alliance pour la république – Actunet.net https://actunet.net Les dessous de l'actualité Wed, 20 Mar 2024 21:51:24 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.5 https://actunet.net/wp-content/uploads/2017/08/cropped-actunet_logo_01-300x90-1-32x32.png alliance pour la république – Actunet.net https://actunet.net 32 32 69362583 Amadou Ba, notre cheval de bataille ! (Par Soukeyna Fall) https://actunet.net/actualite/amadou-ba-notre-cheval-de-bataille-par-soukeyna-fall/ https://actunet.net/actualite/amadou-ba-notre-cheval-de-bataille-par-soukeyna-fall/#respond Wed, 20 Mar 2024 21:50:11 +0000 https://actunet.net/?p=222128  APR, BENNO BOKK YAAKAR, MOUVANCE PRÉSIDENTIELLE : AMADOU BA EST NOTRE CANDIDAT ! Sénégalais, Sénégalaises, population électorale du Sénégal, AMADOU BA est notre candidat ! AMADOU, AMADOU AMADOU, NOM DU PÈRE, DU FILS ET DU CANDIDAT !   AMADOU BA, CHOIX DU PRÉSIDENT MACKY SALL, EST NOTRE CANDIDAT !  Ceux qui essaient de ternir, l’image […]]]>

 APR, BENNO BOKK YAAKAR, MOUVANCE PRÉSIDENTIELLE : AMADOU BA EST NOTRE CANDIDAT !

Sénégalais, Sénégalaises, population électorale du Sénégal, AMADOU BA est notre candidat !

AMADOU, AMADOU AMADOU,

NOM DU PÈRE, DU FILS ET DU CANDIDAT !

 

AMADOU BA, CHOIX DU PRÉSIDENT MACKY SALL, EST NOTRE CANDIDAT ! 

Ceux qui essaient de ternir, l’image du Président Macky Sall, par des allégations de dénigrement, doivent arrêter leurs basses manœuvres. Vouloir aller vite en besogne, dans un nouveau partenariat, ne doit point se justifier par certaines déclarations. Oui, aucune quête d’un renouveau de partenariat ne saurait faire du Président Macky Sall un paria. Arrêter de faire un mauvais procès au Président Macky Sall !

En sonnant plusieurs fois le rappel des troupes en interne comme en externe, en mobilisant plusieurs fois son parti (ses locaux et son logo), sa coalition, ses moyens financiers et logistiques, ce serait mesquin et méprisant que quelqu’un essaie d’attribuer le mauvais rôle au Président Macky Sall. Parfois je me demande, dans quel Sénégal sommes-nous ? Tant la reconnaissance ou la gratitude est devenue rarissime ou presque en extinction !

 Ce que le Président Macky Sall a fait pour Amadou Ba, avec ses nombreuses nominations, avant de boucler cet attachement par l’expression d’un choix assumé, personne sur cette terre du Sénégal ne l’a fait pour lui. Nous ne pouvons pas tous connaître, en temps réel, les stratégies politiques du Président Macky Sall mais nous savons tous, que depuis lors, son message ou mot d’ordre n’a pas varié et n’est pas avarié ! Arrêter de nuire !

Il n’y a aucune nuit dans la continuité !

Rien n’a changé ou en clair rien à changer !

Amadou Ba est notre candidat, c’est notre cheval de bataille, c’est notre bien public commun.

Ensemble, œuvrons dans l’Unité pour une large victoire éclatante au rang de plébiscite pour lui, pour le Président Macky Sall, pour notre coalition et pour la prospérité du Sénégal.

 

UNE CAMPAGNE ÉLECTORALE PAS COMME LES AUTRES

 

D’habitude les candidats-pêcheurs, en diurne comme en nocturne, vont à la pêche, avec leurs nasses, pour chercher la masse, capable d’assouvir leur faim électorale.

Cette fois-ci, la campagne électorale est un peu éloignée de sa tradition. Que signifie une campagne sans aller dans les campagnes de l’intérieur du Sénégal ?

Entre l’appareil politique Benno et les autres mini appareils ou échantillons d’appareils, il n’y a pas photo !

Entre notre candidat Amadou Ba et les autres candidats, il n’y a pas photo non plus !!

Les statures différentes, au point qu’aisément, on peut dire que l’université n’a pas à être en compétition avec la case des tous petits !

Sur les 18 candidats, seul le candidat de Benno suivi de la trace de deux ou trois autres ont une bonne stratégie de maillage du territoire national.

La cartographie de la population électorale de chaque région doit être le tableau de bord, de tout candidat sérieux, pour mieux ficeler son plan de mobilité et de mobilisation.

Certains candidats ne le sont que de nom, d’autres croient que la campagne ne concerne que l’axe Dakar-Mbour ou Ziguinchor.

L’impréparation, l’improvisation ou le manque d’organisation occupe une grande place dans les stratégies électorales de beaucoup de candidats. Dans l’hilarité de la campagne, l’errance se manifeste tellement que j’ai vu une primo-candidate saluer dans le vide des militants de son imaginaire !

Certains candidats n’ont même pas rang de stagiaires, ce sont des poussins en début d’éclosion !

 

IL NOUS FAUT RATISSER LARGE !

Nous devons chercher dans l’électorat des non-partants et des indécis, pour gagner au premier tour. Il est clair que l’appareil Benno BOKK YAKAAR a une bonne longueur d’avance par rapport aux autres candidats ou figurants. Après Amadou, Diomaye, Khalifa, Dethié, et un peu Idy l’on peut se demander aisément où sont les autres. Dans quelle nature sont-ils en divagations ? Sont-ils perdus ?

  AMADOU BA, LE CANDIDAT !

Être choisi c’est bien mais avoir la présentation et la représentation d’une bonne assise à même de véhiculer l’image d’un présidentiable c’est encore mieux.

Amadou Ba est un bon profil pour la conquête du pouvoir de la magistrature suprême.

Nombreux sont les membres de l’Alliance pour la République, de Benno ou des Sénégalais lambda, qui peuvent témoigner de la générosité de notre candidat Amadou Ba.

La salle d’attente, de ses différentes fonctions, est suffisante pour attester de l’échantillonnage d’un Sénégal en miniature. Avec lui, notre attente pour un Sénégal Emergent, dans la Prospérité partagée, l’est encore davantage !

Un grand cœur qui a la capacité de servir, sans rien attendre, car dans cette période de vie, aucune coloration de quête ou de conquête du pouvoir intuitu personae, n’était visible ou audible en lui.

Même dans le parti, Amadou Ba n’a jamais candidaté, il a été choisi bien avant l’acuité contextuelle de l’urgence d’un choix.   Le Président Macky Sall a travaillé a donné à son successeur, l’étoffe et l’épaisseur d’un homme d’État. Un homme accompli qui connaît l’Etat, connaît le Sénégal dans son entièreté et dans le respect de l’idéologie de notre sociologie.

Les visites effectuées dans les familles religieuses du Sénégal montrent à suffisance, son ancrage dans nos valeurs cultuelles et culturelles.

Amadou Ba est un homme de devoirs, de devoirs bien accomplis, un panafricain accompli, qui croit à la force de l’intégration. La terre d’origine de son épouse, peut en témoigner. A cette dernière, nous exprimons le souhait d’être la Première dame du Sénégal, après l’actuelle.

Amadou Ba est un homme d’une grande discrétion, qui avant même l’obtention    d’un pouvoir discrétionnaire du Président Macky Sall, a été nommé par promesse. En effet Amadou Ba a été nommé ou désigné à un poste par le Président Macky Sall, avant même que ce dernier ne soit Président de la République. C’est impossible diront certains, mais tellement possible car le décret d’un désir est illimité dans le grand champ des possibilités.

Certains partisans de la mouvance présidentielle, qui l’accusent directement ou indirectement, d’être un militant d’heures tardives, ne savent pas qu’ils existent des artisans, de l’ombre qui participent à faire briller un bijou ou à faire aboutir un projet, sans pour autant être un militant ou membre visible de l’atelier. La relation, entre les deux hommes date bien avant l’officialisation d’une adhésion dans le Parti.

