La dame Mariama Traoré qui est commerçante de son état, n’a plus que ses yeux pour pleurer. De retour du Samu pour une consultation, elle a constaté avec amertume que son appartement sis à Sacré Coeur 3, a fait l’objet d’un cambriolage.

Ses bijoux dont certains sont en or et des numéraires d’une valeur de 160.000 Cfa ont été tout simplement emportés. Elle a aussitôt soupçonnée le vigile de leur immeuble, un Gambien du nom de Moussa Diop à qui elle avait confié ses clés. Mais ce dernier a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés.

« Jamais de la vie je ne ferrai pareille chose », a-t-il soutenu. Dans la foulée, il a même juré la main sur le coeur qu’il n’était pas l’auteur du vol dont on l’accuse « gratuitement ». Pour se disculper, il a décidé de porter plainte contre la dame Mariama Traoré pour accusations mensongères. Mais celle-ci étant convaincu de sa culpabilité, a préféré aller tirer cette affaire au clair à la police.

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La dame Mariama Traoré qui est commerçante de son état, n’a plus que ses yeux pour pleurer. De retour du Samu pour une consultation, elle a constaté avec amertume que son appartement sis à Sacré Coeur 3, a fait l’objet d’un cambriolage.

Ses bijoux dont certains sont en or et des numéraires d’une valeur de 160.000 Cfa ont été tout simplement emportés. Elle a aussitôt soupçonnée le vigile de leur immeuble, un Gambien du nom de Moussa Diop à qui elle avait confié ses clés. Mais ce dernier a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés.

“Jamais de la vie je ne ferrai pareille chose”, a-t-il soutenu. Dans la foulée, il a même juré la main sur le coeur qu’il n’était pas l’auteur du vol dont on l’accuse “gratuitement”. Pour se disculper, il a décidé de porter plainte contre la dame Mariama Traoré pour accusations mensongères. Mais celle-ci étant convaincu de sa culpabilité, a préféré aller tirer cette affaire au clair à la police.

Entendu par les hommes du Commissaire El Hadji Baïty Sène de Dieupeul, le sieur Moussa Diop a campé sur sa position. Au terme de cette procédure, le suspect n’a pas fait l’objet d’une mesure de garde-à-vue. Toutefois, il a été déféré au parquet du procureur.

La nommée Aïssatou Gadiaga n’a plus que ses yeux pour pleurer. Cette styliste demeurant à la Sicap Liberté 2, a été victime récemment d’un cambriolage. Une personne malintentionnée s’est introduite furtivement dans sa chambre à coucher.

Cette dernière qui connaissait apparemment les habitudes de la maisonnée, n’a rien trouvé de mieux à faire que de dérober l’ensemble des bijoux de la maîtresse des lieux. Ces objets de valeurs estimés à 2,175 millions Cfa étaient soigneusement rangés dans une armoire.

Ce vol sans effraction  a été constaté par la propriétaire desdits bijoux dans la nuit du Maouloud. C’est en voulant arborer des parures sobres pour se rendre à la mosquée Omarienne sise sur la corniche qu’elle est tombée sur des écrins vides. Aïssatou Gadiaga a failli tomber à la renverse. N’en croyant pas à ses yeux, elle s’est mise à fouiller sa chambre de fond en comble.

N’ayant pas retrouver ses biens, elle a aussitôt suspecté sa servante, la nommée Ndèye Ndiémé Sall. Bousculée de questions, sa dame de compagnie lui a fait savoir qu’elle n’est mélée ni de près, ni de loin dans cette affaire de vol. Ses explications n’ont pas du tout convaincues la styliste. C’est sur ces entrefaites, qu’elle a porté plainte contre la suspect. Celle-ci a été convoqué à la police pour tirer cette affaire au clair. Devant les enquêteurs, elle a maintenu ses dénégations.

Finalement, au vu des indices graves et concordantes de nature à motiver son inculpation pour les vol, elle a été écroué puis déféré au parquet.