Le nouveau volet de la saga réalisé par Franck Gastambide sortira en salle le 11 avril prochain.

Certainement que ces agresseurs se sont dit qu’il est facile de s’en prendre aux femmes. En tout cas, dans la zone de Grand-Médine où sévissaient ces bandits, leur cible favorite, c’était les femmes. Ainsi, s’en sont-ils pris à deux d’entre elles, samedi dernier, après le combat Papa Sow-Ama Baldé. Sauf que la chance a tourné et J. Kaly, un des agresseurs, s’est fait prendre.

Manque de pot pour J. Kaly. Faisant partie d’une bande d’agresseurs, le jeune homme a eu la malchance d’être pris la main dans le sac, samedi dernier, après le combat de lutte Papa Sow-Ama Baldé, au stade Léopold Sédar Senghor. Ayant attaqué une jeune dame qui se rendait chez une voisine, le groupe de malfrats avait réussi à se tirer d’affaire pour ce coup-là. Mais il faut dire qu’ils ont été perdus par leur cupidité. Puisque, quelques minutes après, ils s’en étaient pris à une autre dame, à Grand-Médine.

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Trafics de drogues et d’armes, piraterie, détournements d’or et de pétrole : les flux financiers de ces activités illicites ou criminelles causent des préjudices graves en Afrique de l’Ouest, comme le montre un rapport de l’OCDE publié le 20 février.

On ne sait pas trop combien les activités illicites et criminelles coûtent à l’Afrique. À l’Union africaine, on parle de 50 milliards de dollars, soit 40 milliards d’euros, par an. D’autres experts avancent le chiffre de 100 milliards. Le mérite du rapport Flux financiers illicites – L’économie du commerce illicite en Afrique de l’Ouest, publié le 20 mars par l’OCDE est de ne pas se contenter de chiffres forcément sujet à caution puisque ces activités sont dissimulées.

Certes, ce rapport que le numéro de Jeune Afrique à paraître le 25 février analysera plus en détail, fait le tour des treize économies illicites qui génèrent des flux financiers : les médicaments frelatés, les détournements de pétrole et d’or, le trafic des migrants, d’armes ou de cigarettes, les circuits de la cocaïne et de la contrefaçon, les enlèvements pour rançon et la piraterie causent de graves dommages personnels, sociétaux, économiques et environnementaux. La corruption et le terrorisme se nourrissent de cet argent « noir ».

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C’est un ouf de soulagement pour les vendeurs dans les marchés hebdomadaires. En effet, une bande de trois voleuses et deux de leurs receleurs ont été arrêtés, le 7 novembre dernier, par la police de Yeumbeul.

Ces derniers écumaient les marchés hebdomadaires de la banlieue avant d’écouler leur butin auprès de F. Gningue et A. Sèye. Elles ont été inculpées pour vol, association de malfaiteurs et recel.

La bande de voleuses, dirigée par A. Mbaye, opérait au marché « lundi » des Parcelles assainies, « Jeudi » à Guédiawaye. Elles ont été stoppées au marché de Boune après avoir subtilisé des bijoux en or à une femme. Interpellées par la police, elles passent très vite aux aveux, et balancent leurs receleurs. Tout ce beau monde a été placé sous mandat de dépôt. A l’exception de A. Mbaye, en cavale, identifiée comme le cerveau du groupe.

Les faits sont dignes d’un scénario de film d’action hollywoodien, mais cela se passe bien à Dakar, précisément aux Allées du Centenaire où vit une forte communauté chinoise, qui y mène des activités commerciales.

Les faits ont eu lieu ce dimanche vers les coups de 15 heures. Un groupe de malfrats, armé jusqu’aux dents a, en effet, visité une maison habitée par des Chinois. Les cinq individus, armés de revolvers et de couteaux, étaient déterminés à braquer les occupants des lieux. Zong Mang, encore sous le choc, revient sur le film de cette attaque à main armée, qui a failli coûter la vie à un des leurs.

«On nous a attaqués vers 15 heures dans la maison, il y avait ma belle-sœur et son enfant ainsi qu’un autre jeune. Les agresseurs ont tiré des coups de feu à trois reprises pour les apeurer. Ma belle-sœur a reçu deux coups. Nous avons réussi à les faire reculer, car un de nos compatriotes qui détient une autorisation de port d’armes, a sorti son révolver. Devant cette riposte, ils ont pris la fuite», a-t-il expliqué au bout du fil à Vox populi.

Mais l’attaque avortée a fait un blessé grave, car selon le sieur Mang, sa belle-sœur a même dû subir une intervention chirurgicale dans une clinique de la place. Et à l’en croire, elle est actuellement hors de danger.