Entre militants, sympathisants ou citoyens apolitiques nous savons tous, que ce qui donne la victoire, au suffrage universel, dépasse les frontières et de son parti et de sa coalition. Il nous faut ratisser large.

Chaque sénégalais a un cœur.

C’est le cœur qui vote et fait voter. Chaque sénégalais électeur au moment du vote, transmet à la main support de transport, la mission du cœur, le fameux choix !

Entre les prématurément convaincus et les tardivement convaincus, l’expression est la même quand on vote pour un candidat.

Combien d’hommes politiques ont été victimes de personnes au pouvoir démonstratif énorme, toujours promptes à répondre à tous les rassemblements et qui au final, ne figurent pas, dans le possessif électoral des résultats du candidat. Certains le font par duplicité ou par mercantilisme, pour tromper le parti de l’homme politique, en allant voter pour un autre candidat.

D’autres participent en présentiel en occultant l’essentiel, à savoir, avoir sa carte d’électeur, aller et savoir comment bien voter, pour ne pas faire de son enveloppe, un bulletin nul et surtout appeler à faire voter et à sécuriser le vote.

L’ÉLU c’est le choix de la population électorale dans sa majorité. Dans cet Amour, toute erreur se paye cash.

Les prétendants sont nombreux et certains croient être dans une compétition de prétentions, où les intentions les plus absurdes, cherchent résonance à consonance d’émergence.

Dans ce cinéma, un grand acteur a comme doublon, l’homme qui lui prêtait « 500l de sang »

Un homme tellement en retard, qui ignore l’horloge de notre cher pays au point d’ignorer la gratuité de la césarienne, obtenue grâce au Président Macky Sall. Cette délivrance pour les femmes appelée « KIT MACKY SALL » dont j’ai fait la découverte à la naissance de la fille de mon frère, un bébé devenu une semaine après mon homonyme, la petite Soukeyna ! Combien de familles en ont bénéficié avant et après elle ?

Il n’y a pas un domaine du développement dans ce pays, où le Président Macky Sall, n’a pas marqué son empreinte.

Ce que Diomaye croit comme nouveauté dans son programme soit, c’est du déjà réalisé, soit c’est une copie mal recopiée, soit c’est de l’hérésie. Au mieux du déjà vu, au pire des programmes inopérants dans le champ de la Démocratie ou dans le champ du développement véritable et durable. C’est cela le fameux Projet ou Programme ?

Au sérieux programme d’une élection présidentielle, Diomaye ose par légèreté dire que leur « programme est conçu dans la précipitation, sans concertation « pour justifier son impertinence ».

 

DIOMAYE sait que c’est difficile pour lui d’être dans la peau de Ousmane Sonko. Sonko sait qu’il n’est pas Diomaye. Aucune version ne peut faire de Diomaye un Sonko bis !

L’habit de Sonko est trop large pour Diomaye.

C’est toujours aussi difficile d’avoir une bonne démarche avec des chaussures trop larges pour les pieds. C’est aussi difficile de ne pas porter la bonne pointure de ses pieds !

En écoutant Diomaye, je me demande, depuis quand le Sénégal doit avoir maille avec le ridicule ?

Du Mi Diogoye, Mi-Kader dinama nékhe !

Entre prématuré politique et immature adolescent politique, la décence politique se cherche !

 Même avec mille répétitions par jour, Diomaye ne sera jamais Ousmane Sonko !

Même l’eau de la mer refusera son sel à certains. Un casting des plus étonnants ! On peut être loyal sans avoir le profil ! Dans la vie chacun a son rôle. Certains sont efficaces en étant des second, d’autres sont de vrais leaders nés, d’autres sont polyvalents. Il existe des talents cachés, loin d’être au-devant de la scène et qui maîtrisent l’art de la scène !

Le philosophe grecque Socrate disait : « Connais-toi toi-même et devient qui tu es ».

Diomaye, connais -toi, toi même, et devient qui tu es, tu n’es pas Sonko !

Aucune doublure, aucune dialectique ou aucune dialyse ne pourra doper Diomaye au point d’en faire un Sonko bis ou un vrai Sonko !

L’empreinte ne s’emprunte pas !

Sonko n’est pas Diomaye ! Les personnalités ont du mal à trouver des points de ressemblance !

Diomaye n’est pas un Meneur. Le véritable meneur ne pourra pas toujours masquer ses carences.

Contrairement aux élections législatives qui étaient gagnées par procuration, aux élections locales où certains ont voté pour des inconnus, les élections présidentielles ne peuvent pas occulter la dimension personnelle de l’homme candidat.

Un candidat ou un bon amuseur de la galerie ne peut pas représenter le rayonnement du Sénégal à moins que l’on vise la risée du monde.

L’effluve de la désillusion commence à se faire sentir du côté de la coalition Diomaye. L’évidence de la réalité est très têtue !

A un bébé politique, il faut donner le temps d’une bonne croissance. Savoir bien grandir, bien ramper avant de prétendre marcher ou de faire marcher quoique ce soit. Le parti Pur a choisi la maturité au lieu de nous servir « le petit Senghor » comme candidat.

Le grand méritoire de Diomaye est d’avoir cassé la monotonie de la campagne qui était fade, pour nous servir des séquences anti-stress en image et en parole ! Parodie de candidat !

« Kaolack Dakar la bokk ! Dakar thie Kaolack la bokk! ». De la comédie à la place d’une bonne communication.

Diomaye est loin d’être un homme réfléchi et bien structuré !

A voir Tata Mimi à côté de Diomaye, je me demande si Sonko a changé sa définition de porte- bonheur pour ces élections ?

 VOS ATTAQUES CONTRE AMADOU BA.

Cela peut se comprendre comme tapage d’une tentative de rattrapage. Amadou a toujours été un visionnaire silencieux.

Le Récit de son passage à la Direction générale des Impôts et des Domaines, et aux autres postes ministériels, montre à suffisance, sa capacité d’innovation, d’émulation, de respect de la dignité humaine, et sa grande capacité à même de créer les synergies nourrissantes capables de nous insuffler l’énergie nécessaire.

Un homme toujours respectueux de la hiérarchie. Un homme calme et serein.

Un homme qui connaît le Sénégal dans ses connexions les plus secrètes. Qui fait de la devise de l’Administration, à savoir le droit de réserve, un mode de vie, un exercice au quotidien dans toutes ses relations.

Amadou Ba fait partie des candidats qui n’auront pas besoin de temps d’imprégnation pour connaître des dossiers et du fonctionnement de la République.

Il connaît l’Etat ! Si l’Etat était une voiture, Amadou Ba a le permis pour la conduire convenablement.

Certains candidats, non seulement, n’ont pas encore de permis de conduire mais rien dans leur conduite n’en fait de bons passagers !!

Ils ignorent les règles d’une bonne conduite, n’ont pas les aptitudes d’un bon conducteur.

Le Sénégal n’a pas besoin, comme Président de la République, de guignol ou de personne immature.

57% des inscrits du fichier électoral ont plus de 41ans.

29% des inscrits du fichier électoral ont entre 36 et 40 ans.

13% des inscrits du fichier électoral ont moins de 35ans.

En clair 86% des électeurs inscrits ont plus de 36ans. Croyez-vous qu’un sénégalais électeur mûr va voter pour Diomaye ?

Allez-vous lui donner votre fille en mariage ?

Aimer le Sénégal c’est voter pour Amadou Ba !

La libération de Diomaye est une libération pour le Peuple sénégalais ! Le Président Macky Sall a encore rendu un grand service à notre République !

Certains allaient commettre l’erreur fatale de choisir Diomaye s’il était resté en détention !

Diomaye a relevé la barre du ridicule de très haut, c’est une Catastrophe ! C’est décevant !

 AMADOU LE BON CONDUCTEUR

Amadou est un conducteur qui veille à la conformabilité du voyage, sans faire de tapage, dans le voisinage. Ce conducteur est un père protecteur pour tous les passagers. UN bon père ne veille pas seulement sur ses enfants, mais il considère tout enfant, tout occupant du bus, comme ses propres enfants. C’est un homme affable qui ne manquera pas de rire de vos fables !

