de francs Cfa à la banque.

La société de téléphonie, elle, a obtenu le franc symbolique, comme demandé.

Les Échos, qui donne ces informations dans son édition de ce mercredi, rappelle que le différend entre Petit Mbaye et les deux sociétés remontent à l’époque où il était promoteur de lutte. Voulant organiser un combat, selon l’accusation, il avait sollicité la Sonatel pour un sponsoring. En vain.

Il se tourne vers la Cbao et obtient un prêt de plusieurs millions, sur la base d’un ordre de virement irrévocable de 28 millions de francs Cfa qu’aurait émis la société de téléphonie. Lorsque la banque s’est rapprochée de la Sonatel, elle se rend compte de la supercherie. Les deux sociétés déposeront plainte.

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Teledakar – Le combat CNG vs Les lutteurs est bien parti, des accusations de toute part, cette fois ci l’ancienne gloire BOY KAIRÉ n’a pas caché son amertume, il accuse CNG d’escrocs, de voleurs, des dictateurs qui ont un lobby dans la presse qui les protège, devant l’objectif de Teledakar.com BOY KAIRÉ salue les reporters Bécay MBAYE et Malick THIANDOUM et ignore Lamine SAMB, d’après ce dernier si le CNG n’est pas dissout ils vont faire des marches et même boycotter l’arène nationale ….. Suivez l’interview :

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Le président du Comité national de gestion (Cng) de la lutte, Alioune Sarr, n’en peut plus des attaques des lutteurs dirigées contre sa personne et la structure qu’il dirige. Sur la Rfm, il menace de riposter en faisant des révélations sur certains de ses détracteurs.

Mais auparavant, Alioune Sarr signale qu’il a la conscience tranquille. « Je n’ai pas à répondre aux attaques, car mes activités ne me permettent pas de réagir à des détails. Nous ne sommes pas une fédération mais un démembrement de l’Etat qui nous a confié une mission, rappelle-t-il. Si jamais les autorités nous demandent un jour de partir, nous le ferons sans hésiter, car nous nous ne sommes demandeurs de rien. Je n’ai rien à me reprocher. »

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Le Cadre de concertation libéral présidé par Mohamed Samb se réjouit de la mediation entreprise par le directeur régional d’Amnesty International de l’Afrique de l’Ouest et du Centre Alioune Tine qui a offert ses bons offices afin que le projet de réforme allant dans le sens d’instaurer le parrainage intégral dès la prochaine election presidentielle ne grippe pas davantage le processus electoral. Alioune Tine, après avoir rencontré le président Macky Sall qui lui a donné son aval, a entrepris de prendre langue avec l’opposition. Dans l’optique d’aboutir à une decrispation, sur la base d’un accord consensuel.

Mohamed Samb estime que « cette initiative est louable en ce sens qu’elle permettra de dépasser un débat marqué par une certaine forme d’irrationnalité, eclipsant les questions programmatiques de fond qui devraient être les plus en vue à la veille d’une election presidentielle ». Au demeurant, le président du cadre de concertation libéral souscrit entièrement à la loi sur le parrainage. Il assure, à ce propos, qu’elle permettra de rationnaliser de manière optimale l’organisation des futurs scrutins presidentiels. Il note, toutefois, qu’il est « de bon ton que l’opposition ait son mot à dire sur cette question qui la concerne autant qu’elle concerne le pouvoir en place ».

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Alioune Tine prend du galon. Le fondateur et ancien secrétaire général de la Rencontre africaine des droits de l’homme (Raddho), nommé par le président Macky Sall à la tête du Comité sénégalais des droits de l’homme (Csdh), vient de bénéficier d’une nouvelle promotion. Il a été nommé nouvel expert indépendant de l’Onu chargé des droits de l’homme au Mali, vendredi à la clôture de la 37e session des droits de l’homme à Genève en Suisse, informe L’As quotidien.

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Vidéo – Lac 2 répond au CNG et au Docteur Alioune SARR

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Oustaz Alioune Sall s’est invité dans l’affaire Songué Diouf. Ce professeur de philosophie accusé d’avoir foulé au pied la femme sénégalaise. Oustaz et Cie ont passé au peigne-fin les dérives de notre société en matière de sexualité. Ecoute sur Galsen221.com

Renvoyé à deux reprises, le procès de l’Imam Alioune Ndao et de ses co-accusés pour terrorisme présumé reprend ses droits ce 14 mars devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar. En prélude à ce rendez-vous du religieux avec dame justice, Dakaractu s’est entretenu avec l’un de ses conseils, en l’occurence Me Moussa Sarr. Qui, dans cet entretien, a assuré que la défense est fin prête pour prouver l’innocence de l’Imam Ndao. La robe noire a aussi porté la toge avant l’heure pour démonter les arguments de l’accusation même sur les objets supposés trouvés chez son client à l’occasion de la perquisition.
Me Sarr a apporté des explications sur le “bien fondé” de la requête de la défense visant à faire comparaitre aussi bien le commandant Diack de la Section de Recherche que le commissaire Diop de la Dic qui ont entendu l’Imam Ndao lors de l’enquête préliminaire. Quant à la peine encourue, Me Moussa Sarr concède qu’elle peut être très lourde eu égard aux accusations et à la juridiction devant laquelle Imam Ndao est attrait…

