Cité dans l’attaque aux cocktails molotov, qualifiée d’attentat terroriste, du bus à Yarakh, faisant début août dernier sept victimes dont deux corps sans vie, Serigne Saër Fall avait pris la poudre d’escampette après l’arrestation de six suspects. Il se prononce depuis le centre d’immigration aux États-Unis où il est retenu.

Dans un entretien accordé à Source A, le fugitif explique comment il est parvenu à passer à travers les mailles du filet alors qu’il était activement recherché.

« Les faits se sont produits le 1er août. La Gendarmerie est venue à Yarakh, et a procédé à plusieurs arrestations. Cela ne m’a pas empêché de travailler », rembobine-t-il.

Fall d’ajouter : « Lorsqu’on m’a expliqué que ce sont les membres de la jeunesse patriotique  qui étaient visés, j’ai su que je n’étais pas en sécurité. J’ai décidé de me rendre en Mauritanie, vu que j’ai la double nationalité. Je suis passé par Rosso Sénégal. »

Il poursuit : « Lorsque je suis rentré au Sénégal, je suis passé par le barrage de Diaman. Je suis resté 15 jours à Dakar avant d’embarquer. J’ai pris un avion à l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass. »

Comment ?  « Je ne sais pas. En tout cas, c’est deux jours après mon départ que mon épouse et mon frère ont été convoqués à la Gendarmerie. Ils leur ont dit que c’est moi qui ai mis le feu à la station qui se trouve près de notre domicile. Ils leur ont aussi dit que c’est moi qui ai mis le feu au bus Tata, que j’étais un criminel. Ils ont retenu ma femme pendant presque 24 heures dans des conditions inhumaines.»

C’est l’une des raisons, explique-t-il, qu’il ne veut pas de la loi d’amnistie : « Je ne suis pas d’accord. Je pense qu’il y’a des préalables. J’estime que nous avons été faussement accusés. Cela a détruit nos vies. Certains ont été envoyés en prison. Je crois que Macky Sall a fait voter cette loi pour protéger ses partisans. »

Le suspect continue de crier son innocence : «Même le chauffeur du bus nous a en quelque sorte blanchis. Il a déclaré, devant le ministre de l’Intérieur d’alors, Antoine Diome, que les auteurs de l’attaque étaient des gens costauds. Une autre dame qui était dans le bus a expliqué que celui qui a mis le feu au bus avait des dreadlocks. Je n’ai jamais fait de rastas. »

Toutefois, souligne-t-il, « la seule chose qui me  soulage, c’est de savoir que des innocents ont été libérés après avoir subi toutes sortes de tortures. »
Son retour au Sénégal dépend, indique-t-il, des services d’émigration des États Unis. « J’attends de savoir ce que va décider la justice américaine qui doit se pencher, au mois d’avril, sur ma demande d’exil », confie-t-il.

Un chauffeur de bus Tata a succombé à ses blessures après avoir été agressé sur la VDN 3, dans la nuit de samedi à dimanche. La victime se nomme Mahécor Ndiaye et officiait sur la ligne 37.

Le jour des faits, il roulait tranquillement sur sur l’axe Malika-Tivaouane Peul. Au milieu de la route, pris d’une subite envie de se soulager, il immobilise le véhicule sur le bas-côté, s’empare d’un bidon et se retire dans les buissons.

Alors qu’il n’avait pas encore fini de faire ses besoins, il entend des appels au secours de sa receveuse. Le chauffeur se réajuste et retourne en vitesse sur ses pas. Il tombe sur des malfaiteurs, qui essayaient de s’emparer du sac contenant la recette de la journée.

D’après L’Observateur, qui relaye cette histoire dans son édition de ce lundi, Mahécor Ndiaye se dresse face aux agresseurs. C’était «l’erreur» à ne pas commettre.

«Énervés par l’attitude du chauffeur, les malfaiteurs, fortement armés, se retournent et se jettent sur lui, détaille le journal. La suite va être cauchemardesque pour la receveuse et dramatique pour le chauffeur, qui a été charcuté à coups de couteaux et sabres avant d’être abandonné gisant dans une mare de sang. Affaibli par ses blessures et par une forte hémorragie, le conducteur n’a pas survécu. Il est décédé peu avant l’arrivée des secours.»