Alioune Tine qui croyait « à la fable de la prison vers le Palais » a révisé son discours. Le candidat véritable du projet c’était uniquement Sonko !

Entre rabattre les cartes et rabattre le caquet, la véritable stratégie politique se dévoile !

Entre Dumping et marketing, la dimension politique se cherche !

Avec Amadou Ba, les nombreux litiges ou problématiques fonciers au Sénégal, vont positivement connaître leur épilogue.

 Amadou croit foncièrement et entièrement aux valeurs de solidarité et de générosité !  La Prospérité Partagée !

La Prospérité Partagée dont l’ancêtre est le Yonou Yokuté ensuite le PSE. C’est la Continuité !

Ceux qui cherchent la nuit dans la continuité doivent arrêter !

Vos nuisances ne reflètent que vos insuffisances ! Expérience, Maturité et Sécurité !

Oui Amadou a l’âge de la majorité en politique.

Votons Amadou Ba !

Il est notre Bien public commun, héritier du leg du Président Macky Sall !

Aidons-le à toujours bien faire. Nous sommes Amadou, dans l’unité et dans l’union des cœurs !

Que notre candidat Amadou Ba, gagne au rang de plébiscite pour l’honneur de notre parti, de notre coalition et du Président Macky Sall.

Ensemble, pour une victoire éclatante de notre candidat Amadou Ba au premier tour.

Entre l’appareil politique Benno BOKK YAKAAR et les autres appareils, il n’y a pas photo.

Entre Diomaye et Amadou il n’y a pas photo.

Au vu de son riche parcours dépositaire de moyens légaux comme les fonds communs, jusqu’à sa dernière nomination comme Premier ministre, et compte tenu du fait qu’Amadou Ba n’est pas connu pour des fréquentations douteuses dans certains milieux, Amadou peut avoir un grand patrimoine !

Un homme d’État est un homme qui sait gérer son état personnel dans la branche de tous ses appétits !

Faire le bon choix c’est voter Amadou Ba !

Amadou Ba c’est notre Candidat !

Pour la Prospérité Partagée, Votons Amadou Ba !

 

En dernier ressort c’est Dieu qui choisit par des manifestations diverses, parfois même à la surprise générale !

Notre Souhait est qu’Amadou Ba soit L’ÉLU !

Vivement qu’Amadou Ba soit le 5ème Président de la République du Sénégal !

 

Paix et Émergence en chacun de nous.

Sénégal Sunugal.

 Soukeyna Fall Alliance pour la République.

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Le Conseil constitutionnel n’est pas le substitut du Président de la République ! (Par Soukeyna Fall) https://actunet.net/actualite/le-conseil-constitutionnel-nest-pas-le-substitut-du-president-de-la-republique-par-soukeyna-fall/ https://actunet.net/actualite/le-conseil-constitutionnel-nest-pas-le-substitut-du-president-de-la-republique-par-soukeyna-fall/#respond Tue, 12 Mar 2024 13:29:20 +0000 https://actunet.net/?p=221522 Le Conseil constitutionnel, accusé de braquage et de bradage de lois ou de droits, par les candidats dits spoliés est-il en phase de bravade effrontée et frontale avec le Président Macky SALL ? Le Conseil constitutionnel cherche-t-il à faire vivre la possibilité d’une dualité institutionnelle ? La sortie de la décision, au moment où le […]]]>

Le Conseil constitutionnel, accusé de braquage et de bradage de lois ou de droits, par les candidats dits spoliés est-il en phase de bravade effrontée et frontale avec le Président Macky SALL ?
Le Conseil constitutionnel cherche-t-il à faire vivre la possibilité d’une dualité institutionnelle ?
La sortie de la décision, au moment où le Sénégal entier était scotché au déroulé, de l’Assemblée nationale, portant sur une loi d’amnistie, sonne comme un message dans un autre message. Une synchronisation loin d’être hasardeuse !
Un moyen subtil mais fort remarquable et remarqué de marquage et de remorquage comme pour tenter de noyer le travail de l’Institution Assemblée nationale vedette de la mi-journée et se hisser encore et encore au-devant de la scène.
En usant du même terme « régulation », « modalité de régulation sociale et politique » (…) pour l’amnistie, selon le Président du Groupe parlementaire de la majorité, l’honorable Député Abdou MBOW et « régulation » des élections pour le Conseil même s’il faut s’inventer une loi et faire chambre dans la maison de la patrie.
Et pourtant de façon légale le Conseil constitutionnel n’est pas le SUBSTITUT DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.

Aucune de nos lois actuelles ne donnent compétences au Conseil Constitutionnel à fixer une date, pour l’élection présidentielle.
Le Conseil constitutionnel outrepasse à grandes enjambées son champ d’intervention, jusqu’à oser faire dans l’empiétement. Ceci est une violation flagrante de l’article L0 137 du code électoral.
Le Conseil constitutionnel n’a pas compétence de SUBSTITUT ni de SUBSTITUTION aux prérogatives constitutionnelles du Président de la République.
USURPATION DE FONCTION
Ni dans l’esprit ni dans la lettre de la Constitution comme du Code électoral, le Conseil constitutionnel n’a ce privilège.
Aucun pouvoir de régulation ne lui donne autorité à se substituer à l’Institution ou à la fonction de Président de la République.
Le Conseil constitutionnel outrepasse maintenant ses prérogatives et fait dans l’usurpation de fonction. Ceci est un fait gravissime contre la stabilité démocratique de notre cher pays. Nous n’avons qu’un Président de la République en exercice qui jouit de compétences requises et joue pleinement son rôle.
L’appel au Dialogue du Président Macky SALL trouve sa sève nourricière dans les racines dans la Constitution du Sénégal car nous sommes un Gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le Peuple. Le Dialogue fait partie intégrante des fondamentaux de la République.
Comment des personnes nommées censées être des sages de la République peuvent se croire tout permis en se donnant le droit de tout ternir sans aucune élégance républicaine ? Le respect des formes fait partie de nos valeurs républicaines.
Entre la décision d’hier avec la date du 31mars pour les élections présidentielles et celle d’aujourd’hui il y a matière à dire et à redire.
LA CARENCE PRÉSIDENTIELLE
Si carence il y a, ce n’est pas du côté de la station présidentielle.
Si carence il y a, il faut regarder du côté de ceux-là qui ont manqué de vigilance, d’excellence et de compétence dans l’exercice de leurs missions de contrôle des critères d’éligibilité des candidats.
L’autre carence c’est manquer d’élégance républicaine au point d’empiéter dans le champ des prérogatives constitutionnelles du Président de la République.
Notre vaillante administration n’a jamais fait preuve d’inertie dans sa noble mission de service public pour toute la Nation.
C’est vraiment le comble !

SUR L’HARMONISATION DE LA DATE
En voulant se racheter ou s’autocorriger si réellement le Conseil constitutionnel n’avait rien de personnel dans ses décisions, il ne devait pas rejoindre le Chef de l’Etat dans sa position de fixer la date de l’élection pour le 24mars 2024.
C’est d’ailleurs surprenant de faire vivre le caractère personnel au point de nous servir un communiqué signé seulement par le Président du Conseil constitutionnel.
Doit-on comprendre que le Conseil essaie de s’auto-raisonner avec le résonnement de sa dernière décision ?
Est-ce à dire que le Conseil cesse de s’indigner mais s’aligne selon sa propre météo.
Où est l’application de la loi LO129 du code électoral fixant le nombre de jours de campagne électorale ?
En vertu de quelle loi le nombre de jours (21) peut être violé ?
En retenant le 31mars aussi, vous bafouez un socle fondamental de notre commune volonté de vie commune. Nous sommes un pays attaché à la liberté de culte qui est un droit fondamental et constitutionnel acté même dans le préambule de notre charte fondamentale. Une date d’élection en période de dattes est-elle bonne date ?
Que faites-vous de la sacralité du Ramadan pour les musulmans et de la sacralité de Pâques pour les chrétiens ?
Une date d’élection en violation flagrante de l’article LO129 du code électoral sur le nombre de jours de campagne électorale. Entre 12 jours et 21 jours même si c’est le même chiffre en numérologie, ce n’est pas conforme à la loi mais c’est suffisant pour nous montrer si besoin en était encore que le Conseil constitutionnel peut violer ou permettre de violer la loi selon ses propres desiderata !
Ceci met à nu, à la fois, sa bonne foi et sa mauvaise foi !
Que cherche le Conseil constitutionnel ??

