A Podor, où une foule immense a accueilli le candidat de la majorité, une vive altercation s’est déclarée entre militants de différents responsables politiques du département.

Il y avait des jets de pancartes et des coups de poing au niveau du stade Alassane Wade de Podor. Il a fallu l’intervention musclée des gros bras pour que la situation revienne au calme.

Dans cette partie du pays, l’obstacle qui se dresse devant Macky Sall, c’est la guerre de leadership opposant les responsables locaux de la mouvance présidentielle.

A rappeler qu’ils ont été récemment rejoints par Aïssata Tall Sall, maire de Podor, et leader du mouvement “Osez l’avenir”.

Chose inédite pour ne pas très rare. Deux sœurs qui se disputent le même homme. Pour ne pas dire, que l’une a fini de draguer le mari de l’autre. Cela se passe dans un quartier bien connu de Dakar. La grande sœur, mariée depuis deux ans à son homme, a loué un appartement dans un quartier de Dakar. Sans enfants, elle a fait appel à sa petite sœur qui vit avec elle et son mari depuis plusieurs mois.

Mais, la grande sœur ne se doutait pas que sa petite sœur “draguait” son beau-frère (ou le contraire) qui a fini de tomber dans ses bras. Alertée par une de ses amies, c’est avec patience qu’elle apprend pour ne pas dire qu’elle surprend son mari et sa petite sœur dans des positions assez intimes. Et, ce qui devait arriver arriva. La suite logique n’est autre qu’une bagarre qui a éclaté. Sans contrôle et avec la colère en bandoulière, la grande-sœur trébuche et se…casse le bras. Pas trop grave affirment des sources de actunet qui signalent avoir soufflé l’information pour alerter sur la pratique de certains hommes qui n’hésitent pas à descendre aussi bas. Mais aussi et surtout, sur le niveau de dégradation des mœurs. Comme quoi, les valeurs et les bonnes, sont presque totalement enterrées. Aux dernières nouvelles, la petite sœur “dragueuse” de mari, a pris ses bagages avant de disparaître….

Actunet peut écrire que la bagarre des frères Sall à Guinaw Rail Sud est le sujet au centre de toutes les discussions. Presque tout le monde en parle au quartier Oumar Mbow. Doudou Sall, Sergent de l’armée et Babacar Sall pécheur de son état, sont des frères de sang. Ils habitent dans leur maison familiale, sise à Guinaw rail Sud, comme beaucoup de jeunes Sénégalais qui n’ont pas encore leur propre toit. Ils y vivent avec leurs épouses et leurs enfants. Mais les deux frangins ont une cohabitation très heurtée. Les relations entre les « Sall » ne sont pas au beau fixe. Ils ont l’habitude de se donner en spectacle, au vu et au su de tout le monde. Jusqu’à Vendredi dernier, une bataille a éclaté entre Doudou et Babacar. La rixe est violente. Actunet rappelle que cette fois-ci le militaire prend le dessus sur son frangin. Il le domine sur tous les côtés. C’est le moment choisi par son épouse, B. Diop, pour venir en aide à son mari pécheur. Pour lui tirer des griffes du militaire, elle roue ce dernier trois coups de pilons sur la tête. Le sergent Sall s’affale sur terre.

Il baigne dans une mare de sang. Il perd connaissance. Pour le moment les vraies raisons qui opposent les frères Sall restent inconnues. Mais selon nos informateurs, leurs relations se seraient exacerbées lorsque Babacar a décidé de modifier la chambre de leur défunte maman. Ce que son frère n’a pas bien apprécié.  Actunet signale que la police de Guinaw rail, informée, s’est déportée sur les lieux. Après les constats d’usage, elle a mis aux arrêts Babacar Sall, son épouse et leur fils mineur. Le militaire quant à lui, se trouve au coma dans un hôpital de la place. Au terme de leur délai de garde à vue, Babacar, sa femme et son fils sont déférés au Parquet. Ils sont poursuivis pour tentative de meurtre

