Les nombreux fumigènes craqués lors du huitième de finale retour de Ligue des champions entre le PSG et le Real Madrid, le 6 mars dernier, n’ont évidemment pas échappé à l’UEFA. Quatre charges pèsent sur le club parisien, déjà rappelé à l’ordre à l’automne dernier.

Certes, les fumigènes font toujours leur petit effet dans un stade mais ils sont aussi et surtout totalement proscrits ! Les quelque 150 engins pyrotechniques craqués le 6 mars dernier au Parc des Princes lors du huitième de finale retour de C1 entre le PSG et le Real Madrid ont ainsi fait forte impression, c’est une certitude. Comme il est certain que le club de la capitale va payer cher l’indiscipline de ses supporters, lesquels “assument complètement” cet embrasement si l’on en croit les propos du président du Collectif Ultras Paris relayés la semaine passée par Le Parisien.

L’UEFA, qui n’a pas manqué d’ouvrir une procédure disciplinaire à la découverte de ce spectacle, a d’ores et déjà relevé quatre points d’infraction sujets à sanctions. “L’utilisation d’engins pyrotechniques“, bien sûr, qui a contraint l’arbitre de la rencontre M. Brych à interrompre brièvement les débats deux fois, aux 48e et 72e minutes. Mais aussi “l’utilisation de pointeur laser“, “une obstruction d’escaliers” et une “organisation insuffisante“. Deux dernières charges notifiées alors que des stadiers n’ont pas pu intervenir en tribune et qu’un barrage de sécurité a été forcé à l’entrée du virage Auteuil ce soir-là.

Si les premiers points devraient être synonymes pour le PSG de forte amende – à raison de 500 euros minimum par engin pyrotechnique, soit une enveloppe globale de 75 000 euros – les deux autres pourraient pousser la Commission de discipline européenne à sévir sérieusement. D’autant que le club parisien avait déjà écopé d’une amende de 40 000 euros pour usage de fumigènes à l’occasion de la visite du Bayern en septembre dernier. Pour un excès d’engins pyrotechniques lors d’une affiche continentale contre Cologne, l’Etoile Rouge de Belgrade a récemment écopé d’un match à huis clos partiel. Une fermeture du virage Auteuil – voire davantage – pour la première sortie du PSG en Ligue des champions la saison prochaine n’est donc pas à exclure. Au printemps 2005, l’Inter Milan avait pris un huis clos de six matches, dont deux avec sursis, plus 200 000 euros d’amende pour un quart de finale retour de C1 gâché face à l’AC Milan. A l’époque, le match il est vrai n’avait pu aller à son terme et les Nerazzurri avaient en prime encaissé un revers 3-0 sur tapis vert.

Lire la suite sur Sport.fr

Bien déterminé à recruter Neymar lors du prochain mercato estival, le Real Madrid serait prêt à débourser 400 millions d’euros pour convaincre le PSG de laisser partir son attaquant vedette.

L’hiver n’est pas encore terminé et le feuilleton Neymar bat déjà son plein. La faute à sa blessure au pied droit et à l’élimination du PSG face au Real en huitième de finale de la Ligue des champions qui ont fait basculer la saison des Parisiens et de leur attaquant vedette. Et pour la presse madrilène, cette saison pourrait déjà être la dernière du Brésilien dans la capitale. A condition néanmoins que le Real Madridaccepte de casser sa tirelire.

Car un an après avoir déboursé 222 millions d’euros pour arracher Neymar au Barça, le PSG pourrait se laisser convaincre de le laisser partir si le Real proposait quelque 400 millions d’euros. C’est tout du moins ce que penserait l’entourage du capitaine de la Seleçao, son père en tête. Et à en croire AS, ces 400 millions d’euros ne seraient pas de nature à effrayer les dirigeants madrilènes.

Isco sacrifié ?

En premier car les Merengue disposent d’un véritable trésor de guerre. Grâce à leurs deux victoires en Ligue des champions ces deux dernières années et à des campagnes de recrutement des plus sages, que ce soit par choix ou par obligation, le Real ayant notamment été interdit de recrutement pendant un an, le Real disposerait de 200 millions d’euros dans ses caisses. Pour le reste, les Madrilènes sont décidés à bouleverser leur effectif et notamment à tourner la page de la BBC.