Aux dernières nouvelles, l’ambassadeur de la Chine a Dakar, s’est rendu auprès de ses compatriotes pour s’enquérir de la situation. Même si les assaillants n’ont rien emporté, une plainte a été déposée à la police de la Médina. Cette agression plonge toute la communauté chinoise dans une inquiétude totale.

Une bande de malfaiteurs composée de trois individus, spécialisée dans la vente de terrains nus situés aux Almadies a été démantelée par les éléments de la Division des Investigations Criminelles (Dic).

Ils ont été déférés au parquet de Dakar, depuis lundi dernier. Le cerveau, M. D. Guèye est le rescapé d’un gang décapité en novembre 2016.

La bande est parvenue à rouler dans la farine plusieurs victimes parmi lesquelles quatre se sont signalées à la Division des Investigations Criminelles (Dic) à travers une plainte.

1. Sow, G. Cissé, B. Diallo et M. Ndiaye ont perdu respectivement 29 millions, 20 millions, 12,5 millions, soit un montant total de 96,5 millions Cfa.

En effet, les escrocs ont réussi à faire plusieurs victimes et semblent bien au fait des formalités liées au foncier.

1. D. Guèye a déjà fait la prison pour avoir subtilisé plusieurs documents et cachets dans un célèbre cabinet de notaire où il travaillait. Après avoir purgé sa peine, il a décidé de se reconvertir dans la vente de terrains en s’adonnant à un commerce de faux.

Pour y arriver, indiquent les sources du journal «EnQuête», lu par Actunet.net, M. D. Guèye a constitué une petite équipe en leur confectionnant de fausses cartes d’identité nationales et leur payait par commission une fois la tâche effectuée.

Selon le journal, M. D. Guèye ayant travaillé dans un cabinet de notaire, maîtrisait certainement bien les rouages et savait détecter les sites à terrains nus aux Almadies.

Une fois que le terrain est ciblé, la bande se lançait à la recherche de clients potentiels à qui le cerveau exigeait une avance de plusieurs millions. Ensuite, ajoute le journal, la bande va signer un acte de vente illégal devant un soi disant notaire sur la base de faux documents confectionnés. Après cette étape, les malfaiteurs s’évaporaient dans la nature.

Lors de son audition, M. D. Guèye a reconnu les faits. Au terme de leur garde-à-vue, M. D. Guèye, M. Niang et A. Mbodji ont été remis entre les mains du Procureur de la République pour les délits d’association de malfaiteurs, faux et usage de faux, escroquerie, usurpation de fonction et blanchissement de capitaux. Ils sont placés sous mandat de dépôt.

Les clients qui se rendent dans les banques pour retirer d’importantes sommes d’argent ont intérêt à surveiller leurs arrières. Les membres d’un gang qui attaquent les «gros clients» ont été mis aux arrêts par la Division des investigations Criminelles (Dic) avec l’aide d’Interpol en Gambie. Ils ont été déférés au parquet.

En effet, M. Bâ qui venait de retirer une somme de 25 millions de francs Cfa d’une agence de banque à Nord Foire n’oubliera pas de sitôt sa mésaventure en rencontrant les membres de ce gang. Il a été attaqué en plein jour par E. Otakora dit Prospère et S. Traoré dit Vieux Ngolo au moment où M. Bâ sortait de la banque pour rentrer chez lui.

Les deux bandits l’ont roués de coups et lui arrachent le sachet contenant l’argent avant de disparaître.

La victime dépose une plainte à la Dic. Les enquêteurs découvrent que Prospère et Vieux Ngolo se sont rendus, après leur forfait dans une chambre à la Cité Mixta qu’il avaient prise en location.

Ensuite Ngolo et Vieux se sont rendus à Mbour, en Gambie d’où ils ont été arrêtés.

Sur les 25 millions, seuls 2.780.000 Fcfa ont été recouvrés. Ainsi, d’autres suspects notamment les receleurs et complices, sont activement recherchés.

Atakora, S. Traoré, A. Mendy, M. Gaye et A. Diallo ont été conduits devant le procureur pour association de malfaiteurs, vol en réunion commis avec violence, usage d’un moyen de transport et recel.

Les malfaiteurs ont encore frappé très fort. Et cette-fois, c’est un ministre de la République qui a reçu la visite des bandits.

Selon le site «metrodakar», visité par Actunet.net, les gangsters ont cambriolé le domicile de l’autorité étatique et ont emporté divers objets ainsi qu’une forte somme d’argent.

Une plainte a été déposée chez les limiers de la Division des investigations criminelles (Dic) qui ont ouvert une enquête et lancé la chasse aux auteurs du vol.

Dans ce sens, un des membres du gang, qui serait domicilié à Guédiawaye, aurait été identifié et reconnu. Ainsi, l’arrestation de ce dernier et le démantèlement de la bande pourrait survenir dans les jours à venir.