LA CRISE N’EST PLUS TRIANGULAIRE, MAIS LE DÉSAVEU CONTINUE.

SEM le Président Macky SALL doit savoir que nous sommes en situation d’exception avec une crise des plus pernicieuses. C’est de la responsabilité présidentielle de prendre la pleine mesure de toutes ses prérogatives constitutionnelles surtout en période de crise.
Quand des individus sont dans une dynamique de dynamiter l’honorabilité de la station présidentielle, au nom de la Nation, une solution rapide et radicale s’impose.

DISSOLUTION COMME SOLUTION.

La dissolution du Conseil Constitutionnel est la seule solution pour dépasser cette crise. C’est la meilleure option !
Dans le grand champ de la Démocratie, quand l’herbe de la trahison ou de la confusion a trop poussé. Le désherbage s’impose pour fleurir le jardin de la stabilité nationale.
Nous sommes certes dans un Etat de droit, mais nous ne nous sommes pas dans un Gouvernement de Juges. Chaque institution a son pouvoir dévolu.
Les Juges n’ont pas à redéfinir la politique de la Nation. Ils ont failli à leur mission de sages.
Le Président de la République demeure la clé de voûte de toutes nos Institutions et il est garant de notre stabilité nationale. L’inclusion fait partie des voies de la stabilité nationale. La notion d’appartenance est un pan important dans le jeu démocratique.
Entre insolite et inédit ce qui se passe dépasse l’entendement.
Le dernier mot doit revenir au Président de la République. C’est cela même l’esprit de la grâce et de l’amnistie.
La jurisprudence de la dérogation de 2007 sur le prolongement du mandat des Députés existe dans l’historique du Conseil Constitutionnel.
Le pouvoir constituant de l’Assemblée nationale existe pour l’adoption de nos lois capables d’adaptation selon les exigences du moment inhérentes à l’évolution des peuples.
Le pouvoir judiciaire se doit d’orienter et d’accompagner ses besoins. L’entrave systématique et sismique voire même hystérique n’est pas la bonne démarche pour ceux qui sont mus que par l’intérêt exclusif de la Nation.
Il est clair qu’une main cherche revers au Président de la République Macky SALL.
Le laisser -faire a trop duré.
L’affront ne peut plus perdurer.
Le Président Macky SALL doit agir. Il doit agir vite !
C’est de l’outrage manifeste. Il n’y a aucune carence qui justifie que le Conseil constitutionnel empiète dans le champ des prérogatives du Président de la République. Deux dates. Celle donnée par le Conseil constitutionnel est une goutte de trop !

Le Conseil constitutionnel a montré ses limites dans le traitement des critères d’éligibilité des candidats.
Excellence Monsieur le Président de la République, âpre a toujours été votre combat pour défendre les valeurs de la République. Cet amour se déteint dans le nom de votre parti. Alliance pour la République, Apr !
Un parti né avec son cheval de bataille.
Excellence Monsieur le Président de la République votre bravoure ne souffre d’aucune bavure.
Excellence Monsieur le Président de la République le laisser faire ne doit plus continuer.
Prenez vos responsabilités ! C’est vous le Président de la République !
Ne laissez à personne définir à votre place la politique de la Nation. Vous êtes encore dans l’exercice pleine et entière de la station présidentielle.
Même acculé continuez de rester droit dans vos bottes.
Ne donnez pas à vos contempteurs le plaisir d’abdiquer !

Sur un autre registre portant sur L’AMNISTIE
L’unanimité ne sera jamais dans l’humanité.
L’historique de la loi d’amnistie dans notre cher pays comme dans d’autres pays a toujours été jalonné et de refus pour les uns et d’acceptation pour les autres.
Un moment où le cœur de la Nation en salle d’opération montre ses pulsions, ses révulsions et ses expulsions avant de se calmer pour guérir de ses blessures béantes et géantes au nom de ce produit indispensable dans nos vies : je veux parler de la Paix.
Il n’y a pas d’Emergence sans Paix.
C’est dans cette logique que le Président Macky SALL appelle à l’union des cœurs.
Ceux qui ont voté pour, ceux qui ont contre ou ceux qui ont été des présents-absents, tous ont été dans leurs bons droits au nom de la Démocratie. Maintenant qu’ils se réjouissent des conséquences de la loi d’amnistie avec la libération de certains détenus, tout en ayant voté contre, c’est une autre paire de manche. C’est aussi dans la nature humaine d’être capable de tricherie et de duperie.
Prochainement ne soyez pas hypocrites en vous réjouissant de la sortie de votre leader Ousmane SONKO alors que vous avez choisi la voie de son maintien en détention. Que vos intentions véritables ne vous privent pas de sommeil.
Certains auraient préférer vivre de son image pour avoir bonne image. Le voir sortir c’est plus qu’un coucher prématuré du soleil, c’est l’éclipse pour certains !
Je suis pour des élections inclusives et transparentes.
Je ne souhaite pas que l’arbitrage des élections se fasse avec ce Conseil constitutionnel !
Paix et Émergence en chacun de nous !
Sénégal Sunugal
Soukeyna Fall, Alliance pour la République.

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Que faire, quand par traces, l’arbitrage donne place à l’arbitraire ? (Par Soukeyna Fall) https://actunet.net/actualite/que-faire-quand-par-traces-larbitrage-donne-place-a-larbitraire-par-soukeyna-fall/ https://actunet.net/actualite/que-faire-quand-par-traces-larbitrage-donne-place-a-larbitraire-par-soukeyna-fall/#respond Sun, 25 Feb 2024 19:57:39 +0000 https://actunet.net/?p=220186 Le comité de casting et de metteur en scène a déjà sorti une liste des acteurs. Une liste de candidats en lice contestée ou contestable dont les répercussions continuent de battre en batterie de percussions ! Dans le grand théâtre ou cirque politique, des acteurs sur scène étaient en pleine action de répétition pour les […]]]>

Le comité de casting et de metteur en scène a déjà sorti une liste des acteurs. Une liste de candidats en lice contestée ou contestable dont les répercussions continuent de battre en batterie de percussions !
Dans le grand théâtre ou cirque politique, des acteurs sur scène étaient en pleine action de répétition pour les préparatifs d’un grand jour. Une journée d’une importance capitale, dans le devenir économique social et environnemental de notre cher pays. Dans le calendrier de notre République, ce jour n’a lieu généralement que par quinquennat ou septennat.

NOTRE PLAT NATIONAL OU PLAT D’UN JOUR IMPORTANT

En pleine préparation de notre “thieboudieune national” avec tous les éléments et condiments, qui nous ont toujours valu tant de compliments, certains ont alerté en dénonçant des manquements graves, sur l’état des denrées de première nécessité. Des produits seraient de mauvaise qualité, au point que l’autorité es qualité en a été informée. D’autres, au-delà du riz, de l’huile et des légumes en mauvais état, ont alarmé et choqué par leurs cris et bruits : “Le poisson aussi serait pourri par la faute d’un proche du garde -manger.” Une détonation-interrogation qui ne manque pas d’étonner !

Les principaux constituants du plat national ne sont pas en bon état même si le père de famille avait très tôt réglé toutes les dépenses nécessaires pour faire un bon marché en faisant confiance et aux fournisseurs et surtout, au Cuisinier garde-manger !
Dans la Cuisine nationale, après la clameur, chaque acteur y va avec sa propre lecture !
Même si l’heure du “midi kéng bol kéng” n’est plus. L’odeur de la cuisine a ôté tout désir aux hôtes.

Les questions sont :
– faut-il continuer la préparation du plat national, malgré les récriminations ou faut-il différer ou reporter pour préparer et servir un meilleur plat ?
– Faut-il continuer le processus de cuisine, en fermant les yeux et en se bouchant le nez, tout en sachant qu’il y a pourriture dans la nourriture ?
– Faut-il servir un plat empoisonné avec son lot d’intoxication et de victimes ou tout simplement, pas de pourriture dans la nourriture d’un jour aussi important ?
Pas de plat national sans poisson en bon état !