Ce matin quand j’ai appris ce qui s’est passé au Palais de la République avec des membres du mouvement des élèves et étudiants républicains (MEER), je me suis dit Xalaas ! C’est à se demander si ces gens sont vraiment sincères quand ils disent travailler pour la réélection du Président Macky Sall : « Dou deug waay » ! Sinon comment comprendre que ces jeunes puissent écorner leur propre image, celle de leur Secrétaire général national et surtout celle de leur parti. J’espère qu’ils entendent tous le « tchipatou » national auquel ils ont eu droit ce matin dans les réseaux sociaux. Une organisation de jeunesse d’un parti politique doit servir à animer l’action et l’idéologie du parti vers la jeunesse. C’est ainsi que l’on attendait le MEER ailleurs que dans des manifestations « Khala ma ndiir badio..khana khana dofi diaar » devant le Palais de la République. On pensait les voir dans l’évaluation de leur échec dans l’espace universitaire qui a traversé une crise sans précédent où on ne les a pas entendu ni dans un rôle d’alerte ni dans la recherche de solutions. Au contraire ils sont montés au créneau que pour exiger de rencontrer le Président de la République à la suite de ses entrevues avec les coordinations estudiantines des différentes Universités. Il faut que cette jeunesse arrête de penser que rencontrer le Président de la République rend riche ou célèbre (selfies rekk).

Que font-ils de leur rôle de vecteur de recrutement potentiel pour l’avenir ? S’ils pensent attirer les primo votants et les indécis en montrant leur image la plus hideuse comme ils l’ont fait hier, ils se trompent. Et lourdement même !

Il a suffi que le Président accepte de les rencontrer pour que chacun monte au créneau pour se rappeler au bon souvenir des sénégalais. Depuis combien de temps on n’a plus entendu parler de cette structure ? Il avait fini de tomber dans une léthargie telle que l’audience avec le Chef de l’Etat a eu l’effet d’un puissant stimulus pour le réveiller de sa torpeur. Peur être que la dose était si forte que la moutarde leur est montée à la tête. Oui, être reçu par le Président de la République fait perdre le nord à certaines personnes. Allez demander aux étudiants !

Le Mouvement des élèves et étudiants républicains n’a pas dérogé à la règle. Ses membres qui devaient même avec intelligence garder le silence au palais pour ne pas attirer l’attention des sénégalais qui pourront dire que cet endroit n’est pas pour un parti politique. Au lieu de cela ils ont élevé la voix, bander les muscles, vociférer…avant de transformer l’avenue Roume en champs de bataille. Qui l’eut cru ?

Ils rendent un très mauvais service au candidat Macky Sall qui a besoin d’attirer sur lui la sympathie des sénégalaises et des sénégalais. Mais « Keur gu beuri thiow » personne ne veut y séjourner.

Aujourd’hui ils ont intérêt à rendre active l’école du parti afin de former tout ce beau monde sinon ils risquent d’avoir un effet boomerang du fait de tout ce dégout qu’auront les sénégalais sur leurs différents comportements.

C’est aussi tard que j’ai appris qu’il y’a une subvention derrière et c’est ce qui aiguise tous les appétits. Tout ce que je peux leur dire c’est d’aller apprendre sur le cas du réseau des enseignants républicains qui a volé en éclat du fait de cette subvention.

Ces jeunes élèves et enseignants doivent apprendre à rendre fier leur mentor !

Souleymane Ly

Spécialiste en communication

Julesly10@yahoo.fr

Rebondissement dans l’affaire de la bagarre ayant opposé les partisans de Abdoulaye Daouda Diallo à ceux de Cheikh Omar Hann. Alassane Hann, le frère du directeur général du COUD, est convoqué à la police ce 24 avril à 15 heures, suite à une plainte déposée, pour injures, par le camp de l’ex-ministre de l’Intérieur.

Dakaractu a appris que cette information est hermétiquement verrouillée au plus haut sommet de l’Etat. Selon nos sources, au lendemain de cet incident qui a éclaté le samedi 14 avril passé à la Ziarra Thierno Amadou Gaye de Fouta, le petit Hann aurait abreuvé d’injures des proches d’Abdoulaye Daouda Diallo dont Abdou Bosso, coordinateur du MEER de Podor. Il nous est revenu que c’est ce dernier qui a porté l’affaire devant la police.