Il a promis il a fait !!!!! Maire Palla Samb Maire de la commune de Fann-Point E-Amitié offre un bus neuf et climatise a l’ecole

Un bus Tata de la ligne 76 a percuté une fillette de trois ans. cette dernière a aussitôt perdu la vie. La population locale indique que ce genre d’accident est monnaie courante dans ce quartier. Cause pour laquelle elle exige des ralentisseurs, afin de contraindre les conducteurs à rouler au pas.

A Tivaouane, un homme qui tentait de s’enfuir avec deux enfants, échappait au lynchage. L’affaire s’est passée à Notto Gouye Diama, rapporte L’Observateur. L’homme a été arrêté par les gendarmes en poste aux environs de 11 heures.

L’homme avait embarqué de très bonne heure dans un bus en partance pour Dakar avec les deux garçons, âgés d’environ 12 ans.

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Le coach adjoint de l’Asc Deggo de Kébémer a rencontré la mortau retour de Thiénaba Seck où il a pris part à une veillée religieuse. En rentrant chez lui au quartier Galla de Kébémer,  il a pris un “taxi brousse”. Puisque la voiture était pleine, il a décidé de se tenir debout sur le marche-pied.

La voiture continue son trajet. Mais à quelques mètres du Lycée de Kébémer, les passagers entendent un bruit. Il provenait d’un bus qui roulait à vive allure. Gagné par la curiosité, la quarantaine, Ngalla Niang  jette un coup d’œil du coté de la route. Hélas, le bus roulait si vite que le rétroviseur lui a cogné la tête et l’a arraché, avant qu’elle se retrouve sur les pieds du chauffeur du bus.

Le chauffeur du bus se gare automatiquement et prend la fuite. Les  passants alertent les pandores et les sapeurs pompiers. La tête de la victime a été retrouvée dans le bus, après des heures de recherche. le chauffeur du bus est activement recherché de même que celui du “taxi brousse”.

Un bus en partance pour le Mali a été attaqué ce mercredi à hauteur de Goudiry (Tamba) par des bandits armés. C’est la Rfm qui a donné l’information dans son édition de la mi-journée. Selon nos confrères de l’Immeuble Elimane Ndour, cinq personnes ont été blessés par les assaillants.

Nous y reviendrons.

Une semaine après l’euphorie  de la qualification du Sénégal à la coupe du monde 2018 en Russie, les lions ont retrouvé leur quotidien en club. Sociétaire de Birmingham et un des plus expérimentés de la  “Tanière” Cheikh Ndoye nous raconte le sien et revient sur les grandes et petites polémiques qui ont accompagné leurs parcours dans les éliminatoires du mondial.

“Nous avons des autorités pour ça et elles sont mieux indiquées que nous pour savoir ce qu’il faut faire au niveau des infrastructures. Si nous l’avions dit au chef de l’Etat aussi, on sait que la procédure serait qu’il donne des instructions à ses ministres… Le Président et son gouvernement sont conscients de la situation du football, du sport au sénégalais, sur le plan des infrastructures ils savent mieux que quiconque ce qu’il y a et ce qui manque. Ce n’était pas le moment de parler de ça. Les remarques que les gens font, on n’y a pas prêté attention…”

L’on en sait un peu plus sur l’accident survenu sur ce matin entre Kébémer et Sagatta, sur la route de Saint-Louis (nord). Ce qui est considéré comme un véritable drame a coûté la vie à vingt-cinq (25) personnes. Un nombre impressionnant. Car, avec autant de victimes sans compter des blessés graves, cela veut tout simplement dire que les chauffeurs roulaient comme à leur habitude à vive allure.

