Voici comment s’est opérée la plus plus grande acquisition de tous les temps  dans le secteur africain des assurances.  

La prise de contrôle  de Saham Finance,   pôle assurance du groupe Saham,  était somme toute prévisible. Car, depuis deux ans, le groupe sud-africain était parvenu à se hisser à un niveau de 47% du capital, suite à une acquisition de deux temps.  Par conséquent, l’on s’attendait à un passage au delà de 50% mais pas à une prise de contrôle totale.

Le 7 mars, Sanlam a pris tout le monde de court en annonçant avoir acquis 53% supplémentaires, soit 100% de ce pôle Assurance qui s’étend dans 26  pays, réalise un chiffre d’affaires de 1,2 milliard de dollars, soit 65% de celui de Saham Group.  Il faut le dire, l’affaire a pris de  court tout le top management. 

Nadia Fettah, la directrice générale de Saham Finance, qui ignorait tout de l’histoire, a été informée à 6 jours de l’opération. Convoquée à Rabat par Moulay Mhamed Elalamy , directeur du pôle Maroc du groupe et par Moulay Hafid Elalamy, fondateur de Saham, maintenu loin des affaires par sa fonction de Ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Numérique cumulé à celle de président de la candidature marocaine à l’organisation de la Coupe du monde 2026, celle qui incarne théoriquement l’image du groupe tombe des nues quand elle est informée par le père. «Nous cédons tout, y compris le Maroc». 

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Organisé par la Fédération Marocaine des Sociétés d’Assurances et de Réassurance et placé sous Le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu l’assiste, la 5ème édition du rendez-vous de l’assurance a démarré le 4 avril sous le thème majeur de la «disruption».

La Tanzanie est le pays invité d’honneur. Les organisateurs font état de
1000 participants représentant une trentaine de nationalités.

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Etats généraux de l’assurance: Comment créer de la valeur pour les consommateurs de l’assurance vie ?
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L’assureur français Axa vient d’annoncer l’acquisition du groupe américain XL, spécialiste de l’assurance dommages des entreprises, faisant de lui le numéro 1 mondial de l’assurance. La transaction est estimée à environ 15,3 milliards de dollars.

Selon le communiqué d’Axa daté de ce lundi 5 mars, le groupe français va s’offrir 100% du capital du groupe XL dans le cadre d’une transaction qui devrait être finalisée au cours du second semestre 2018. Une fois l’opération bouclée, l’assurance dommages deviendra la principale activité d’Axa.

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La proximité commence à prendre le dessus dans l’organisation des compagnies d’Assurance au Mali. Au niveau des villes et surtout dans la capitale, Bamako, on assiste  à une décentralisation des sociétés. Le secteur offre, en l’occurrence, deux paquets de services que sont : l’Assurance Vie et l’Assurance Non Vie. L’Assurance Vie est un produit nouveau, tandis que l’Assurance Non Vie est répandue dans le pays depuis des années.

Des retombées conséquentes pour le pays

Le Mali connaît une hausse du chiffre d’affaires du marché des Assurances depuis 2014. Selon les professionnels du secteur, le marché des Assurances a enregistré un chiffre d’affaires global de plus de 35 milliards de FCFA en 2015. En 2014, ce chiffre était à environ 32 milliards de FCFA, soit une progression de plus de 6% à l’intervalle de deux ans. Cette performance profite bien au pays dans la mesure où les compagnies d’Assurance injectent beaucoup d’argent dans l’économie malienne en plus des taxes et autres impôts. Selon le bilan 2015 communiqué en fin octobre 2016 par certaines compagnies, celles-ci ont injecté plus de 45,7 milliards de FCFA dans différents placements et investissements avec un niveau de payement des sinistres qui s’élève à 8,3 milliards de FCFA.