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Rebondissement dans l’affaire de la bagarre ayant opposé les partisans de Abdoulaye Daouda Diallo à ceux de Cheikh Omar Hann. Alassane Hann, le frère du directeur général du COUD, est convoqué à la police ce 24 avril à 15 heures, suite à une plainte déposée, pour injures, par le camp de l’ex-ministre de l’Intérieur.

Dakaractu a appris que cette information est hermétiquement verrouillée au plus haut sommet de l’Etat. Selon nos sources, au lendemain de cet incident qui a éclaté le samedi 14 avril passé à la Ziarra Thierno Amadou Gaye de Fouta, le petit Hann aurait abreuvé d’injures des proches d’Abdoulaye Daouda Diallo dont Abdou Bosso, coordinateur du MEER de Podor. Il nous est revenu que c’est ce dernier qui a porté l’affaire devant la police.

Il est également révélé que le coordinateur du Meer a déménagé de l’UCAD pour des raisons de sécurité.

La ziarra de Nianga Edy, dans le département de Podor, a donné lieu à un nouvel épisode dans la guerre fratricide entre le directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar, Cheikh Oumar Hanne, et le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Abdoulaye Daouda Diallo. Samedi, une bagarre a éclaté entre les éléments de la garde rapprochée des deux responsables de l’Apr. Ce qui a indisposé Thierno Mamadou Gaye, khalife du vénéré Thierno Adama Gaye.

Ce samedi, tout allait pour le mieux, lors de la ziarra de Nianga Edy, jusqu’à l’arrivée du maire de Ndioum à la cérémonie officielle. Celle-ci a coïncidé avec la fin du discours du ministre Abdoulaye Daouda Diallo. Le Dg du Coud s’est heurté au refus des hommes de sécurité du ministre et de l’organisation qui lui ont interdit l’accès avec sa délégation, car il n’y avait plus de place.

Autant dire qu’ils n’ont pas voulu l’entendre de cette oreille. Il s’en est suivi des accrochages. Des bombes neutralisantes ont été utilisées, rendant irrespirable l’air pour les nombreux fidèles présents, et même le khalife qui s’est mis à suffoquer. Pendant 20 bonnes minutes, un tohu-bohu indescriptible s’en est suivi, sous le regard effaré des talibés.  Il a fallu l’intervention des gendarmes pour restaurer le calme. Un blessé léger a été enregistré du côté de la garde rapprochée du Dr Cheikh Oumar Hanne.

La colère du khalife Thierno Mamadou Gaye

Le marabout Thierno Madani Tall n’a pas du tout aimé les incidents et l’a fait savoir. Car, a-t-il martelé, ce n’est pas possible d’être un fidèle et d’être l’instigateur de troubles de cette nature, lors d’une manifestation religieuse. ‘’Depuis six mois, le Dg du Coud s’affaire à la bonne organisation de cette ziarra. Mais, aujourd’hui, ses accompagnants ont mis à terre les efforts qu’il a eu à déployer’’, a regretté, de son côté, le khalife Thierno Mamadou Gaye.

Les deux responsables se lancent des piques

Après les échauffourées, le ministre Abdoulaye Daouda Diallo s’est prononcé sur l’incident. ‘’Le parti est en train de grandir. Ce qui se passe est une situation hégémonique. Avec le phénomène des arrivées, on a vu de nouveaux comportements dans le parti’’, a-t-il dénoncé, soulignant que la division ne profite pas au parti dans le département de Podor. Pour lui, le seul objectif qui vaille est de dépasser la barre de 90 % de voix, lors de la présidentielle. Le ministre de lancer cet appel à l’unité : ‘’C’est le temps de Macky Sall et non pas celui des responsables’’, a-t-il dit. Avant de regretter les échauffourées : ‘’Je déplore tout cela et on ne peut pas venir perturber ce lieu de culte, de prière et de recueillement.’’

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La communauté musulmane de Vélingara a eu droit à un spectacle pour le moins insolite à l’heure de la première du vendredi.

En effet, deux imams qui se disputaient l’imamat depuis le décès de l’imam ratib, le 4 janvier dernier, ont transformé le lieu saint en ring de boxe devant le regard médusé des fidèles. Lire la suite Galsen221

Le derby de Birmingham entre Aston Villa et Birmingham City se disputait hier, dimanche, pour le compte de la 31ème journée de Championship (2ème division anglaise). Et, comme on pouvait s’y attendre, il a été explosif.