Ce que confirment des témoignages qu’actunet a pu recueillir. En effet, il est dit qu’un mini-car est tombé en panne. Alors, un bus décidé à le doubler de l’autre côté, a rencontré un autre bus qui venait en sens inverse. La suite est connue de tout le monde. Aucun des véhicules, selon les témoignages, et malgré les cris des voyageurs, n’a daigné céder le passage. Ce qui a occasionné une collision frontale des deux bus remplis de clients. Au total, 25 personnes ont perdu la vie et le bilan risque de s’alourdir avec les blessés graves enregistrés par les secouristes.

Encore une fois, sur la route du Grand Magal de Touba, les chauffeurs devraient savoir qu’ils transportent des personnes et non du bétail. Rouler doucement et avec responsabilité, peut éviter de tels accidents surtout que les routes du Sénégal font trop de morts.

Un bus Dakar Dem Dikk de la ligne 5, qui suivait son parcours habituel, hier lundi dans l’après-midi, a subitement pris feu au niveau de l’avenue Lamine Guèye.

A en croire Vox Populi, lu par Actunet, les flammes provenaient de l’arrière du bus, alors que ce dernier se trouvait au beau milieu de la circulation.

C’était le sauve-qui-peut dans le bus qui était plein à craquer au moment de l’incident. Plus de peur que de mal, il n’y a eu aucun blessé. Les sapeurs-pompiers de la caserne Malick Sy étant intervenu très rapidement, sauvant le bus avant qu’il ne soit réduit en cendres.

Une femme âgée d’une trentaine d’année environ a piqué une crise ce mercredi dans un bus. C’était vers les coups de midi. Fort heureusement pour elle, le malaise est survenu à hauteur du dispensaire de Diamaguène. C’était en pleine circulation au moment où une pluie diluvienne s’abattait sur la capitale.

Une chaîne de solidarité s’est vite constituée à l’intérieur du bus pour son évacuation rapide au niveau de la structure sanitaire citée plus haut. Au cours de cette opération, la dame en question était inconsciente. Elle a été provisoirement internée au dispensaire de Diamaguène en attendant éventuellement son évacuation, en cas de complication au Centre hospitalier national de Pikine.

Nous y reviendrons.

L’enquête sur le bus de la société «Dakar Dem Dikk» incendié en face du stade Léopold Sédar Senghor, le 12 Septembre dernier, avance.

Le premier à avoir été interpellé, Lamine Samaké est employé à la Mairie de Grand Yoff. Il est depuis mercredi entre les mains de la Sûreté Urbaine, qui mène les investigations avec la Police de Grand Yoff.

Ses présumés complices identifiés sont activement recherchés.

Des poursuites judiciaires vont faire suite à l’acte de vandalisme posé hier. Me Moussa Diop, Directeur général de la société de transport Dakar Dem Dikk a porté plainte contre cinq individus pro-Khalifa, indexés après avoir calciné un bus de ladite société, hier à hauteur du stade Léopold Sédar Senghor, en face des Hlm Grand Yoff.

Arrivé sur les lieux, le Directeur général de la société de transport a qualifié cet acte de «criminel». Ce dernier promet une suite judiciaire sur cette affaire dont les conséquences ont été la suspension de la rotation des bus sur l’axe Yoff – Grand-Yoff.

La scène s’est déroulée vers 13 heures. Cinq personnes non encore identifiées ont fait descendre les passagers, aspergé le bus d’essence avant d’y mettre le feu.

Après leur forfait, ils ont pris la fuite. Au moment même, des pneus sont brûlés vers l’hôpital général de Grand Yoff, à quelques encablures.

De sources révèlent que c’est une nouvelle stratégie de lutte des partisans de Khalifa Sall pour sa libération.

La route continue de faire des victimes. Sur la route de Fatick, un accident s’est produit  à hauteur de Fatick. C’est une collision entre un camion malien et un bus en partance de Bignona.

L’information livrée par la Rfm renseigne que c’est le bus qui est tombé en panne sur la route. Quelques passagers en sont sortis pour la réparation.

C’est en ce moment que le camion est venu heurter violemment le bus. Trois morts ont été enregistrés dont le dernier en cours d’évacuation. Les cinq blessés sont dans un état grave.