LE GRAND COUP DE THÉÂTRE

L’ironie de l’histoire, avec ses aptitudes et ses altitudes insoupçonnées, sait parfois, nous faire vivre un scénario inédit. Un grand coup de théâtre !
Tous les acteurs qui avaient très tôt alerté sur les anomalies du processus de cuisine et qui entre lettres, visites aux représentants de l’Union européenne et discours dans des vidéos très récentes, ont plaidé pour le report pour permettre à notre pirogue commune d’arriver à bord port dans les rives de la Démocratie en nous livrant des poissons de bonne qualité, tous, comme un refus de paternité, tirent le bouchon du ridicule jusqu’à l’indignation face à la décision actuelle du Président de la République.

Et pourtant, la graine de contestation d’une partie de l’opposition a tellement poussé que les élections ont été finalement repoussées. In extremis le Président de la République, père de la Nation a sauvé le Sénégal d’un plat empoisonné.
L’une des premières oppositions parlementaires, en toute responsabilité, s’était levée pour fustiger l’état du poisson.
Entre poissons et poisons, ce février a déjà changé de signe quelqu’un soit la nouvelle consigne acceptée et retenue !

CONSEIL CONSTITUTIONNEL ET ASSEMBLÉE NATIONALE.

Dans le beau jardin de la Confiance, l’insecte dévastateur le plus redoutable s’appelle “Doute”. Que faire quand l’inimaginable titille la réalité de certains faits dans le mauvais sens ?
Que faire quand l’arbitrage est accusé d’arbitraire et de corruption ? Que faire quand des manquements graves font légion dans le Contrôle des acteurs retenus ? Que faire quand le contrôle des signatures du parrainage citoyen conformément à la loi électorale est en souffrance ?
Que faire quand des candidats reconnus sont accusés d’être détenteurs d’autres nationalités, de non maîtrise de la langue officielle etc ?
Que faire quand la Confiance n’est plus ?

RÉCRIMINATIONS ET DISCRIMINATIONS QUE RETENIR ?

Et si le cas Wardini n’était que la tête visible d’un iceberg de manquements ?
Tout manquement dans le contrôle d’un seul point des critères d’éligibilité ne saurait être un simple détail mais est de taille pour acter de la légèreté, de l’incapacité ou de l’incompétence de ceux-là dont le niveau de responsabilité ne donne pas droit à l’erreur !
Que faire quand le visa de la recevabilité est obtenu sans être un ayant droit ?
Peut-on ou doit-on continuer avec un arbitrage qui nous montre dès le départ des limites dans sa mission de contrôle ?

L’article 29 de la Constitution sur la vérification du parrainage a-t-il été réellement respecté ? L’article 28 a-t-il été bien respecté ?
Que faire quand l’inimaginable titille la réalité de certains faits avec leurs méfaits ?

Jamais dans notre histoire politique contemporaine, le Conseil constitutionnel n’a été aussi ouvertement et vertement accusé. Des accusations gravissimes dans un contexte de circonstances aggravantes avec le cas Wardini, dans un contexte où certains vont jusqu’à accuser l’informaticien du Conseil, d’autres parlent de conflits d’intérêts ou de triple nationalité et de manque de quitus fiscal etc. Que dire du cas Khalifa Sall ?

Comme si le candidat de la majorité présidentielle est devenu la proie facile des accusateurs entre double nationalité, manque de quitus fiscal et corrupteur de surcroît.

LA DÉCISION

Entre cision, cission et scission, la précision se cherche dans la décision pour essayer de supprimer la confusion.
Qui veut noyer le poisson ?

LA CRISE DANS SES RACINES.

Le cas Karim, le cas Diomaye et le cas Wardini n’ont cessé de susciter moult interrogations.

L’ère politique donne l’impression à un grand jeu d’échecs ! Un imbroglio dans l’échiquier ! Voltage de haute tension et malgré le câblage il y a toujours de l’électricité dans l’air !
Un jeu de haute voltige où quelqu’un comme cerveau et un groupuscule chercheraient à agir en amont pour accélérer la sortie du Roi. Ce groupe en silence agit pour torpiller les stratégies de Paix. Le Report, pour des intérêts personnels, ne les arrange pas. Le scénario actuel était très loin de leurs plans. Ceux-là oublient que le Plan de Dieu n’a pas d’adversaire !

Par définition respect doit être donné à toutes les institutions de la République conformément à leurs titres, rangs et grades mais aussi respect à la présomption d’innocence en toutes circonstances.

Mais que peut-on attendre d’un avis dans un contexte où certains membres sont accusés de corruption par une partie de l’opposition ?
Certains peuvent penser à un règlement de comptes ou à de l’autoprotection.

L’idéal aurait été de pouvoir donner son avis sans avoir de contentieux avec aucune partie concernée.

Même si arrimé d’accusations ne signifie pas être animé de réglages de compte. La présomption d’innocence en toutes circonstances !

Le Conseil constitutionnel dans son contenu est hors de portée de tout règlement de comptes mais en dernier ressort le Président de la République peut, s’il le juge opportun, faire appel à l’article 52 de la Constitution.
Le Président Abdoulaye Wade en son temps avait usé de la dissolution concernant le Craes avant de créer une autre institution conforme aux exigences du moment. Le Sénat avait subi le même sort.
Ce conseil constitutionnel est-il à la hauteur de sa mission de contrôle et de sélection pour les acteurs retenus ?

Entre “contes et règlements de comptes” quelqu’un sait se mettre au-devant de la scène, non pas au nom de la République mais au nom de la Réplique pour défendre l’honneur du frère.

LOYAUTÉ, LOYAUTÉ OÙ ES-TU ?

Je respecte tous ceux qui assument ouvertement leurs positions en démissionnant. Certains hypocrites préfèrent faire leur mue selon la météo politique alors que d’autres sont pressés de vivre une nouvelle alliance politique tout en restant dans le même label.
Entre fissures et déchirures les rats de la trahison cherchent leurs chemins !
Que tous les militants engagés et sincères continuent de soutenir le Président Macky Sall.
C’est regrettable de voir des individus, qui ont tout obtenu du Président Macky Sall, nous montrer si prématurément un autre visage très compatible avec la trahison pendant que d’autres même frustrés continuent de faire vivre leur engagement.

LES RÉCRIMINATIONS

Que faire si réellement il y a manquements dans le contrôle ou s’il y a des faits de non application de la loi électorale concernant les critères d’éligibilité des candidats dans toute son entièreté ? Que faire quand l’impartialité devient parcellaire ou sélective ?

Les récriminations des candidats dits “spoliés” qui se croient victimes de discriminations vont bon train.

Le traitement des critères d’éligibilité des candidats a-t-il été réellement conforme à la loi ?
Entre légèreté et défaillances, doit-on disqualifier l’arbitrage et améliorer nos lois ?
Jamais un conseil constitutionnel n’a été amené directement ou indirectement à s’auto-juger car ici, il s’agit comme le Chef de l’Etat l’avait dit ou prédit “d’une crise entre les 2 institutions qui va malheureusement au-delà.’’

L’autre jour, l’Assemblée nationale, conformément à ses lois et règlements, avait joué sa partition après des accusations de corruption concernant certains membres du Conseil… Obligeant la coalition BENNO BOKK YAKAAR à s’unir avec une partie de l’opposition pour laver l’honneur du candidat choisi par le Président Macky Sall, je veux nommer le Premier ministre candidat Amadou Ba. Une procédure de l’enquête parlementaire déclenchée qui se voit stopper nette par la procédure judiciaire déjà enclenchée.
Aujourd’hui c’est au tour du Conseil Constitutionnel.

Le Président Macky Sall, Président de la République clé de voûte des institutions, continuera de jouer son rôle. Il est le gardien de la Constitution, garant du bon fonctionnement de toutes nos Institutions.

 

SUR L’ANNULATION DU REPORT, TOUT EN ACTANT DE SA RAISON D’ÊTRE.