En plus d’avoir perdu la rencontre avec Birmingham City sur la marque de deux buts à zéro, Cheikh Ndoye s’est vu expulser dans les derniers instants de la partie. Lire la suite sur Galsen221

Plus belliqueuse que la femme de l’ex directeur de la télévision nationale, tu meurs! Aissatou Sidibé a eu le toupet de s’en prendre au vigile en agrippant sur ses parties intimes. Elle comparaissait hier, devant le Tribunal d’instance de Dakar pour coups et blessures volontaires au préjudice de son gardien et de destruction de biens appartenant à autrui au préjudice de son mari.

Le jour des faits, quand madame est revenue du travail, elle a trouvé un désordre total dans la maison. Elle s’en est prise aux enfants qui étaient assises dans le salon. Mais le gardien de l’immeuble Aliou Diatta croyait que la dame s’adressait à lui. Sur ce, il a interpellé la dame. En réponse, cette dernière l’a insulté.

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Plus belliqueuse que la femme de l’ex directeur de la télévision nationale, tu meurs! Aissatou Sidibé a eu le toupet de s’en prendre au vigile en agrippant sur ses parties intimes. Elle comparaissait hier, devant le Tribunal d’instance de Dakar pour coups et blessures volontaires au préjudice de son gardien et de destruction de biens appartenant à autrui au préjudice de son mari.

Le jour des faits, quand madame est revenue du travail, elle a trouvé un désordre total dans la maison. Elle s’en est prise aux enfants qui étaient assises dans le salon. Mais le gardien de l’immeuble Aliou Diatta croyait que la dame s’adressait à lui. Sur ce, il a interpellé la dame. En réponse, cette dernière l’a insulté.

Aliou Diatta a fait comprendre à sa patronne qu’elle n’a pas le droit de le traiter de la sorte. Non satisfaite de cette remarque, la dame lui a administré une gifle. Furieux, le gardien l’a roué de coups de poings sur le visage. Et pour sortir de l’étau ou elle était prise, l’ancienne épouse de Mamadou Bal s’est agrippée aux attributs du gardien qui se tordait de douleur. Alerté par les cris de détresse, les voisins sont venus séparés les antagonistes.

Les nommés Pape Sow et Moussa Fofana comparaissaient hier devant la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Ils étaient poursuivis pour coups et blessures volontaires sur la personne de Birame Fall. Les prevenus ont nié les faits qui leur étaient reprochés. A les en croire, ils ne sont liés ni de près ni de loin dans cette affaire.

Mais le plaignant qui les a formellement identifiés a pris leur contre-pieds. Dans sa déposition, il a même cité quatre autres individus actuellement en fuite qui s’étaient ligués en association de malfaiteurs, pour le tabasser sans état d’âme. Selon Birame qui s’est constitué partie civile dans cette affaire, les faits se sont déroulés dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre dernier à Keur Mbaye-Fall plus précisément dans le secteur de Kamb.

Au cours de cette nuit-là, a-t-il déclaré, il s’était rendu à la Brigade de gendarmerie de la zone franche pour dénoncer un groupe d’individus qui étaient en train de construire sur ses parcelles. Il s’était fait accompagner par son ami Ousmane Wade. Mais quand la bande à Pape Sow a senti la présence des pandores venus s’enquérir de la situation, elle ne s’est pas fait prier pour s’éclipser.

Après le constat d’usage, les gendarmes ont regagné leur unité. C’est le moment choisi par les mis en cause pour sortir de leur cachette pour s’en prendre  violemment à Birame Fall et à Ousmane Wade. Mais ce dernier a réussi à prendre la clé des champs laissant son compagnon d’infortune à la merci des assaillants.

Après cette expédition punitive, Birame Fall s’est retrouvé dans une clinique de la place dans un piteux état avec une incapacité temporaire de travail de 60 jours. Les faits étant constants, les mis en cause ont été condamnés à 6 mois de prison ferme assortie d’une amende de 5 millions Fcfa à payer solidairement à la partie civile.