Lire la suite sur Sport.fr

Le 200e derby d’Angleterre entre Manchester United et Liverpool a tourné en faveur des Red Devils (2-1), samedi à Old Trafford, en ouverture de la 30e journée de Premier League.

Samedi noir pour les Reds. Liverpool a peut-être effectivement perdu (très) gros, à Old Trafford. A la lutte avec Manchester United pour la deuxième place de Premier League, les joueurs de Jürgen Klopp ont non seulement abandonné trois points précieux dans ce 200e derby d’Angleterre de l’histoire (2-1), mais ils laissent à Tottenham, en déplacement dimanche sur la pelouse de Bournemouth, l’occasion de les éjecter du podium à l’issue de cette 30e journée de championnat.

Cela serait cruel vu la saison réalisée jusqu’ici par le LFC, qui restait d’ailleurs avant ce choc sur sept matches consécutifs sans défaite toutes compétitions confondues. Mais il y a des rendez-vous à ne pas manquer. Celui-ci en était un et le club de la Mersey l’a raté, notamment en première période. Dépassés d’entrée, à l’image d’une défense aux abois, les Liverpuldiens ont cédé après moins d’un quart de jeu sur une percée côté gauche d’un intenable Marcus Rashford.

Rashford voit double

Suite à une déviation de la tête de Romelu Lukaku, le jeune attaquant anglais s’est infiltré et a conclu son effort par un crochet et une superbe frappe au deuxième poteau (1-0, 14e). Chirurgical. Et dix minutes plus tard, c’est encore lui qui a dynamité l’arrière-garde adverse pour le but du break (2-0, 24e). L’absence au milieu de Paul Pogba, dont le forfait a été annoncé dans la matinée, n’a pas eu l’air de trop perturber des Red Devils plus entreprenants et conquérants.

Lire la suite sur Sport.fr

Chelsea n’a pas renoncé à conserver Éden Hazard malgré l’intérêt poussé du Real Madrid.

Neymar, Harry Kane, Robert Lewandowski, Eden Hazard, Mauro Icardi… A en croire les différentes rumeurs autour du Real Madrid, les joueurs susceptibles de renforcer les Merengue et d’aider à tourner la page de la BBC sont nombreux. Certaines pistes semblent toutefois plus solides que d’autres.

Si l’arrivée de Neymar, un an seulement après avoir vu le PSG débourser 222 millions d’euros pour le recruter, apparaît illusoire, celle d’Eden Hazard est autrement plus envisageable. Et pas seulement parce qu’à l’instar de Robert Lewandowski, son nom est évoqué depuis plusieurs étés du côté du Real Madrid. Récemment interrogé sur le sujet dans Téléfoot, l’intéressé n’a d’ailleurs pas exclu un départ. “On sait que tout peut aller vite dans le foot comme il peut ne rien se passer. Ça fait quelques années qu’on parle de moi, quand ce n’est pas Paris c’est le Real et quand ce n’est pas le Real, c’est Paris. Mais si je dois changer, je changerai”, a-t-il ainsi affirmé, prenant néanmoins soin d’ajouter “Je suis très heureux à Chelsea” ou encore “je donnerai le maximum pour Chelsea le temps que je serai là.”

Lire la suite sur Sports.fr

Offensivement, il n’y a pas mieux que le PSG cette saison en Europe.

Encore auteur d’un joli carton à Sochaux (1-4), mardi soir en huitièmes de finale de la Coupe de France, le PSG est redoutable d’efficacité cette saison. Les chiffres sur son réalisme offensif en 2017-2018 sont impressionnants. Seul Montpellier a su résister à son armada (0-0), le 23 septembre dernier.

Selon Opta, Edinson Cavani, Neymar et leurs coéquipiers ont inscrit 125 buts depuis le début de l’exercice. Dans les cinq grands championnats européens (Premier League, Liga, Bundesliga, Serie A, Ligue 1), aucune autre équipe ne fait mieux que le club de la capitale, Manchester City culminant à 102 buts.

Lire la suite sur Sport.fr