En première lecture, la décision du Conseil Constitutionnel atteste de la vitalité de l’exercice de la séparation des pouvoirs et c’est à l’honneur de l’Etat de droit, c’est à l’honneur de notre cher pays et c’est à l’honneur du Président Macky Sall, conformément à ses prérogatives avec le Président de l’Assemblée nationale ont choisi les membres du Conseil Constitutionnel.

Les membres du Conseil constitutionnel sont par définition des plus que juges. Ils ont le titre, oh combien important et significatif juridiquement et culturellement, de ’’Sages’’.
Le Président de la République Macky Sall reste le maître du jeu.

Dans le contexte actuel tous les attributs du Président de la République épousent tous leurs sens. Le Président Macky Sall est le père de la Nation, il est le garant de notre stabilité nationale, il est le protecteur de notre patrimoine culturel et cultuel, il est le chef suprême des armées, chef supérieur de la magistrature etc. Et aucun superlatif n’est de trop pour rendre à la station présidentielle tous ses attributs.
Faut-il dissoudre ce Conseil constitutionnel pour résoudre tous ses manquements ? Faut-il recomposer l’écosystème du Conseil Constitutionnel, faut-il repenser les mécanismes de contrôle du Conseil Constitutionnel en les outillant davantage ?
Il est clair que l’un de nos bâtiments de la Démocratie mérite d’être dépoussiéré ou mieux d’être rénové ou reconstruit.

L’article 52 permet au Président de la République de faire tous les réglages nécessaires pour mettre de l’ordre dans le bon fonctionnement de toutes nos institutions.

Seul le Président Macky Sall, dans le respect du champ de pouvoir de chaque institution, a compétence à convoquer le corps électoral.
Avant de prendre la décision portant annulation du processus électoral, le Président Macky Sall a consulté tous les Présidents d’institutions ainsi que le Président du Conseil Constitutionnel et le Premier ministre.

Ainsi il a sauvé in extremis le Sénégal d’une “parodie d’élection”.

Ne l’oublions pas, le Président Macky Sall a eu raison : entre le Conseil constitutionnel et l’Assemblée nationale il y a crise.
Les candidats qui se sentent spoliés avaient -ils raison ?

L’homme qui représente le Sénégal dans son entièreté, dont les initiales figurent sur le drapeau, saura, avec sa clairvoyance légendaire, prendre la meilleure décision pour que la station présidentielle garde toute sa dignité pour l’honneur du Sénégal.

S’il est vrai que nous continuons à lui faire confiance, continuons alors à le soutenir.

DIALOGUONS !

Le dialogue ou concertation nationale pour une réconciliation nationale, avec les forces vives de la Nation, est l’une des meilleures voies de stabilité et de Paix.

Le Dialogue est un médicament à la fois préventif et curatif qui a toujours existé dans notre ordonnance commune de Paix, de Santé, de Stabilité et de prospérité. Rien ne vaut la bonne santé de la Paix !
Le Président Macky Sall a toujours été un vaillant militant de la Paix. Il a toujours cru aux vertus du Dialogue.

Le Pardon est un don important pour celui qui croit aux vertus du Dialogue. Les guerres ou les guéguerres ne peuvent pas assurer la pérennité d’un développement économique social et environnemental. Il nous faut faire preuve de dépassement pour affronter tous les défis inhérents à la vie et à l’évolution de notre cher pays. Dans la résilience mais surtout dans la semence de la Paix, le champ de l’émergence assure sa bonne germination et son développement durable. Au nom de l’intérêt supérieur de la Nation aucune concession n’est de trop pour nourrir la Paix.
Oui concertation nationale pour une réconciliation nationale !
Oui pour des élections présidentielles inclusives avec égalité de traitement pour tous.

D’un camp à un autre il y aura toujours des attiseurs de feu qu’il faut savoir contenir. Ceux-là conformément à leur statut de vautours et d’oiseaux de mauvais augure feront tout pour essayer de torpiller les fils ou ponts du Dialogue.

LE REPORT D’UNE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE EST-IL CONTRAIRE À LA DÉMOCRATIE ?

Doit-on aller vers une parodie d’élections présidentielles au nom de cette fameuse formule “respect du calendrier républicain” ?
Ou devrons-nous, nous donner le temps de la réflexion, dans un climat apaisé où les règles du jeu seront respectées avant d’aller vers des élections ?
Devons-nous, au nom du calendrier républicain, faire fi des manquements gravissimes comme la discrimination dans le traitement des critères d’éligibilité. L’éligibilité ne saurait être, en aucun cas personnalisé, selon la tête du candidat car la loi est impersonnelle mais elle est générale et applicable pour tous sans distinction discriminatoire aucune. Que vaut un calendrier républicain sans le respect du droit, et du droit de tout un chacun ? Ce que nous attendons de tout homme de droit, au-delà d’être droit, c’est d’appliquer le droit.

Dans l’histoire politique du Sénégal c’est la première fois que pareille situation se présente à quelques encablures du début de la campagne.

C’était une obligation historique pour le Président Macky Sall d’arrêter le processus électoral et de tout reprendre.
Le Sénégal sera-t-il le premier pays au monde à reporter des élections présidentielles ? Le bien-être de la Démocratie vaut tous les sacrifices. Il faut cesser les artifices.
Pour des accusations aussi graves, tout sénégalais épris de paix et de justice doit exiger que lumière soit faite.
Quand des manquements graves font légion dans le processus, quand des membres du Conseil constitutionnel sont accusés, quand le candidat officiel de la majorité présidentielle est aussi gravement accusé d’être le corrupteur, l’interrupteur de la Raison doit agir dans le but de prendre contact avec la lumière.

Le Président Macky Sall, Président de la République, Président de tous les Sénégalais, a obligation de tout faire pour que la lumière soit apportée. Il y va de l’avenir de notre coalition certes mais il y va surtout de la sécurisation et de la pérennisation des fondements de la République.

REPORT OU RÉFÉRENDUM

Le Report n’est pas un référendum pour ou contre le candidat de notre coalition, le Premier Ministre Amadou Ba. Continuons à ne chercher aucune variable à la loyauté. La dualité ne peut pas exister. C’est le Président Macky Sall qui a nommé et choisi le candidat Amadou Ba. Continuité et dualité ne peuvent pas aller de pair. Ensemble nous devons être à l’écoute du Président Macky Sall.
Le Président Macky Sall, Président de notre parti et de notre coalition continue sa conjugaison dans le temps présent. Que les semeurs de confusion arrêtent leurs manies ou manigances. Des esprits malintentionnés tentent diversement de mettre la pression sur la station présidentielle pour des intérêts crypto personnels. Certains membres de la société civile sont des politiques en civils pour mieux cacher leurs connexions douteuses.
Nous devons tous soutenir sans réserve le Président Macky Sall !

Rien ne vaut un mauvais départ pour des élections aussi importantes à savoir les élections présidentielles.
Fermer les yeux c’est accepter de marcher à l’aveuglette dans le noir.
Dans de telles circonstances que l’accueil choc du mur ne surprenne personne.

Que vaut l’heure quand il y a leurres ? Nous ne devons pas être en panne de clairvoyance.
Nous ne pouvons que prendre acte des décisions du 20 janvier et du 15 Février du Conseil Constitutionnel tout en sachant que le Pouvoir constituant de l’Assemblée nationale demeure et reste inviolable. Il ne reviendra jamais au Conseil Constitutionnel, en l’état actuel de nos textes, de régir ou d’agir sur la conception de nos lois. Il lui revient d’appliquer ou de faire appliquer.

LE SACRIFICE AU NOM DE L’HONNEUR DU SÉNÉGAL, PRÉSIDENT MACKY SALL JARAMA

L’éternité de la vie sur terre n’existe pas et ne saurait exister sur ce que l’homme fait vivre. Aucune fonction, aucune mission ou même aucune profession sur terre n’est éternelle.
Le Président Macky Sall sait, qu’un jour il aura un successeur conformément à l’hymne de la vie. La singularité du contexte fait qu’il sera le premier Président de la République à organiser des élections sans faire partie des candidats en lice.