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L’Institution de coordination de l’assurance maladie obligatoire du Sénégal (Icamo) envisage, à travers un Plan de communication lancé vendredi à Dakar, instaurer une nouvelle ère dans la communication sur l’assurance maladie obligatoire pour une meilleure connaissance de la portée et des enjeux du système, a déclaré Cheikh Ousmane Diop, le président du conseil d’administration de cette structure.

“A travers cette stratégie de communication, l’Icamo compte instaurer une ère nouvelle dans les relations d’information et de communication entre les différents acteurs de l’Assurance maladie obligatoire pour une meilleure connaissance de la portée et des enjeux du systeme”, a notamment dit M. Diop à l’ouverture d’une rencontre de validation dudit plan.

Selon lui, pour bien mener son rôle, l’Icamo doit en tant que nouvelle institution, être connue du public et des différents acteurs de l’Assurance maladie obligatoire sur le plan de son organisation, de ses missions, de sa portée, de ses enjeux et défis pour une meilleure adhésion de ses membres.

“Ainsi, le plan de communication vise-t-il à faire la promotion de l’image et de la notoriété de l’Icamo auprès des Institutions de prevoyance maladie IPM, des entreprises et partenaires ; la participation des prestataires de soins à l’atteinte d’un meilleur équilibre financier ; l’adhésion des employeurs et travailleurs au système de l’Icamo…”, a expliqué Cheikh Ousmane Diop.

Le plan de communication s’adresse aux chefs d’entreprises, aux travailleurs, aux administrations d’Ipm, aux prestataires de soins et aux instances représentatives du personnel.

Les sociétés d’assurance au Sénégal ont débloqué 13 milliards CFA, en 2015, pour couvrir des risques liés aux incendies, a révélé mercredi à Dakar, Moustapha Kamal Ndao, président de la Commission technique de la Fédération sénégalaise des sociétés d’assurance (Fssa).

“Sur 62,8 milliards CFA de risques couverts en 2015 par nos sociétés d’assurance, 13 milliards CFA portent sur les risques liés aux incendies”, a notamment dit M. Ndao.

Il animait une conférence de la Fédération sénégalaise des sociétés d’assurance sur : “Gestion du risque incendie : Prévention, rôle des assureurs, plan continu d’activités” en marge du premier salon Preventica.

Poursuivant, Moustapha Kamal Ndao a souligné que l’électricité est la première cause des incendies au Sénégal du fait de branchements électriques qui ne répondent pas aux normes.

“Les installations électriques ne répondent pas aux normes et les types d’extincteurs utilisés ne sont pas souvent adéquats”, a-t-il indiqué.

Pour amoindrir les dégâts dus aux incendies, il a préconisé la formation du personnel de toutes les entreprises à l’utilisation des extincteurs, affirmant que n’importe quel employé peut être témoin d’un incendie qui se déclare.

Interrogé sur le chiffre d’affaires des sociétés d’assurance, il a souligné qu’un bilan partiel fait état d’un investissement de 200 milliards en 2016.

Jeudi dernier, un huissier et des policiers investissent la blanchisserie Vit-Net. Ils ont pour mission d’appliquer une mesure d’expulsion prononcée par la justice dans le cadre du règlement du différend entre l’assureur Amsa et la blanchisserie Vit-net.

La société d’assurance, qui réclamait le local occupé par Vit-Net, a obtenu gain de cause. Mais le patron de la blanchisserie ne l’entend pas de cette oreille. Trouvé dans son entreprise, il a fait savoir à l’huissier et aux policiers, qu’il faudra passer par son corps pour l’expulser.

Offensif, il sort une arme à feu et tire en l’air pour intimider ses vis-à-vis. Il sera maîtrisé et conduit au Commissariat central.

Mais bien que poursuivi pour outrage à agents dans l’exercice de leurs fonctions, et malgré l’utilisation de son arme contre des forces de l’ordre, il sera libéré pour des raisons que dit ignorer le journal L’Observateur, lu par Actunet.net.