L’affaire fait grand bruit et suscite beaucoup de commentaires et de supputations dans la commune de Sangalkam. Il s’agit de l’arrestation du garde du corps du ministre Oumar Guèye par les pandores de la localité pour complicité et coups et blessures volontaires.

Le mis en cause est le nommé Mamadou Saliou Souaré alias Babel. Tout est parti d’une bagarre dont on ignore le mobile entre un individu et un ami du garde du corps du ministre. Le pugilat est survenu au courant de ce week-end dans une localité de la commune de Sangalkam.

Ainsi, le body guard de l’ancien président du conseil a pris fait et cause pour son compagnon et s’est mêlé à la rixe. L’homme aux muscles bien saillants aurait alors pris par derrière le protagoniste de son pote, neutralisé celui-ci par une forte empoignade au niveau de la taille en plaquant ses bras ballants. L’ami du garde-corps du ministre assène un coup violent à son antagoniste. Tous les deux ont été déférés au parquet avant hier.

Suite à l’incident survenu avec Assane Diouf à Khelcom, l’artiste chanteur Pape Diouf a profité de sa venue à Colobane commune, située dans le département de Gossas, pour regretter ce qui s’est passé vendredi dernier dans les champs de Serigne Saliou Mbacké. Par cette même occasion, il a présenté des excuses au Khalife général et à toute la communauté mouride. Revenant sur les raisons de son clash, il indique avoir agi sous le coup de la colère. Mais que si c’était à refaire, il ne céderait pas aux tentations du diable.

Les Maliens établis dans la région de Louga sont dans l’émoi et la consternation. Un des leurs a été poignardé mortellement par un conducteur de moto Jakarta, à la suite d’une altercation. Les faits se sont déroulés à l’intérieur d’un bar où le jeune Khone Kébé (conducteur de moto-taxi) jouait au trouble-fête. C’était dans la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 octobre 2017.
C’est par la suite que le jeune Malien Mamadou Maïga l’a sommé en vain d’arrêter de semer le désordre ou de débarrasser le plancher. Il s’en est suivi une vive querelle entre les deux protagonistes qui ont été séparés par les gens présents sur les lieux. Alors que le jeune Khone Kébé a été chassé du bar, il y est revenu plus tard avec un couteau qu’il a planté dans le dos de son vis-à-vis qu’il a pris par surprise.

Le jeune Malien s’est affalé. Il a été aussitôt acheminé au centre de santé de Kébémer. De là, il a été transféré à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, puis à l’hôpital de Saint-Louis où il a rendu l’âme, le vendredi aux environs de 21h. Le corps sans vie de Mamadou Maïga a été remis à ses parents qui l’ont inhumé, le samedi 7 octobre 2017 à Touba. Le présumé meurtrier, quant à lui, a été arrêté par la police de Kébémer, en attendant de le présenter au juge.

De vieilles rancœurs familiales sur fond d’argent ont explosé en plein enterrement, ce vendredi en fin de journée à Beauvais (Oise). En marge d’un enterrement, une bagarre a en effet éclaté dans le cimetière général, rue de Calais à Beauvais.

Une vingtaine de personnes en sont ainsi venues aux poings, nécessitant l’intervention de la police, qui a fermé la rue à la circulation pendant près d’une heure, afin de permettre aux pompiers et au Samu d’intervenir. Le bilan de cette bagarre fait état de six blessés légers qui ont été pris en charge par les pompiers et transportés à l’hôpital de Beauvais pour y être examinés. Il n’y a pas eu d’interpellation.

Une bagarre générale a éclaté au sein d’une famille, ce vendredi après-midi, à 17h30, dans le cimetière général de la rue de Calais, durant une cérémonie d’inhumation.

Une vingtaine de personnes étaient impliquées dans cette rixe qui a nécessité l’emploi commun des forces de police nationale et municipale, alertées par de nombreux témoins. «C’est un différend au sein de la famille qui est à l’origine de la bagarre, un antécédent sérieux, soulève une source impliquée dans l’intervention. Il y avait une vingtaine de personnes à gérer avec des cris et beaucoup d’énervement».

Les forces de l’ordre ont réussi à calmer le jeu mais six personnes, légèrement blessées ont été conduites au centre hospitalier de Beauvais pour des examens de contrôle. Personne n’a été interpellé.