Entre la frénésie des empressés et celle des nostalgiques, il faut toujours la veillée de la Raison.

Pourquoi vouloir profiter d’un report pour tuer des fils de la Nation, pour brûler le pays, semer le chaos et détruire l’image de notre vitrine démocratique en voulant si vilainement porter un coup dur à l’honorabilité du Président de la République SEM Macky Sall et à l’honorabilité de notre cher pays ?

Avons-nous inventé la Démocratie ?
Sommes-nous le premier pays au monde à reporter des élections présidentielles ?
Donc pourquoi vouloir coûte que coûte, vaille que vaille fermer les yeux sur tous les manquements en amont au nom de cette fameuse formule “Respect du Calendrier Républicain’’ ou ‘’Respect du Calendrier Électoral ‘’ ?

Fermer les yeux c’est accepter volontairement l’accueil d’un mur. Il ne faut pas accepter de marcher les yeux fermés alors qu’il est grand temps de les ouvrir !

NOTR SOUVERAINETÉ NATIONALE N’A PAS DE SUPÉRIEUR HIÉRARCHIQUE.

Conformément à l’intégral de notre hymne national, le Sénégal croit à l’union africaine et à toute forme d’intégration ou de coopération mais il n’a jamais renoncé à sa souveraineté nationale et à son indépendance en tant que État libre et libre de ses choix.
Que les médias occidentaux sachent que notre souveraineté nationale n’est pas attachée à leur bon vouloir. Le Sénégal n’a pas de leçons de Démocratie à recevoir ni de la France ni des États-Unis ni d’aucun autre pays encore moins de la sous-région. Leurs propres histoires lointaines ou récentes doivent leur servir de bréviaire et de leçons d’observations dans leur propre géographie avant de vouloir agir sur la géopolitique du monde !

Le niveau d’affirmation du Président Macky Sall dérange au plus haut point certains dirigeants du Monde. Les accords économiques comme militaires avec le Président Vladimir Poutine ne cessent de faire des jaloux.

Le Président Macky Sall a choisi la voie la plus difficile, celle de prendre sur lui, au nom de l’honneur du Sénégal.
Dans des débats oiseux, son nom est taxé de tous les noms d’oiseaux.
Entre son patrimoine d’honneur et d’honorabilité et celui du Sénégal, le Président Macky Sall a choisi le Sénégal.
Se sacrifier pour une cause n’est pas donné à n’importe qui, se sacrifier pour les autres, n’est pas donné à n’importe qui, se sacrifier pour le Sénégal n’est pas donné à n’importe qui !
L’héroïsme naît dans les moments désespérants.
Entre l’égoïsme et l’héroïsme vous avez choisi le dernier ! Assurément vous avez le Sénégal au cœur !

Conformément à notre hymne national dans ses derniers couplets, le Président Macky Sall nous a montré, si besoin en était encore, qu’il a ‘’le Sénégal au cœur”

“Sénégal, nous faisons nôtre, ton grand dessein : Rassembler les poussins à l’abri des milans, pour en faire de l’est à l’ouest, du nord au sud, dressé un même peuple, un peuple sans couture, mais un peuple tourné vers tous les vents du Monde.”

Que vaut l’heure quand il y a leurres quelque part ?
La véritable lueur d’espoir reste dans les fruits succulents de l’arbre du Dialogue au nom de la Paix et de la stabilité nationale.

Que chacun de nous sache aussi, que l’eau qui doit éteindre un incendie n’a point besoin d’être propre.

Seul le feu du Dialogue peut être vert et verdoyant car tout autre feu est destructeur.
A l’interne, il faut se débarrasser des ternissures qui bloquent et plombent la Paix sociale.
Nous sommes dans l’aube d’un nouveau matin grâce aux performances du Plan Sénégal Emergent. Préservons les acquis.

Dans le pardon et la réconciliation nationale pour un Sénégal de Paix et de prospérité, se trouvent le salut de tous.
Notre chère pirogue n’a pas besoin de pagaie sur fond de pagaille.
Un digne fils du pays ne saurait dire non à l’appel de la Nation.
Oui pour les compromis et non contre les compromissions !
Que la République reste toujours debout malgré le dégoût de ses fossoyeurs !
Quand des trouillards fuyards sont accueillis en héros, le brouillard d’un monde à l’envers doit cesser malgré le vent de décrispation qui souffle ! Entre accueillir et cueillir l’Etat doit avec son savoir-faire, faire la différence.

 

 

LE REPORT

Le Report n’a de sens que s’il permet de repartir sur de nouvelles bases. Les crises sont source d’améliorations des textes qui nous régissent. En effet c’est dans les périodes de crises que les manquements ou vides juridiques se font mieux voir.
Nos lois et règlements sont l’émanation de nos aspirations exprimées par referendum ou par des projets ou propositions de lois votées et promulguées dont les juges sont tenus d’appliquer ou de faire appliquer.

Le Sénégal est libre de changer ses lois quand le contexte des fruits du Dialogue l’exprime et l’imprime.

Entre un report de date annulé pour en acter un autre sine die appelé “meilleurs délais”, le Président Macky Sall, au nom de notre ordonnance commune de bien être à savoir le Dialogue aura la mission d’organiser les élections présidentielles. Le scrutin fait partie de l’avant dernière ligne droite dans l’organisation.
Je suis pour une refonte du processus électoral avec de nouveaux critères d’éligibilité des candidats, un nouveau filtrage du parrainage dans une démarche inclusive sans discrimination aucune.

La dernière liste des candidats aux élections présidentielles était valable pour les élections présidentielles du 25 Février 2024.
Cette liste me paraît caduque même si le besoin de réanimation peut consister cette fois-ci à ne pas mettre de date ! A défaut d’être supprimée la liste doit être complétée.

Conformément à la Constitution du Sénégal, le Président Macky Sall a l’obligation de “rester jusqu’à l’installation de son successeur”.
Même si le champ d’organisations des élections présidentielles dépasse le 02 Avril, la Constitution lui donne le droit de rester jusqu’à l’installation de son successeur ! Ceux qui croient qu’au-delà du 02 Avril le Président de la République n’est plus Président de la République n’ont qu’à se conformer à la Constitution !
C’est en cas de vacance que le Président de l’Assemblée nationale pourra assurer l’intérim. En cas de non élection ou d’absence de successeur le Président de la République en exercice continue d’assurer pleinement ses fonctions. Il n’y a pas lieu de vouloir faire agir l’idée de vacance à partir du 02 Avril alors que nenni.

SUR NOTRE CANDIDAT AMADOU BA

Le Président Macky Sall nous a choisi un bon profil en l’occurrence Amadou Ba. Le Premier ministre Amadou Ba a toujours donné satisfaction au Président de la République Macky Sall au regard de toutes les fonctions occupées. Mais aujourd’hui ma préoccupation ne va épouser l’analyse de certains qui pensent que la fonction primatoriale ne peut pas porter préjudice au candidat à la présidentielle car des présidents de la République candidats vont aux élections sans démissionner de leurs fonctions. Ne confondons pas acquisition et consolidation. Dans notre pays tous les précédents Présidents de la République et même l’actuel à l’exception du Président Diouf ont été, en temps de conquête du pouvoir, sans fonction Étatique. Cela permet au candidat conquérant d’avoir le temps de se consacrer davantage dans l’agenda politique et surtout à avoir un contact direct avec les militants et sympathisants. Etre Premier ministre et candidat en même temps, acte de fait l’inaccessibilité et la non disponibilité. Sans pacte direct avec certains militants pour mieux impacter sur l’adhésion et la cohésion source inestimable d’engouement pour la vie des supports politiques sans cette ouverture la fluidité va poser problème. Comment peut-on dans cette période en tant que primo- candidat être aussi inaccessible ou même plus inaccessible que le Président de la République ?
Les premiers ministres non candidats étaient toujours disponibles, un candidat à l’élection présidentielle doit se donner les moyens d’être disponible !

Généralement ceux qui vous soutiennent ont eu un lien ou contact direct avec vous. Monsieur le candidat de notre coalition votre rôle de rassembleur gagnerait à prendre du relief pour dissoudre ou résoudre certains griefs.
Aidez-nous à mieux vous aider. Pour le bien de la coalition. Soyez accessible pour recevoir et disponible pour aller vers les gens.