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La coalition Benno bokk yakaar (Bby), depuis un certain temps, traverse une crise sans précédent. « Que se passe-t-il au sein de la coalition présidentielle?« , se demandent, sans doute, bon nombre d’observateurs. Après Aminata Touré, c’était au tour de Alioune Badara Cissé, médiateur de la République, d’indexer le régime de Macky Sall. Maintenant, place au roi du « Mbalax », Youssou Ndour qui se dit être déçu…

A quelques mois des élections présidentielles, la bataille de positionnement se fait ressentir au sein de la coalition Bby. Entre « déception » et « chantage politique« , chacun y va de ses propres sentiments. Malgré que certains membres de la coalition présidentielle tentent de recoller les morceaux.

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Amnesty international a lancé son rapport annuel sur la situation de violations des droits humains à travers le monde. Le directeur régional du bureau Afrique de l’Ouest et du centre d’Amnesty international basé à Dakar, M. Alioune Time, a fait le déplacement pour Bamako pour le lancement de ce rapport. C’était le jeudi 22 février 2018 à la Maison de la presse de Bamako. Ont également pris part à cette cérémonie de lancement, Mme Ramata Guissé, directrice exécutive d’Amnesty Mali et M. Djibril Fomba. M. Alioune Tine estime que le choix de Bamako s’explique par le fait que le Mali est devenu l’épicentre d’une crise qui s’étend aux autres pays de la région. «Il y a eu plus de violations de droits humains au Mali que dans les autres pays de la sous-région», a laissé entendre M. Alioune Tine. Pour les responsables d’Amnesty, ces violations de droits ont été, surtout, commises au nord et au centre par des groupes terroristes et les forces de défense et de sécurité. A Bamako, il y a eu également des atteintes aux droits humains dont des tentatives de restriction de la liberté d’expression visant des journalistes et des activistes.

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L’ancien numéro 2 de l’Apr, Me Alioune Badara Cissé n’a pas mâché ses mots à l’endroit du gouvernement de Macky Sall. Il a explicitement fustigé le problème des cartes d’électeurs lors des dernières élections législatives.

Le médiateur de la république, Me  Alioune Badara Cissé a estimé que « quelque soit le poste de responsabilité que vous occupez, vous restez toujours un citoyen. Donc avant d’être médiateur, nous sommes d’abord Sénégalais », informe Pressafrik.

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Une visite à caractère social peut en cacher une autre à couleur? politique. La preuve par la présence du maire de la Commune de Dakar-Plateau, hier, à la prison centrale de Rebeuss. Officiellement, Alioune Ndoye était allé visiter les pensionnaires de “100 mètres carrés” à qui il a remis quelques commodités comme des matelas.
Officieusement, Dakaractu a appris qu’il a mis à profit sa présence sur les lieux pour rencontrer le plus célèbre détenu du Sénégal : le maire de la Ville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall.Un contact tout de même surprenant quand on sait que les deux hommes peuvent être qualifiés de frères ennemis.

Figurant parmi les lieutenants de Khalifa Sall, le maire de Dakar-Plateau s’est finalement rangé aux côtés du Secrétaire général du Parti socialiste (Ps), lorsque la crise a empiré dans cette formation politique, avant de culminer avec les exclusions du maire de la Ville de Dakar et de tous ses partisans.
Mieux, Alioune Ndoye a joué un rôle considérable dans les arrestations des présumés chefs d’orchestre des violents troubles, l’année dernière, à la Maison du Ps, à savoir le maire de la Médina, Bamba Fall, et compagnie.

Par ailleurs, on nous signale qu’avant ce contact surprenant avec Khalifa Sall, le maire de Dakar-Plateau était allé aussi visiter son épouse.
L’un dans l’autre, ces deux visites ne manqueront pas d’apporter de l’eau au moulin de ceux qui prêtent à Alioune Ndoye l’intention de renouer avec l’autre camp, du fait qu’il ne serait pas dans les bonnes grâces de Ousmane Tanor Dieng, contrairement à d’autres camarades comme le député-maire et porte-parole du Ps, Abdoulaye Wilane.

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Rafa Benitez devra persuader Mike Ashley, propriétaire de Newcastle, de débourser 18 millions de livres sterling pour le recrutement du milieu de terrain sénégalais Papa Babou Ndiaye, informe dailymail. C’est la clause de rachat pour l’international sénégalais de 27 ans, qui évolue avec Galatasaray depuis l’été dernier.

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