SUR LE CAS KARIM WADE
Que peut-on contre la biologie ou les gènes de naissance ?
Avec ou sans décret Karim Wade est totalement sénégalais et il est aussi totalement français. Le “ou” n’a pas sa raison d’être. Il ne s’agit pas de nier ou de renier !
Il nous faut repenser nos lois quand l’esprit n’est pas conforme à la lettre.
Karim Wade l’endurant mérite, au nom du bien-être de la Démocratie, d’être candidat aux élections présidentielles.
Que le franc jeu se fasse vivre pour des élections présidentielles inclusives et transparentes au nom de la Démocratie !

Que Dieu continue sa bonne guidance sur le Sénégal et sur le Président Macky Sall,
Permettez la singularité.

Président Macky Sall, mon Président, vous êtes un Présent de la République pour la République. Hier encore vous, nous avez nourri de fierté et d’honneur.
Vous avez la chance d’être Macky Sall nous avons la chance d’avoir Macky Sall !
Vous faites l’honneur et le bonheur du Sénégal !
Jarama !
Président Macky Sall
Que la faveur de Dieu soit toujours en vous et en votre famille.

Vive le Dialogue
Vive la République
Soleil sur nos terreurs
Soleil sur notre Espoir

Paix et Émergence en chacun de nous

Sénégal Sunugal

Soukeyna Fall Alliance pour la République

 

 

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Abdoulaye Khouma (Apr) – Toussaint Manga est-il saint d’esprit ? https://actunet.net/actualite/abdoulaye-khouma-apr-toussaint-manga-est-il-saint-desprit/ https://actunet.net/actualite/abdoulaye-khouma-apr-toussaint-manga-est-il-saint-desprit/#comments Thu, 12 Jul 2018 22:42:16 +0000 http://actunet.net/?p=130699 Responsable de l’Alliance pour la République, Abdoulaye Khouma est d’avis que la dernière conférence de presse des responsables du Parti démocratique Sénégalais (Pds) montre que l’épreuve de l’opposition n’a pas permis à ces libéraux de changer. Car ils sont toujours dans la culture de la violence et dans la violation de la loi. “Sans se […]]]>

Responsable de l’Alliance pour la République, Abdoulaye Khouma est d’avis que la dernière conférence de presse des responsables du Parti démocratique Sénégalais (Pds) montre que l’épreuve de l’opposition n’a pas permis à ces libéraux de changer. Car ils sont toujours dans la culture de la violence et dans la violation de la loi. “Sans se gêner, ils appellent au vandalisme lors de la prochaine campagne électorale. Parce que tout simplement, leur volonté de faire passer un voleur traqué, arrêté et condamné à une peine interdisant à l’administration de l’inscrire sur les listes électorales conformément au code électorale n’est pas exhaussée” déplore Abdoulaye Khouma qui s’insusrge contre les positions affichées par Toussaint Manga.

“Nous mettons en garde ce Toussaint Manga, loin d’être saint d’esprit, qui annonce qu’ils ne laisseront personne organiser un meeting si leur repris de justice de candidat ne participe pas à la présidentielle. Que l’opinion publique et les acteurs sérieux de l’arène politique le sachent, ce pur produit de lobbys  dangereux ne peut même pas perturber un thé débat devant son domicile à fortiori un meeting de la majorité présidentielle au pouvoir. S’il considère qu’il a été assez gavé avec les milliards en provenance du voleur de Doha au point de croire qu’il peut défier la République en programmant de porter atteinte à l’ordre public, il se trompe lourdement. Comment quelqu’un qui a trahi ses camarades étudiants, trompé la vigilance de ses compagnons de parti et infiltré par la petite porte les sphères de décision de sa formation politique peut-il embarquer les Sénégalais dans une spirale de violence ? Que Toussaint arrête… Parce que sa sortie est une déclaration de guerre qui recevra une réplique à la mesure de ses attaques” assure le responsable de l’Alliance pour la République.

Abondant dans le même sens, ilbat en brèche les arguments affichés par le leader du parti Pastef. “Que dire de Ousmane Sonko, qui est interdit d’entrée aux Etats-Unis pour ses penchants en faveur du radicalisme. Pense-t-il pouvoir convaincre les populations dont la tradition confrérique, disciples de Serigne Touba, d’El Hadji Malick Sy, de Baye Niasse, de Mame Limamou… dans ses croyances dangereuses et douteuses. A son sujet, nous appelons les autorités en charge de la sécurité nationale d’être plus regardant par rapport à l’origine du financement de ses activités politiques. Il  y’a quelques mois seulement, il déclarait n’avoir qu’une somme de 800 000 francs dans son compte, où est-ce qu’il trouve aujourd’hui les moyens d’effectuer des tournées et de réunir sa caution pour la prochaine présidentielle. Qu’ils se le tiennent pour dit, quelqu’un qui ne peut pas réunir quelque milliers de sénégalais ne peut plus être candidat à la présidentielle” ajoute Abdoulaye Khouma.

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Apr – «La réélection tributaire d’un bon management du personnel politique» https://actunet.net/actualite/apr-au-dela-du-bilan-la-reelection-tributaire-dun-bon-management-du-personnel-politique/ https://actunet.net/actualite/apr-au-dela-du-bilan-la-reelection-tributaire-dun-bon-management-du-personnel-politique/#comments Thu, 21 Jun 2018 14:17:47 +0000 http://actunet.net/?p=128947 Responsable de l’Alliance pour la République au niveau du département de Dakar, Abdoulaye Doumbia est de ceux qui prédisent une victoire au premier pour le président Macky Sall en février 2019. Une victoire que le susnommé devrait essentiellement à un bilan positif, mais aussi à sa  «largeur de vues vis-à-vis du champ politique sénégalais». «Nous […]]]>

Responsable de l’Alliance pour la République au niveau du département de Dakar, Abdoulaye Doumbia est de ceux qui prédisent une victoire au premier pour le président Macky Sall en février 2019. Une victoire que le susnommé devrait essentiellement à un bilan positif, mais aussi à sa  «largeur de vues vis-à-vis du champ politique sénégalais».

«Nous nous acheminons vers des élections complexes mais nous avons un candidat qui a ses réelles chances en 2019. Je pense tout haut que le président de la République fait des réalisations remarquables pour ce pays depuis son accession à la magistrature suprême en 2012. Il y a des avancées significatives dans tous les secteurs d’activité malgré les remous.  J’ai l’habitude de dire qu’un bilan, aussi positif soit-il, ne permet pas de réélire, à lui tout seul, un président de la République. La réélection est aussi tributaire d’un bon management du personnel politique ; et je pense que, dans les deux cas de figure, le président est en train de tirer son épingle du jeu malgré les remous. D’autant plus que c’est la première fois dans l’histoire politique du Sénégal qu’une aussi grande coalition que la coalition Benno Bokk Yaakaar porte une candidature. Il faudrait cependant, au plan communicationnel, rectifier le tir pour permettre à la population dans sa globalité de s’approprier les réalisations du président Macky Sall. Surtout les primo votants. Car le bien-fondé de l’action du chef de l’Etat est parfois chahuté, à tort, par des manquements à ce niveau» laisse entendre Abdoulaye Doumbia.

Poussant l’analyse, le chargé de la communication de la Convergence des jeunesses  républicaines (Cojer) Yoff  estime notamment que «le  président de la République doit être positionné comme un produit marketing, avec une segmentation et un message en phase avec  les différentes couches de la population : les jeunes, les femmes, le monde rural, les intellectuels… Au-delà de relayer les informations sur son agenda, il faut établir toute une organisation proactive pour ne pas diluer l’essentiel dans des arguties politiciennes et contreproductives en faisant le jeu de l’opposition. De la même manière, en terme d’image de marque, le chef de l’Etat devrait être davantage préparé pour que ses prises de parole publiques ne donnent lieu à des interprétations qui éloignent le débat public de sa vocation première» ajoute Abdoulaye Doumbia.

 

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